Le savant et le politique
Commentaire de texte : Le savant et le politique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hbjdfcx • 6 Novembre 2022 • Commentaire de texte • 1 285 Mots (6 Pages) • 606 Vues
Dans ce texte de Max Weber extrait Le savant et le politique “le métier et la vocation
de savant”, il est question de rationalisation intellectualiste et de désenchantement. Le
problème auquel l’auteur entend répondre est le suivant : d’où vient la rationalisation et
l’intellectualisation du monde ? C'est donc dans ce texte que Weber cherche à démontrer que
la rationalisation et l’intellectualisation du monde viennent de la science et de la technique
scientifique en effet weber voudrait désenchanter le monde. Dans un premier temps de la
linge 1 (essayons d’abord) à la ligne 5 (peu probable), l’auteur nous interroge sur la
rationalisation intellectualiste. Dans un deuxième temps de la ligne 5 (celui d’entre nous)
jusqu’à la ligne 11 (qui l’y aident) l’auteur va illustrer sa thèse en utilisant comme exemple le
tramway qui a un mécanisme inconnu de l’homme civilisé contrairement au sauvage a des
connaissances sur tout ce qu’il utilise et son fonctionnement. Et pour finir, de la ligne 11
(l’intellectualisation et la rationalisation) à la fin, Weber énonce sa thèse selon laquelle il faut
désenchanter le monde et utiliser la prévision. Il va ainsi définir la rationalisation
intellectualiste. Le texte car interpel car nous pouvons nous demander si nos croyances et nos
religions ont un réel rapport avec ce qui nous arrive, il nous fait donc réfléchir et nous
remettre en question.
Weber commence par nous interroger et chercher à ce qu’on est une réflexion sur
cette thèse qu’il nous énoncera plus tard, ce qui nous permet de réfléchir et de nous
intéresser en cherchant à comprendre. La première phrase est au présent ce qui veut dire que
c’est une affirmation, il nous invite définir les thermes de rationalisation intellectualiste et
réponds à la problématique de ce texte c’est à dire : d’où vient la rationalisation
intellectualiste. Nous savons que la rationalisation et l’intellectualisation du monde viennent
de la science et de la technique scientifique. D'après Weber, l’intellectualisation est une
démarche double qui implique l’esprit (conception) et une application matérielle (réalisation).
Elle s’appuie sur la science et la technique afin de mettre en forme le monde, de le rendre
disponible et efficace pour les utilisateurs. Pour cela, il faut prévoir, c’est-à-dire aussi bien
planifier que raisonner en termes de probabilité et de risque. L’intellectualisation conduit à
une non connaissance du fonctionnement des outils que quelques-uns fabriquent mais que
tous utilisent. Prenons l’exemple des applications GPS : la plupart des gens ne savent pas
comment elles fonctionnent et les utilisent de manière à gagner en précision et en efficacité.
Mais à force de s’en remettre à ces applications, ils ne savent plus s’orienter par eux-mêmes
dans l’espace Le texte se poursuit par une phrase au conditionnel signifiant donc une
supposition. En effet l’auteur nous interroge sur la connaissance entre deux peuples : les
Indiens et les Hottentots, par laquelle il va répondre avec incertitude justifié grâce à “peu”
ligne 4.
Après nous avoir interroger, l’auteur ne peut pas nous laisser sans réponses c’est pourquoi il
va nous donner un exemple avant d’expliquer sa thèse.
Nous allons maintenant voire comment Weber nous illustre sa thèse. Grace à l’exemple qu’il
va nous donner, nous pouvons penser qu’il voudrait nous laisser trouver de nous-même la
réponse à la question poser précédemment. L'exemple commence par une phrase au présent,
il est donc en train d’affirmer ce qu’il dit, l’auteur nous implique dans cet exemple puisqu’il
utilise le pronom personnel “nous”. Il affirme ici que nous n’avons pas connaissance des
mécanismes que nous utilisons en l’occurrence, ici, le tramway, il va d'ailleurs terminer cette
phrase en précisant qu’il faut être spécialiste pour le savoir. Puis il recommence une nouvelle
phrase courte avec une négation nous expliquant que ce n’est pas une nécessité de le savoir,
et nous pouvons alors nous demander qu’est-ce que le savoir : le savoir, est une somme
d’informations accumulées, il peut s’acquérir
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