Le Vieillissement démographique

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Introduction :

« VICTOR L’ENFANT SAUVAGE » de François Truffaut est un film inspiré d’une histoire vraie réalisé grâce aux mémoires de Jean Itard (docteur, psychologue). Ce film nous raconte l’histoire d’un enfant sauvage amené à la civilisation. Le docteur Jean Itard pense pouvoir civiliser un Homme à l’état sauvage. Cependant « Supplément au voyage de Bougainville », de Denis Diderot, conçue comme un dialogue, B (un des personnages du texte) est d’un avis contraire à ce que pense le Dr Itard. Dans cet extrait, Denis Diderot met en scène un dialogue entre deux personnes, ici, A et B. cette extrait soulève le problème du colonialisme et célèbre la vie sauvage par rapport à l'homme civilisé, qui est ici dénigré. Nous verrons pourquoi selon Diderot (ou B) l’homme sauvage doit rester à l’état sauvage.

Cet extrait de texte de Diderot nous présente un dialogue entre deux personnages qui sont : A et B. A posse une question à B qui lui va répondre d’une manière personnel «faut-il civiliser l'homme, ou l'abandonner à son instinct ? » B pense qu’il n’y a rien n’à faire pour pouvoir civiliser l’Homme sauvage et qu’il faudrait mieux le laisser vivre sa vie que de la lui démolir.

A demande à B s’il faudrait instruire l’Homme sauvage au monde moderne, moral et dénigré, ou le laisser vivre comme il a toujours vécu selon son instinct, ce qui veut dire vivre le jour le jour en écoutent la petite voie (qui est sois même) qui nous dicte ce que l’on doit faire vivre ses envies, en écoutent ses propres volontés, ses propres désirs, vivre librement sont règles ni limite.

B demande s’il doit répondre à cette question de manière honnête, direct, en toute franchise.

A répond oui. B dit alors :

Que si A se propose d’être celui qui exercera son autorité sur l’homme sauvage pour le civiliser qu’il le soit donc qu’il l’empoisonne l’esprit de règle de conduite d’une société de chose que la nature ne demande pas ; attaché le les jambes, emprisonné le des différentes manières pour qu’il ne s’échappe pas ; empêcher tous ses mouvements et gestes de différentes manières ; mettez lui des vêtements, des bijoux, montrer lui des films des choses qu’il n’a pas l’habitude de voir, de porter, des choses qui l’effraierons ; rempliser votre coeur de haine pour pouvoir civiliser sauvage, et que l’homme sauvage soit soumis à l’homme civiliser avec des règles de vie.

Dans cette première partie nous pouvons voir différentes techniques de civilisation dans une deuxièmes partie B pose une question à A « le voulez-vous heureux et libres ? » réponse de B « ne vous mêlez pas de ses affaires » : des évènements imprévus qui peuvent avoir de graves conséquences sur autrui voir la mort des civiliser ou même à la débauches sexuel.

B ainsi par la suite s’adresse aux civilisateurs ou pourrai-je dire aux colonisateurs et dit ;  « et vous demeurez à jamais convaincu que ce n'est pas pour vous que vous faite de l’homme naturel un homme moral, mais pour eux, pour leurs bien selon vous, de la même manière que ses personnes qui établisse les lois vous en façonner, de manque de simplicité

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