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La conscience - cours terminale

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Par   •  25 Février 2017  •  Cours  •  3 562 Mots (15 Pages)  •  1 290 Vues

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LA CONSCIENCE

L’âme (intérêt pour existence avant existence…)

« Je sais que je ne sais rien » —> 1e problème

Apologie de Socrate, Platon

Philo ne s’apprend pas, se construit - ni figé, ni définitif = DIALOGUE

science connaissances - apprentissage / sagesse : usage autonome de notre raison

philo : amour de la sagesse (amour pas approp.)

Philo définie par Kant à partir de questions :

• Que puis-je savoir ?

métaphysique : ensemble des conn. qui viennent de la raison seule

(au delà de l’apparence sensible : la raison)

Grands principes de la connaissances au delà de l’exp. / Partie, branche de la philo qui traite des principes premiers de la conn. ou encore qui recherche les causes premières de l'être au delà de c que l'on voit ou de ce que l'exp. montre

Au delà du physique :…Dieu (qsmnt métaphysique : question d’ordre théorique…théo)

• Que dois-je faire ?

devoir, action MORALE - valeur de nos actv

BIEN // MAL - Jugement de la conscience

morale concerne autrui et sa liberté

• Que m’est-il permis d’espérer ?

religion, croyance, foi, certitude subjective…(espoir crainte?)

• Qu’est-ce que l’homme ?

anthropologie - s’interroger sur l’homme - science de l’homme, envisagé comme être de culture dans ses pratiques..

La philo recherche des principes

s’interroger sur des principes : domaine de la raison : faculté de l'homme de penser qui fonctionne avec des idées, des concepts abstraits

Chez K la raison est en effet la faculté des principes et des lois - source des conn. universelles en général

« L’ensemble des principes qui preside à la conn., dont la vérité, ne dépend pas de l’expérience »

Philo : savoir qui repose uniquement sur l’usage autonome que chacun peut et doit faire de sa propre raison

Kant : Lumières…/ en apl à l’usage de la raison

« Aies le courage de te servir de ton propre entendement » penses par toi-même

QU’EST-CE QU’UN SUJET

I- La consciences/ faculté de conscience : à l'origine de notre statut de sujet

1- La cs : constitutive de notre dignité

Pascal, Pensées : misère et grandeur de l’homme

interrogation sur la place de l'homme dans l'univers (qu’on distingue du monde clos, fini) dans l’infini

homme : néant "un tout à l’égard du néant » - « un milieu entre rien et tout » « comme un point » - par rapport à l'infiniment petit/grand

« monstre incompréhensible » « éminemment contradictoire » = peut être considéré comme fini, du pt de vue spatiale = du pt de vue de la pensée = infini

l’homme comprend l’univers intellectuellement

roseau : fragilité (espace temps) pensent : force spirituelle

se rendre compte de - ne subit pas les lois de la nature parce qu’il pense

être : se rendre compte de, auteur respons. de ses actes

responsabilité parce que liberté

Hegel, Esthétique : l’homme comme être pour soi

Peu de choses immédiates chez l’homme sinon son instinct

existence Pour soi : appropriation, choix

existence En soi : « subit » enfermement

Cs : source de représentation

(chose en soi : sujette à Chose pour soi)

Sartre, L’imagination : la distinction être conscients / choses

pour soi : homme (cs) : Liberté, existence, se fait spontanément

en soi : choses : inertie, présence, contenu sensible, tangible

Homme accède, par la perception, aux choses + la sensibilité / inertie de la chose : pas immuable, tj des facteurs extérieurs- ne changent jamais par elle-mêmee

Ce que nous montre ces trois textes c’est que la cs peut-être définie par cette capacité naturelle de nous rendre compte de ce que nous vivons au fur et à mesure - d’où cette double existence. La conscience c’est donc une faculté de représentation grâcee à laquelle nous représentons le monde extérieur, les autres, et nous-même

se représenter /// percevoir /// sentir

la conscience n’est pas d’ordre matérielle elle n’est pas localisée dans aire précise - les faits ne sont pas Dans notre cerveau - en effet la cs et les faits de la cs ne sont rien de matérielle, physique

La conscience est une expérience que nous faisons et par laquelle nous sommes capables de nous identifier comme des sujets tout en nous distinguant des choses

Il existe par ailleurs diff. niveaux de consciences, notamment la conscience immédiate et autre : la conscience réfléchie càd la volonté, décision de s’examiner soi-même pour se connaître - Effort de conscience (introspection) qui vise l’analyse

Les hommes sont des êtres consciences, il n’empêche que nous ne sommes pas conscients dès notre naissance.

en réalité la conscience de soi se dvlp, s’acquiert jusqu’à (selon les psy) le stade du miroir : le psychanalyste (Lacan) : période dans l’enfance (6/12mois) - au cours de laquelle l’enfant se reconnait dans le miroir : s’identifie à l’image qui appa. en face de lui : institution de l’Unité de sa personne = commence à devenir un sujet - rapport à lui même- ses actes, pensées, désirs,

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