Prostitution

Nous sommes tous, par amour, par accident ou par simple convention sociale, la somme d’un geste instinctif au caractère animal. On peut donc affirmer que la sexualité est un comportement normal et inévitablement essentiel à l’être humain. Par contre, malgré l’évidence de sont existence la sexualité est un acte tabou et les règles de celle-ci sont hautement standardisé, mais qui fait les règles? Quelles sont les normes pour une relation harmonieuse, équitable et morale?

Bien que ce soit le plus vieux métier du monde, la prostitution est très mal perçue et compte probablement parmi les plus grands et populaires débats éthiques. La question de la prostitution renvoie directement à nos valeurs personnelles et sociales, même la religion et ses vertus y sont fortement ébranlées lorsqu’il est question du péché originel. Dans certaine culture la sexualité est uniquement pratiquer à des fins de procréation est la prostitution y est proscrit et perçus comme complètement immoral. À l’opposé, par exemple dans la Grèce antique, la prostitution était monnaie courante. Pour l’instant la prostitution à une haute aspect de relativiste moral, car elle est très loin d’être jugé de la même façon selon la culture et l’époque. De plus, on peut facilement observer que la politique joue un rôle notable dans la légifération et le contrôle de la prostitution. Bref, la prostitution est une ressource inépuisable de notions éthique.

Par conséquent, je me suis intéresser à se sujet tant controverser et dans une quête éthique, j’ai tenter de trouver la meilleure avenue pour tous en ce qui a trait à la prostitution et tous les enjeux qui si rattache. De prime abord, il faut savoir que la prostitution au Québec et dans le Canada n’est pas un acte considéré illégal, cependant le racolage, le proxénétisme et les maisons de débauche le sont. Aucune règlementation, au Canada, le client est roi. Malgré que la prostitution soit légale, elle est très loin d’être bien perçue, et surtout, bien vécue. Un trop grand nombre de prostituer sont victime d’abus et de violence. Laisser à eu même, les travailleuses et travailleurs du sexe sont laissés à eux même, sans recourt. Or, est-ce que la prostitution au Québec devrait être étatiquement encadrée? Pour ma part, je pense sincèrement qu’il serait beaucoup plus bénéfique pour tous, les travailleurs, les bénéficiaires et la communauté, que la prostitution soit réglementaire et structurée par le gouvernement. D’une part pour des raisons d’ordre moral pour la santé physique est psychologique des travailleuses, ensuite au niveau fonctionnel afin d’augmenter le bien-être de certain type de personnes et finalement dans le but de procuré à tous une satisfaction au niveau esthétique.

Tout d’abord, l’idée que la prostitution soit encadrée par le gouvernement semble au niveau moral un atout majeur. Il est évident que la prostitution pratiquée comme elle l’est aujourd’hui, comporte énormément de risque pour le client, mais aussi pour la travailleuse. Comme j’ai pu le constater au travers de mes recherches et des nombreux documentaires visionner sur le sujet, les travailleurs et travailleuses du sexe sont non seulement aux prises avec des problèmes au niveau de la santé physique, par exemple les maladies transmises sexuellement, mais elles doivent aussi se protéger contre les violences faites d’une part par les clients et d’autre part, par les proxénètes. (Les proxénètes sont des personnes qui, bien souvent, font le pont entre les prostituer et les clients et dont elles tirent profit bien entendu.) Les travailleurs et travailleuses de la rue sont donc trop souvent victimes de violences physiques qui, bien entendues, ont des répercussions important au niveau psychologique, en d’autres mots d’ordre de la santé mentale. C’est donc par la prise en charge de se réseau de travail clandestin par le gouvernement afin d’en faire un réseau élargit de service sociaux que l’encadrement étatique amènerait des normes de travail qui augmenteraient de façon marquer la qualité de vie et la santé physique ainsi que la santé mentale des personnes qui ont choisi cette carrière.

Par ailleurs, une prise en charge de la prostitution par le gouvernement amènerait sur un plan fonctionnel en faveur des clients, bon nombre de bien fait. Plus précisément, certaines personnes souvent de handicap physique ou intellectuel

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