Philo-kant et rousseau
Thèse : Philo-kant et rousseau. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Amélie Lévesque • 20 Juin 2015 • Thèse • 1 700 Mots (7 Pages) • 1 188 Vues
Comparer les théories de Rousseau et de Kant sur les facteurs qui permettent aux humains d’éviter ou de mettre fin à la violence.
Rousseau et Kant, 2 grands philosophes, on élaborer chacun une théorie dans lequel l’humain chute dans le mal. …
Avant tout, essayons de comprendre comment l’humain de Rousseau vivait-il dans un monde sans violence. L’environnement était favorable à la survie de l’homme. Ainsi, l’homme n’avait qu’à satisfaire c’est 3 besoins élémentaire; manger, s’accoupler et dormir. Facile à combler, c’est besoin physique lui était indispensable pour sa survie et il n’avait qu’à se concentrer sur cela. C’est passions aucunement développer ne pouvait lui causé problème, puis qu’il ne connaissait rien d’autre que ses besoins élémentaire et ses deux craintes (la faim et la douleur).
Ainsi, l’homme naturel ne dépendait de personne pour combler ses besoins. Avec si peu de passion et des besoins faciles à combler, l’humain sauvage est plutôt un être solitaire que méchant. Les hommes s’évitait et même s’il se rencontrait, il ne faisait que passer l’un a côté de l’autre.
Dépourvue de moralité, il n’avait aucune notion du bien et du mal. Alors même s’il voyait de la violence, il ne pouvait dire si c’était juste ou injuste et ne pouvait même pas penser à une vengeance. Bref, l’humain avait l’ignorance du vice.
Les 2 principes naturels qui excitaient dans l’âme humaine étaient l’amour de soi et la pitié naturelle. Il formait une sorte d’équilibre. L’amour de soi permettait à l’homme d’assurer sa survie. Puis de l’autre côté, la pitié naturelle permettait d’avoir une sensibilité à la souffrance d’autrui. Les 2 mis ensemble assuraient une harmonie. L’homme tout en essayant de combler ses besoins ne pouvais faire du mal ou causer une souffrance aux autres. La pitié naturelle était en contre poids avec l’amour de soi.
Les hommes d’autrefois n’avaient nul besoin de loi. La pitié était une force innée en eux qui empêchait toute violence. Ainsi, il n’avait aucune sorte de conflit puis qu’il y avait que des conditions favorables pour les empêcher.
Le grand point tournant qui a fait chuté l’homme dans le mal est l’arrivé de la rationalité.
La raison a permis de multiplier les désirs, les passions et les connaissances de l’homme. Étant réciproque, il évolue tous ensemble. En développant sa rationalité, il fortifie ses connaissance et en conséquent désirs plus de chose. De l’autre côté, désirer quelque chose nécessite de la réflexion et des connaissances, ainsi l’homme développe la raison.
L’équilibre entre l’amour de soi et la pitié naturelle est maintenant détruite. La rationalité fait réfléchir l’humain et fait taire la pitié en nous. La pitié est supposée être naturelle. Ainsi, quand l’homme réfléchie, la réflexion fait replier l’humain sur lui-même et le rend égoïste et orgueilleux. De ce fait, l’amour de soi se transforme en amour propre (égoïsme et orgueil). Le déséquilibre entre les 2 principes naturels de l’âme et la transformation de l’amour de soi en amour propre crée une discorde. La réflexion augmente l’amour propre (le souci de soi) et fait diminuer la pitié naturelle. La pitié n’est donc plus spontanée. Comme dit un peu plus tôt, la pitié empêchait toute violence.
L’une des conséquences négative, selon Rousseau, de l’arrivé de la raison est la création des communautés/sociétés. L’homme est maintenant rendu dépendant et vit en relation avec les autres. Il a cru voir nécessaire d’associé des mots à des concepts, en conséquent à créer les langues. La rationalité est en relation avec la langue (leur développement est réciproque) et c’est seulement nécessaire pour la vie en communauté. L’humain civilisé a plus de désir a comblé, ainsi l’homme a besoin des autres pour survire et ils sont tous dépendant.
La loi du plus fort, qui était absente dans l’était de paix, amène la violence. Les plus forts pourront profiter de leurs avantages physiques et dominer sur les plus faibles grâce à la violence. Eux seront obligés d’obéir au caprice du plus fort. De la sorte que tout le monde en société sera lié. La diminution de la pitié naturelle contribuera à la violence.
Bref, la rationalité à contribuer à la violence et à la chute dans le mal de l’homme. Autant les désirs, les passions, les connaissances, les langues, etc., tous des conséquences de la raison ont aussi perfectionné la raison humaine, tout en détériorant l’humain. Il l’a rendu sociable, dépendant, indifférent et méchant. Il y a maintenant d’inégalité social et économique (pauvre/riche) dans les communautés. Ainsi, c’est la pitié naturelle qui empêche la chute dans le mal. Pour empêcher l’homme d’usé de la violence, il faut empêcher le développement de la raison d’apparaitre.
Kant a une toute autre théorique sur la chute dans le mal et sur les solutions pour y sortir. Tout d’abord, essayons de comprendre pourquoi l’homme a-t-il chuté dans le mal.
Le point de départ dans la théorie de Kant est lorsque l’humain sait déjà parler. Il juge que ce n’est pas nécessaire et que c’est trop conjecturelle de parler du premier humain qui est dans un état d’animalité. Ainsi, l’homme sait déjà parler, à une pensé et vit dans une communauté élémentaire (couple).
Dès lors, il y a l’éveil de la raison et du libre-arbitre. Sans trop rentrer dans les détails, cet éveil se fait en quatre étapes. Il y a l’influence de l’alimentation, ce qui a permis à l’humain d’essayer d’autre aliment qu’il n’aurait jamais mangé. Il se libert de sa perception sensorielle. Par la suite, il y a l’influence de la sexualité. L’homme crée des artifices pour prolonger ses désirs sexuelle et il choisit c’est partenaire ce qui a pour conséquence une exclusivité. Ce sont les premier pas de la sociabilité. La troisième étape est la capacité à se projeter dans le temps. Puis, la dernière étape est la conscience de sa propre dignité. Cette étape n’est toujours pas comprit aujourd’hui. L’homme fait la distinction entre la valeur d’une personne et a valeur des choses. L’humain a donc une fin en soi tandis que les choses ont un prix, ce sont des moyens et sont dépourvue de la rationalité et du libre arbitre. Il se donne de la sorte un statut spécial.
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