Explication du texte Pascal pensée

Philo :le moi

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I. La beauté

a) Pascal commence tout d'abord par nous parler du premier critère de l'amour, qui est sans nul doute la beauté de la personne. La beauté personnel dépend de notre l'idéologie, des croyances Il nous démontre que nous ne pouvions pas aimer quelqu'un juste parce qu'elle est belle car la beauté fait partie d'un caractère qu'on ne choisit pas, cela fait donc partie du hasard, le hasard est une ou plusieurs actions inexplicables et inattendues. Donc la beauté ne fait pas de nous se que nous sommes. Pour nous montrer cela il prend comme exemple la petite vérole qui est une maladie qui va rendre ignoble la personne malade puisque celle-ci fait que la personne est atteinte au visage par de multiples boutons pour laisser ensuite de nombreuses crevasses, tout cela sans tuer l'individu donc sans affecter se qu'elle est vraiment. Ici alors la personne qui aime juste pour la beauté une autre personne fait qu'il ne l'aimera plus, puisque cette dernière sera laide.

b) Ensuite Pascal nous parle des qualités intellectuels comme critères de l'amour qui suivent les qualités physiques. Il parle d'abord du jugement qui est une faculté de l'esprit à distinguer le vrai du faux donc à juger se qui est bon de se qui ne l'est pas. Ensuite il nous parle de la mémoire qui est la faculté de se rappeler du passé, donc se qu'on a vécu ou appris précédemment. Toutes les deux constitues l'intelligence d'une personne. Pascal comme pour la beauté, nous demontre que si nous aimons une personne pour ses qualités intellectuel nous n aimons pas la personne en elle même ou le moi car ces caractéristiques peuvent aussi disparaître avec le temps. Donc les qualités intellectuel par exemple. Mais une personne n'est composée que du corps matériel et de son âme qui habite ce dernier, alors forcément le moi se situe dans l'un ou l'autre. Peut être selon lui, le moi n'existe pas ou pas dans les critères de l'amour vu précédemment. Dans la deuxième question qui est une question pour laquelle il connaît déjà la réponse, Pascal revient à dire que nous pouvons aimer intellectuelles et physiques ne constituent pas l'identité de la personne donc le moi.

II

a) Ensuite Pascal pose trois questions pour essayer de répondre à la problématique. Tout d'abord il se demande ou se situe le moi puisqu'il n'est ni dans le corps donc le physique et ni dans l'âme donc intellectuel par exemple. Mais une personne n'est composée que du corps matériel et de son âme qui habite ce dernier, alors forcément le moi se situe dans l'un ou l'autre. Peut être selon lui, le moi n'existe pas ou pas dans les critères de l'amour vu précédemment. Dans la deuxième question qui est une question pour laquelle il connaît déjà la réponse, Pascal revient à dire que nous pouvons aimer intellectuelles et physiques ne constituent pas l'identité de la personne donc le moi.

un individu pour ses qualités de son corps ou de son âme ou bien même les 2, mais celles-ci ne constituent pas le moi car elles sont périssables donc éphémères. Mais cela veut dire qu'il y a bien  des qun individu pour ses qualités de son corps ou de son âme ou bien même les 2, mais celles-ci ne constituent pas le moi car elles sont périssables donc éphémères. Mais cela veut dire qu'il y a bien  des qualités qui nous séduit, de plus si ses qualités ne constituent pas le moi, alors nous n'aimons  toujours pas la personne en elle même donc nous n'aimerons que ses qualités. Si on aime quelqu'un pour ses qualités physiques, lorsqu'elle va vieillir je ne l'aimerai plus puisque c'est une qualité périssable qui ne constitue pas le moi. Nous pouvons dire qu'Il y a un certain paradoxe dans son idée.

b) La troisième et dernière question explique pourquoi aimer une personne se serait aimer la substance de l'âme. Une substance dans ce contexte, et d'un point de vu philosophique est ce qui existe en soi. Sur ce point de vue Pascal est en accord avec Platon que l'ame est essentiel à l'individu et non le corps puisqu'il change comme nous l'avons vu, puis car comme le pense Aristote la substance et ici l'ame renvoie à la pensée. En plus c'est cette dernière qui le commande avec ses qualités intellectuelles . De surcroît nous savons que se qui est périssable ne constitue pas le moi donc le corps n'en fait pas parti, alors ce serait une partie de l'ame qui reste identique qui constituerait le moi. Mais on connaît juste les qualités de la substance de l'ame mais on ne connaît pas directement se qu'elle contient.

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