Travaux pratiques d'analyse chimique quantitative
Compte rendu : Travaux pratiques d'analyse chimique quantitative. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar laeti666 • 17 Septembre 2023 • Compte rendu • 1 575 Mots (7 Pages) • 199 Vues
ANALYSE DES SUCRES PAR SPECTROPHOTOMÉTRIE ET TEST COMMERCIAL
BÉLANGER, Laeticia
MAHI, Thanina
27 mars 2023
CHI1134-Travaux pratiques d'analyse chimique quantitative
Erin Lynn Dodd
INTRODUCTION:
L’expériences d’analyse des sucres a pour but de d’utiliser une courbe d’étalonnage pour analyser la concentration de sucre, utiliser la chromatographie pour séparer les différentes composantes dans des sucres inconnues et d’utiliser l’électrochimie pour déterminer la quantité de substrat. Les sucres comme le glucose sont des nutriments essentiels pour tous les êtres vivants, ils sont une bonne source d’énergie utilisé par le corps lors de moment d’effort. L’analyse des sucres est essentiel dans plusieurs domaines comme l’alimentation ou la santé. Par exemple, pour connaître la concentration en sucre dans un aliment précis ou dans les tests de glycémie pour les diabétiques. Lors du laboratoire, nous avons pu observer les réactions suivantes :
[a][pic 1]
C6H12O6 + O2 + H2O → C₆H₁₂O₇ + H2O2
Et
[pic 2]
H2O2 + (NH₂C₆H₃OCH₃)₂ → 2H2O + (NH₂C₆H₃OCH₃)₂oxydée
Lors de l’expérience au laboratoire nous avons fait la chromatographie sur papier en utilisant 5 sucres fournie au laboratoire et deux fois notre inconnue ce qui nous donne un totale de 9 composés dans le but de déterminer composition de chaque sucre, l’expérience n’a malheureusement pas abouté a des résultats qu’on attendait après deux essais sans succès et nous n'avons pas pu identifier les principales composants de chaque solution ou sucre utilisée, en raison que les points obtenue sur le papier de chromatographie ont dépassé la limite par conséquence le calcul de la référence frontal Rh est impossible,(voir le figure plus bas), donc on ne peut pas données des informations a ce sujet par contre on pourra supposer ou proposer les raison principale qui ont causée c’échec de cette manipulation.
En premier lieu est peut-être dû a la nature du l’éluant ou sont évaporation aussi sa polarité car plus le solvant est polaire plus le produit s’évapore plus, et plus la couleur n’est pas compatie dans l’intervalle.
Un autre élément qui peut influencer l’obtention d’un résultat juste est le niveau de la solution ou de l’éluant utilisée, et sont absorbance ne devrait pas monter très haut sur le papier.
Pour cela en peut résumer que nous n'avons pas pu atteindre le but de l’expérience de la chromatographie sur papier, donc on pourra trop conclure sur les résultats,
Les principales causes de l’échec sont: la polarité du solvant, la quantité de l’éluant utiliser et celles absorbé par la feuille, aussi la nature de l’éluant.
MATÉRIEL/MÉTHODE:
Tout au long du laboratoire, nous avons suivi les instructions du protocole de l’expérience #5. (1) Cependant, certaines modifications ou précisions ont été apporté. Au départ, nous avons allumé le spectrophotomètre. Puis, nous avons débuté par la préparation de la chromatographie, puisque celle-ci nécessite une grosse période. Pour le chromatogramme, nous avons mis des gants de laboratoire avant la manipulation pour empêcher la contamination, ensuite, nous avons suivi le protocole pour l’élution, celui-ci a été mis dans la hotte avec l’éluant à 10h58. Au même moment, nous commencions la préparations des solutions étalons, le volume nécessaire a été calculé à l’avance pour avoir la concentration demandée. Nous avons utilisé la pipette automatique P1000 pour ajouter le volume nécessaire de stock de glucose (4000 ppm) soit 0 μL, 100 μL, 200 μL, 300 μL,400 μL,500 μL et 600 μL respectivement pour les sept étalons. Ensuite, toujours avec la P1000, nous avons compléter chaque solution avec le tampon phosphate (0,1 M et pH de 7,4) pour que celle-ci donne 1000 μL, alors il a fallu ajouter respectivement, 1000 μL, 900 μL, 800 μL, 700 μL, 600 μL, 500 μL et 400 μL et agité les résultats. Puis, pour préparer les étalons pour la spectrophotométrie, nous devons colorer les solutions, c’est avec des éprouvette jetables dans lesquelles nous avons ajouté 4,0 mL de PGO avec la P5000 que nous débutons. Par la suite, nous les avons incubez dans un bain-marie à 37 °C préalablement préparé par l’équipe technique pendant que nous vérifions la chromatographie. Nous le séchons, le vaporisons avec du révélateur et le chauffer à l’étuve (105 °C) pendant quelques minutes. Malheureusement, comme observé dans la figure 2, une erreur soit de manipulation ou de protocole a été émis, nous avons donc, recommencer au complet un nouveau chromatogramme. Lorsque celle-ci était dans la hotte, nous avons pu commencer l’addition de 50 μL des étalons ou des inconnues dans les solutions incubez à un intervalle de trois minutes, en finissant par inversion pour mélanger le produit fait par Nina. Pendant ce temps, en surveillant la chromatographie et le chronomètre, Laeticia a préparé le spectrophotomètre. Puis, il a fallu attendre que la première réaction (le blanc) atteigne 15 minutes pour pouvoir mesurer l’absorbance trois fois et la noter. En répétant, cette action à chaque fois que le 15 minutes a été atteint pour chaque solution. Pendant ce temps, Nina est allée finir l’essai deux de la chromatographie, comme la première celle-ci n’a pas fonctionné (figure 3). La partie chromatographie du rapport a été enlevé, puisque les chromatographies de chaque équipe n’ont pas eu de bons résultats. Finalement, nous avons effectué le test commercial avec l’équipe technique pour la solution inconnue.
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