DISSERTATION PHILOSOPHIE TERM S - La culture peut-elle permettre de surmonter la barbarie
Dissertation : DISSERTATION PHILOSOPHIE TERM S - La culture peut-elle permettre de surmonter la barbarie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mathis Varchavsky • 12 Mars 2019 • Dissertation • 1 163 Mots (5 Pages) • 955 Vues
DISSERTATION DE PHILOSOPHIE
L'éducation actuelle donne une place importante à la culture. En effet, il semble être dans l'esprit commun que celle-ci mène a un comportement raisonnable et non-violent. Mais qu'en est-il réellement ? La culture, définie par Edward B Tylor comme un ensemble complexe qui englobe les connaissances , les croyances, les arts, la morale, les lois, les coutumes et toute autre capacité et habitude acquise par l'Homme en tant que membre d'une société, est-elle l'ennemie naturelle de la barbarie qui elle est définie comme tout comportement ou acte d'une cruauté extrême et destructrice ? La culture semble s'opposer naturellement à la barbarie. Néanmoins, nous pourrions également répondre non se basant sur des exemples de conflits menant a des actes cruels, inhumains ( torture, exécutions...), entre plusieurs pays défendant ou voulant imposer leur culture. Ainsi, il paraît nécessaire d’éclaircir la relation culture barbarie et de se poser la question suivante :
La culture permet-elle de surmonter la barbarie ?
Afin de répondre a cette problematique, nous nous interesserons en premier lieu à la nature, la civilisation et la culture en s'appuyant sur des extraits des 3ème et 7ème propositions d'Idée d'une histiore universelle au point de vue cosmopolitique de Kant. Ensuite, nous nous interesserons à l'économie, partie de la culture menant à des souffrances en se basant sur un extrait de Manuscrits de Karl Marx paru en 1844.Enfin, nous nous pencherons sur les coutumes, au cœur de la culture et souvant barbare.
Kant annonce que l'Homme est « civilisé jusqu'à en être accablé » or la culture peut s'aparenter au ciment du grand bâtiment de la civilisation. Nénmoins, il faut être attentif à la notion de moralitée également utilisée par Kant car selon lui, « se tenir déjà pour moralisés, il s'en faut encore pour beaucoup ». La cuture nécéssaire au sein de la civilisation (à ce niveau là) se limite à « l'apparence de moralité » ( « Tout bien, qui n'est pas greffé sur une intntion moralement bonne, n'est rien d'autre qu'une apparence ostentatiore »). L'Homme à tout de même la capacité à être moralement bon, cela grâce à un « travail interieur », un changement du « mode de penser ». Malheureusement, les Etats ne laissent pas cette possibilitée aux habitents de par leur constente recherche d'expansion violente. Ainsi, la moralité peut être atteinte grâce à la culture avec des efforts et des conditions requises.
« les générations antèrieures ne paraissent s'être livré à leur pénible besogne qu'à cause des générations ultérieures ». On peut considérer que l'héritage laissé par une génération à la suivent l'apparente à la culture ou du moins en est une partie conséquente. Kant nous explique que cet héritage sert un but primaire de survie et de pérpétuation de l'espèce. Vu sous cet angle, la culture est une arme de l'être humain au même titre que les capacités phisiques servant à la violence . La culture pourrait alors coéxister avec la barbarie.
Ainsi, la culture est une caractérisique de l'humain pouvant mener à la moralité lorsque il y a possibilité de la développer suffisement mais est également un moyen de survie.
La société fonctionne souvent par hiérarchie. On peut parler de culture organisationelle. Les forts dominent les faible, les exploitent. On retrouve ce modèle dans la description de l'économie, du monde du travail décrit par Marx. Ainsi la culture peut dicter une attitude de domination, d'exploitation pouvant causer la mort. « Pour que la vie de l'homme soit une marchandise, il faut donc admettre l'esclavage » Marx emploie même le terme esclavage pour désigner le rapport entre employeur et employé. Cet exemple met en évidence que des habitudes de société, étant une partie de la culture peuvent avoir des conséquences barbares. La culture est parfois à l'origine d'un comportement violent. « Nous avons la convition partagéé par les commissaires chargés de l'enquête sur la condition des tisserands à la mains que les grandes villes industrielles perdraient, en peu de temps, leur population de travailleurs , si elles ne recevaient à chaque instant, des campagnes voisines, des recrues continuelles d'hommess sains, de sang nouveau » La culture organisationelle est à l'origine d'un réel bain de sang. Néenmoins, on peut considérer que cette culture organisationelle va de paire avec l'industrialisation et le développement, qui a permis aux Hommes de vivre (globalement et au bont d'une longue période) mieux et de manière plus aisée. De plus une élévation du niveau de vie entraine une baisse de la criminalité, de la violence... de la barbarie.
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