Perd on sa vie à la gagner ?

Travail vient du latin tripalium, qui désignait un instrument de torture. Le travail peut apporter des émotions à la fois positif et négatif. Cela peut mener l’être humain vers la satisfaction, parce qu’il a compris ou réalisé quelque chose ; ou cela peut l’emmener vers la dépression voir le suicide suite à des accumulations d’événements stressante lié au travail. Selon le mythe exposé dans le Protagoras de Platon, l’Homme est, à l’origine , l’être le plus démuni et le plus faible car Epiméthée a oublié de les créer, à cause de la date butoir, Prométhée décide alors de voler à Athéna et Héphaïstos le savoir-faire pour pouvoir évoluer de leur propre chef et les armes pour pouvoir se défendre.

Travailler nous permet de gagner sa vie, que ce soit dans le domaine de la santé, de la finance ou simplement de cultiver notre jardin. Travailler peut aussi nous mener à notre perte, si l’individu perd sa motivation à travailler il peut tout arrêter et ainsi gâcher tous les efforts qu’il a fournis jusqu’ici. Faut-il penser que le travail est néfaste pour l’être humain ou au contraire ce n’est que plus bénéfique pour l’évolution de l’individu ?

Dans un premier temps nous allons définir ce que c’est le travail puis par la suite nous démontrerons que le travail peut être à double tranchant, c’est à la fois important pour pouvoir évoluer et cela peut aussi être aliénant.

Le travail que cela soit scolaire ou dans la vie active sert à l’être humain de s’occuper, d’apprendre et de se cultiver. Mais lorsque le travail atteint un être humain au point qu’il travaille sans jamais penser peut rendre cet individu dépourvu de tout sens de jubilation car il ne met aucun sens à sa vie puisqu’il travaille sans le vouloir, sans penser, il travaille comme le ferait une machine. Ce qu’on appelle le processus d’aliénation. Ce processus nous pouvons le trouver partout que ce soit dans une entreprise où les salariés travaillent à la chaîne sans jamais savoir ce qu’ils font, comme par exemple dans l’extrait de Chaplin ou encore les élèves qui appliquent simplement une méthode donné par le professeur sans jamais la comprendre.

Mais, le travail peut être bénéfique, travailler permet de s’instruire, d’apprendre l’altruisme, le savoir-faire. Pour entrer dans la société d’aujourd’hui il faut apprendre les bases des techniques de travails, c’est pour cela que l’école existe. L’école est devenue obligatoire en 1882, les lois de Jules Ferry imposaient aux enfants de 6-13 ans une scolarité obligatoire. Depuis cette époque est bien avant, la société savent que le futur dépend des jeunes et que dès leurs plus jeune âges ils doivent apprendre les techniques de travails pour pouvoir bâtir un monde meilleur dans le futur. Le travail, permet à l’individu de s’exprimer, une fois que l’individu se plait dans se qu’il fait cela devient simplement un plaisir et non un travail. Chaque humain est prédestiné dans un domaine, il suffit de trouver le bon domaine dans lequel il se sentira bien sans jamais ressentir de stress, un domaine dans lequel il excelle. D’après Arendt dans les conditions de l’homme moderne, le travail n’est qu’une contrainte parce qu’il est lié à la naturalité de l’homme. Dans cette perceptive ce n’est que en dehors de la sphère économique où l’homme ne pense

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