Philo explication kant

Ce texte de Kant traite de la conception du bonheur.

En effet, Kant se pose la question de savoir si nous sommes capables ou non de donner une définition exacte du bonheur.

il pense et soutient que le concept du bonheur est indéfinissable pour un être-humain. Il soutient que l’on peut se faire une idée approximative du bonheur mais que il est impossible de déterminer notre bonheur.

Ce texte est construit en trois parties. Tout d’abord, du début jusqu’à « pour le présent et pour l’avenir » (l.7), Kant explique que les désirs sont indéfinissables : il énonce sa thèse. Ensuite, de « Or il est impossible » (l.7) jusqu’à « il lui faudrait pour cela l’omniscience » (l.12), il prétend que la nature humaine fait que nous sommes incapables de pouvoir déterminer ce qui contribue à notre bonheur. Enfin, de « il est donc impossible d’agir » (l.12) jusqu’à la fin (l.17), Kant explique qu’on peut être heureux en suivant les expériences des autres, mais pas les réflexions déterminées.

1ere partie

Kant présente sa thèse au tout début du texte. Il défend l’idée que le bonheur de bonheur est indéfinissable car il dépend de chacun.

Il commence par généraliser sa thèse pour l’expliquer « personne » (l.2). Il constate que tout le monde désire avoir du bonheur « chacun désire être heureux » (l.1-2), mais qu’on n’est pas capables d’expliquer une définition généralisée du bonheur, « personne » ne peut expliquer le bonheur. On construit nos désirs en fonction du bonheur que cela va nous apporter. Pour Kant, on ne sait pas anticiper comment le bonheur va être, sous quelle forme : « le concept du bonheur est si indéterminé » (l.1). Le désir de bonheur est indéfinissable, on sait ce que c’est mais on ne sait pas comment ça marche. Le bonheur est l’accomplissement d’un individu mais on ne peut pas déterminer les éléments concrets qui se rattachent au bonheur et pourtant, on construit nos désirs en fonction du bonheur que cela va nous apporter. Kant explique cela car, au contraire, si le bonheur était déterminé à l’avance, chacun saurait ce qu’il désire à l’avance, et donc cela ne nous rendrait pas forcément heureux, ou moins heureux, avec ce type de bonheur. Donc Kant soutient une idée de bon sens, il vaut mieux ne pas savoir comment sera notre bonheur à l’avance, pour être encore plus heureux par la suite.

1ere partie

Kant présente sa thèse au tout début du texte. Il défend l’idée que le bonheur de bonheur est indéfinissable car il dépend de chacun.

Il commence par généraliser sa thèse pour l’expliquer « personne » (l.2). Il constate que tout le monde désire avoir du bonheur « chacun désire être heureux » (l.1-2), mais qu’on n’est pas capables d’expliquer une définition généralisée du bonheur, « personne » ne peut expliquer le bonheur. On construit nos désirs en fonction du bonheur que cela va nous apporter. Pour Kant, on ne sait pas anticiper comment le bonheur va être, sous quelle forme : « le concept du bonheur est si indéterminé » (l.1). Le désir de bonheur est indéfinissable, on sait ce que c’est mais on ne sait pas comment ça marche. Le bonheur est l’accomplissement

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