La Diversité
Commentaire d'oeuvre : La Diversité. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar XxmaxpaulxX • 20 Mai 2015 • Commentaire d'oeuvre • 411 Mots (2 Pages) • 503 Vues
La diversité est état qui indique une pluralité, ce terme est utilisé principalement dans le cadre de deux paradigmes
La biodiversité et diversité génétique sont les constatations de l'existence de multiples formes de vie dans la nature.
La diversité culturelle qui est la constatation de l'existence de différentes cultures.
Ce substantif s'applique aussi de plus en plus, en France, dans le sens de « diversité raciale » (l'épithète étant sous-entendue) pour désigner des personnes non-blanches issues de l'immigration extra-européenne. Le mot « diversité » tout court, apparu dans cette acception en 2007, recouvre le périmètre sémantique de ce qu'on appelait auparavant « minorités visibles », et est fréquemment évoqué dans les polémiques visant par exemple la « diversité » des présentateurs de télévision ou des acteurs de cinéma, ou encore des personnalités politiques françaises.
Jusqu'au Moyen Âge le terme désignait plutôt ce qui est « bizarre », emprunté au latin « diversitas » : divergence1, il exprimait une notion de méchanceté. Dans l'actualité le seul sens courant est celui de « variété ».Le mot LIBERTÉ désigne proprement l’absence d’opposition (par opposition, j’entends les obstacles au extérieurs au mouvement), et peut être appliqué aux créatures sans raison ou inanimées aussi bien qu’aux créatures raisonnables. Si en effet une chose quelconque est liée ou entourée de manière à ne pas pouvoir se mouvoir, sauf dans un espace déterminé, délimité par l’opposition d’un corps extérieur, on dit que cette chose n’a pas la liberté d’aller plus loin. C’est ainsi qu’on a coutume de dire des créatures vivantes, lorsqu’elles sont emprisonnées ou retenues par des murs ou des chaînes, ou de l’eau lorsqu’elle est contenue par des rives ou par un récipient, faute de quoi elle se répandrait dans un espace plus grand, que ces choses n’ont pas la liberté de se mouvoir de la manière dont elles le feraient en l’absence d’obstacles extérieurs. Cependant, quand l’obstacle au mouvement réside dans la constitution de la chose en elle-même, on a coutume de dire qu’il lui manque, non pas la liberté, mais le pouvoir de se mouvoir ; c’est le cas lorsqu’une pierre gît immobile ou qu’un homme est cloué au lit par la maladie.
D’après le sens propre (et généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire.
Thomas Hobbes, Léviathan (1651), II, 21
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