Explication du Texte De Leibniz
Compte Rendu : Explication du Texte De Leibniz. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gongyoo • 26 Décembre 2014 • 4 786 Mots (20 Pages) • 1 181 Vues
1) l'idéé générale du texte est spécifié dans la premiére phrase de ce texte .la nuance exacte de cette idée est exprimée d'un point de vue
grammatical , par la présence d'une proposition introduitepar quoique, dans la première et la derniere phrase dun texte ,de manière en quelques sorte, symetrique
mais apportant tout de meme une precision .
Alors que la première phrase exprime l'idée générale telle que nous venons de la caracteriser ,la proposition concessive de la derniere rappelle que si les sens ne
sont pas une condition nécéssaire pour s'aviser d'y penser :pas seulement donc comme ont pouvait le comprendre dans la première phrase , pour les posséder au sens ou
chaquefois que l'esprit est present a ses connaissances , il est eveillé , en éveil , sentant autant que pensant . tout ce qui se passe dans notre esprit est associé
de notre sensibilité en éveil.
Mais pour acquerir cela ( s'aviser d'y penser , trouver l'opportunité et la motivation d'y penser.)
En admettant que meme du point de vue d'acquerir une connaissance mathématique, on peut reconnaitre a nos sens, un role nécessaire ,
mais non suffisant(du point de vue de lopportunité et la motivation de cette acquisition), ce texte nous montre que les connaissances dont il sgit doivent comprendre
les connaissances des verités qui sont nécéssaires et suffisantes.dans cette situation il s'agit donc de les posseder ou de les acquerir, il s'agit de vrais connaissances
Comme la connaissance de la vérité nécéssaires et suffisantes , les sens ne sont pas suffisants, meme s'ils sont nécéssaires
( quoique nécéssaires, pas suffisant dis la premiere phrase et pas suffisants quoique nécéssaires dit la derniere phrase .
2)la suite de ce texte est comme une demonstration de cette thése.la démonstration commence à l'interieur de la première phrase par cette proposition qui est par la conjonction de subordination
(puisque), qui est complétée par la seconde phrase qui commence par la conjonction de coordination (or) "puisque"qui introduit une raison les sens qui donnent des exemples ,
des vérités particulières (or ) qui introduit la considération d'un fait qui lui apporte un complément à l'énoncé précédent sur les vérités et qui en fera une raison il y a des
vérités universelles,l'universel ne se ramenant pas a du général a des exemples particuliers simplement généralisés, mais qui correspondent a quelque chose de nécésaire, ce qui se passe ici
ne se passe pas forcement aileurs (exemple il est 14h a toronto CANADA il fait donc jour , et en France il est 20h donc il fait nuit, donc ce qui se passe actuellement ne se passera pas forcement
plus tard : cela veut dire que les vérités que nous livrent nos sens , ou que les vérités générales que nous pouvons constater par introduction généralement , ne permettent pas de fonder le
carcatére nécéssaire qui nous permet de les établir comme des vérités universelles.La combinaison de ces deux considérations , les sens ne donnent que des vérités particulières ou générales,
mais il existe aussi des vérités universelles qui nous montre la demonstration de la thèse générale du texte : comme quoi les sens ne nous donnent pas toute les vraies connaissances .
les deux considérations qui correspondent aux deux premisses du raisonnement que les personnes logiques (logiciens) appellent un syllogisme , dans le systeme scolaire ont presente souvent
la conclusion du raisonnement syllogistique comme une troisième proposition, ont voit qu'ici comme souvent quand ont veut communiquer avec clarté nos raisonnements , la conclusion a été
annoncéé avant ses deux raisons conjointes originellement 'syllogisme qui signifie conjonction d'énoncés ou des raisons donc raisonnement.
3) La derniére phrase qui introduit 'd'ou affiche une conséquence de ce qui précède , elle parle de nouveau , comme ont le voit de la thèse générale qui est déja formulée dans la première
phrase , maintenant établi et précisée par la réference aux maths (l'existence des maths qui contitue la preuve de fait ) telle qu'on les trouve , de l'existence incontesté d'un domaine de vérités
nécéssaires et qui ne sont pas fondées sur les sens .La conséquence qui en ressort ne se confond pas tout a fait enfin entiérement avec la reprise de la conclusion du raisonnement
qui est déja formulée dans la première phrase le raisonnement qui fait montrer ( d'ou il parait que ) comme un besoin intelligible que les vérités nécéssaires, y compris les maths ,
ne se fondent pas que sur des exemples ou sur les affirmations des sens mais bien sur la démonstration , les maths ne donnent pas seulement cette preuve de fait qu'il y'a des vérités
qui elles ne se fondent pas sur des affirmations témoignages des sens , elles nous font comprendre par quelle nécéssités les vérités nécéssaires et universelles ont besoin (des principes),
de preuves qui ne dépendent pas des sens et des exemples , mais plutot des principes dont la seule preuve est qu'ils s'imposent d'eux memes à l'esprit .
Par ce raisonnement , la nécéssité d'une autre source de preuves que le simple témoignage des sens .ce n'est pas sur eux que peut etre établie la preuve des vérités nécésssaires
comme le sont de la vérités des mathématiques.La nécéssité de ces vérités se confirme par la voie de la démonstration , comme en mathématiques qui consiste a montrer que si l'on pose
une affirmation comme étant vraie , telle autre s'en déduit .c'est logique , ou purement rationnelle, qui ne doit rien aux exemples .
2) EXPLIQUEZ :
dans toute connaissance ont peut decouvrir le sujet qui connait et l'objet qui est connu . Le sujet se représente par un objet .
Par les sens ,il se représente un objet particulier cet objet qui ressemble a une rose .Cette représentation est en meme temps un jugement , elle contient en elle l'affirmarion
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