L'être humain à travers le Christianisme

Le christianisme à considérer dans un premier temps, qu’il fallait rendre coups pour coups dans la vie de tous les jours. Cependant, cela a était vite rectifier pour avoir une moralité beaucoup plus humaine est ainsi promouvoir le pardon et l’amour plutôt que la violence. La liberté humaine est quant à elle, défini à l’aide de c’est propre choix. Néanmoins dans le christianisme celle-ci est rendu limité par la foi. De plus, la foi engendre aussi de l’espoir, dont l’espérance que dieu leur viennent en aide contre les forces du mal, et que celui-ci revienne les délivrés contre les forces du mal, et les guider dans un monde meilleur.

Thèmes 3 : l’espérance face au futur

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Thème 1 : la moralité humaine

Dans un premier temps, il est importante de déchiffrer ce que signifie exactement la moralité pour les chrétiens. Et plus particulièrement, comment le christianisme défini la conception de l’être humain. De manière un peu plus significative, la moralité présente dans le christianisme varie en deux points. Le premier, est défini par le Nouveau Testament qui rompt totalement avec la loi du talion « œil pour œil, dent pour dent » (Exode 21, 23-25) qui est préconisée par l’Ancien Testament. Le Nouveau Testament prône donc, une morale plus proche de l’amour et du pardon :

« Vous avez entendu qu’il a été dit : Œil pour œil, dent pour dent. Mais moi je vous dis de ne pas résister au méchant. Si on te frappe sur la joue droite, présente encore l’autre joue. Et si quelqu’un veut te réclamer ta tunique, donne-lui aussi ton manteau. » (Matthieu, 5, 38-40,).

Cette idée apportée par le Christianisme est celle d’une très grande humanité, ce qu’il lui acquiert une autre dimension. Celle, que tous les hommes sont égaux, que nous sommes tous des frères en tant que créatures de Dieu, dotées des mêmes capacités de choisir librement le sens de leurs actions. Les premiers à avoir propager cette parole, fut l’église. Occupant une place forte dans ce cette religion. Ils sont les principaux propagateurs de la doctrine sur la morale chrétienne. Avec notamment, pour règles d’or : « Faites pour les autres tout ce que vous voulez qu’ils fassent pour vous » (Matthieu, 7, 12^[a]), et formule le commandement « d’aimer son prochain comme soi-même » (Lévitique, 19, 18), « d’aimer ses ennemis » (Matthieu, 5, 44) et ordonne selon la parole de Jésus : « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » (Matthieu, 22, 21).

Thèmes 2 : la liberté humaine

La liberté humaine ce défini à l’aide de c’est propre choix.  L’homme est libre de faire ses choix, grâce à c’est connaissances personnelles. Néanmoins, la conception que propose le Christianisme et bien différente. Il s’agit de comprendre que celle-ci est bâti sur l’idée que propose le bien et le mal, qui a été transmis et instruit par l’Evangile. Pour comprendre la chose, il ‘agit de voir à travers la conscience d’un chrétien. Car celui-ci reconnaît immédiatement sa responsabilité dans le péché, et reconnaît aussi que sa propre liberté vient de Dieu.  Jésus a dit : « car sans moi vous ne pouvez rien faire » (Jean,15,5), Cette citation peut être comprise de deux façon. Premièrement elle exprime le fait que l’homme n’est pas libre sans Dieu, ce qui est facilement constatable dans notre nature humaine. Plus précisément cela signifie qu’en se distançant de Dieu, l’homme pourra se sentir libre, l’homme se rend donc lui-même esclave de sa prétendue liberté. Deuxièmement, cette citation peut aussi exprimer que sans Dieu, l’homme se dispose au mal, car une fois qu’il est l’unique responsable de sa volonté, il devient facilement subjectif, égoïste et cela peut le conduire jusqu’au vice. Dès que les hommes se débarrassent de Dieu, alors chacun s’engloutit dans l’égoïsme de sa volonté, et cela fait comme fragmenter la société en des millions d’atomes que sont les individus. Néanmoins, sans doute que l’unique chemin pour lui est le chemin de la foi car si l’homme persiste à sortir Dieu de sa vie et de sa culture, il se perdra à nouveau. Car dans l’anthropologie chrétienne, la foi précède la raison.

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