Pourquoi la gestion multisectorielle de l’environnement naturel est elle devenue une priorité des nations et des sociétés actuelles ?

Lucyle Seval                                                                                                                  8 01/2021

Dissertation Environnement durable

• Pourquoi la gestion multisectorielle de l’environnement naturel est elle devenue une priorité des nations et des sociétés actuelles ?

        « La biologie de la Terre va connaître un vrai bouleversement au moins aussi radicale que lors de la dernière glaciation il y a 11000 ans qui mènera une extinction de masse » avait publié la revue nature en juin 2012 sur une étude faites par un groupe de 21 scientifiques. La question environnementale est donc un sujet important a traité. L’environnement naturel est l’environnement qui n’a pas subi de modification par l’homme. Cet environnement est exploité par l’homme et sa gestion est très débattue . Sa gestion peut être unisectorielle ou bien au contraire multisectorielle c’est à dire relative à plusieurs secteurs : économiques, sociales, environnementales. Beaucoup de personnes considèrent que l’écologie et l’économie ou encore l’écologie et le sociales ne peuvent pas fonctionner en parfaite harmonie .

Faut il donc résoudre les problèmes écologiques avec une gestion unisectorielle pour des résultats plus bénéfiques, au dépit des autres systèmes économiques et sociales ?

D’abord nous verrons que pour une approche plus saine de l’aménagement de nos environnements naturelles il faut réussir à respecter  le principe du développement durable. Mais que cette idée peut venir être ralentit par différents acteurs comme le temps et l’économie.

        Dans notre société il faut satisfaire le plus de monde pour que les choses changent et les structures du développement durables peuvent être un bon compromis.

        Le développement durable est un mode de vie qui consiste à penser aux générations futures tout en répondant aux besoins des générations actuelles. Il s’appuie sur trois  piliers qui sont, l’économie, le social et l’environnement. Enfin des petits éléments viennent s’embrancher à ses piliers. Équitable, viable et vivable ; tout cela dans une idée que ce soit durable et donc que cela dure dans le temps. Néanmoins la dimension environnementale prends une place moins importante par rapport aux deux autres. Ce modèle es t important à respecter car il faut faire face à de nombreux problèmes . En effet la population augmente de jour en jour, et 10 milliards d’individus sont attendus d’ici 2100. Sachant qu’aujourd’hui nous étions au alentour de  8 milliards fin 2020. Plus de gens devront être nourri, il faudra plus d’espace pour accueillir ses personnes et donc plus de travail. Nous retrouvons bien les 3 piliers :  développer le recyclage et moins consommer de matière première pour permettre aux générations d’en avoir encore  (environnemental) . Réduire le chômage par des politiques de réinsertion et les inégalités sociales avec des bâtiments sociaux mélangés à ceux des classes les plus aisés ( sociales ). Et former des personnes à des métiers plus en rapport avec la nature comme il se fait à la réunion. Les détenus réunionnais sont utilisés comme main d’œuvres pour la création de grandes serres biologique et des panneaux solaires.

        En soit nous pouvons remarquer que ses 3 piliers peuvent fonctionner ensemble. Mais d’autre question rentrent en jeu pour d’autres aspects néanmoins cela reste une nécessité de les faire fonctionner ensemble.

        Pour la majorité des politiciens, ne pas respecter ses trois aspects peut faire tomber une société. Prenant l’exemple des transports.. Pour sauvegarder notre environnement l’ideal serait de bannir Les voitures car ce sont des machines à Co2. Ce gaz serait à l’origine de l’augmentation des température. En effet une fois que les rayons du soleil touchent la surface terrestre ces longueurs d’ondes se transforment en infrarouges et sont piégés par le Co2. Plus il y a de Co2 plus les infrarouges se concentrent dans l’atmosphère et plus il fait chaud. Cela finit par dérégler notre climat, certaines espèces disparaissent . Il faut savoir que par an les voitures rejettent par an, 1 972 kilogramme de co2 dans l’air.  Lors de des COP, qui s’organisent une fois par an depuis 1995 des politiques se rejoignent pour parler de notre écosystème et de son évolution. Les préoccupations par rapport à l’augmentation des température reviennent tout le temps. Mais les choses avancent lentement. Le problème étant que certaines personnes ne peuvent pas se passer de la voiture. Ceux qui habitent dans des milieux ruraux par exemple. Même si l’État décide de faire des efforts d’un point de vue environnemental d’autres problèmes interviennent. L’année 2019 a été révélatrice en France. L’état a voulu augmenter le prix du pétrole pour dissuader les français à prendre la voiture, mais cela a abouti à des contestations de grandes ampleurs avec la crise des gilets jaunes. Cela est la preuve que nous pouvons pas régler les choses en ce concentrant sur juste un domaine du développement durable.

        Néanmoins même si certains développement mettent du temps à voir le jour. A l’échelle globale nous pouvons nous apercevoir l’assemblage harmonieux du sociale, économique , et écologie est une réalité concrète

        En effet , à Todmorden en grande Bretagne en 2013 , le district de Calterdale a mis à disposition pour ses 200 000 habitants des terrains vacants pour y cultiver de la nourriture et ils ont réinvestis la campagne environnante pour faire de l’agro-écologie.  Sur 300 m de carré de potagers 1  demi tonne de nourriture est produite par an.  A la tête de cette idée se trouve Nick Green doctorant en bio chimie. Dans le documentaire Demain, on apprend que 70 % de la nourriture provient des petits agriculteurs et pour Nick «en terme de production, les industrielles sont inefficaces. « Ce qu’ils font bien c’est de l’argent. Ce qu’ils font mal, c’est de la nourriture. ». Mettre plus de petites fermes bio qui utilise la permaculture tout autour des villes voudrait dire : création d’emplois « green deal », et amélioration de rendements sans polluer les sols et les eaux d’intrants et d’OGM. Selon l’ONU grâce à une terre plus saine les rendements pourraient être augmentés par deux et à condition de consommer moins de viandes cela permettrait de nourrir 10 à 12 millions de personnes dans les 20 prochaines années.

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