La Phénoménologie de la perception M. Merleau Ponty
Commentaire de texte : La Phénoménologie de la perception M. Merleau Ponty. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar :Denci • 18 Avril 2018 • Commentaire de texte • 1 160 Mots (5 Pages) • 3 089 Vues
SCHUITEMAKER Marten TSSI
Philosophie
Explication de texte: La Phénoménologie de la perception M. Merleau Ponty
La thèse de notre texte est : Je ne ressens pas les sentiments comme autrui les ressens
L'antithèse: Je ressens les sentiments comme autrui les ressens
On peut donc en supposer que le problème de notre texte est le suivant:
Est-ce que je ressens les sentiments d'atrui comme je ressens mes propres sentiments?
Merleau Ponty soutient la thèse de notre texte, il est nous explique dans un premier temps qu'on peut percevoir les sentiments d'autrui sans avoir besoin d'être autrui, on peut les supposer, par sa partie externe, à travers de son corps, jusqu'à la ligne 8.
Puils il commente qu'on ne pourra jamais ressentir ce qu'autrui ressens, car pour autrui ce sont des évènements vécues, alors que pour nous ce sont des évènements apprésentées, jusqu'à la ligne 20.
Et jusqu'au fin du texte il défini qu'au final même si nos consciences essaye de nous présenter des situations communes elles seront unique.
La phrase qui débute notre texte est la suivante: “Je perçois autrui comme comportement”, pour que cette phrase, et même le texte soient clair, on doit définir ces deux mots: autrui et comportement.
Autrui: Autre être humain, considéré en tant que personne avec laquelle se tisse une relation d'inter-subjectivité et des rapports moraux.
Comportement: Ensemble des réactions observables chez un individu placé dans son milieu de vie et dans des circonstances données.
Il nous dit donc qu'on peut percevoir les sentiments d'autrui chez leurs comportement, il nous donne comme exemple “je perçois le deuil ou la colère d'autrui dans sa conduite, sur son visage et sur ses mains, sans aucun emprunt à un experience “interne” ”.
On peut donc d'après Merleau Ponty, percevoir les sentiments d'autrui à travers de leurs corps (les mains, le visage) , la façon de parler, la façon d'être, la façon de se comporter. Par exemple s'il y a une personne lambda qui sourit tous les jours, et est de bonne humeur tout le temps, commence à ne plus sourire du tout, au contraire même de pleurer, on saura qu'il y a quelque chose qui ne va pas, ou pour la colère on peut le voir très fortement sur le visage, ou même encore les mains, ils commencent à froncer les sourcils, serrer les poings etc, un autre indicateur fort est la posture, quelqu'un qui leve la tête, garde contact des yeux, se tient droit, on ressens qu'il se sent bien, qu'il est confiant, mais au contraire si une personne baisse la tête, fixe le sol et se tient courbé on perçoit direct qu'il n'est pas dans un bon état psychologique. On perçoit les sentiments de manière la plus simple par changement d'habitude, si une personne illuminante, qui sourit tout le temps, se tient droit, et parle à tout le monde commence d'un coup à fixer le sol, et à bouder on saura qu'il y a un changement de comportement, donc un changement d'ëtat pschyologique, surêment entrainé par un effet dans la vie de cette personne, liée au sentiments.
La dernière partie de la phrase “sans aucun emprunt à un experience “interne” ”, nous explique qu'on n'a donc pas besoin d'être autrui pour ressentir ses sentiments.
Il nous dit aussi qu'au yeux du sujet, le deuil et la colère change notre rapport au monde, par exemple quand on est en deuil, ou en colère, notre vision change, on peut devenir extrêment pessimiste, les choses les moins graves peuvent devenir primordial. Si par exemple une personne normale qui fait tomber quelque chose, ramasse l'objete et passe à autre chose, alors que quelqu'un en dépression, par rapport à soi-même, peut aller même jusqu'à se détester, se dégouter pour avoir fait tomber cet objet, il ne suffit de rien pour enfoncer la personne dans sa dépression, ils deviennent très sensible à tout. Déjà que le cerveau humain à tendance à retenir les remarques négatifs, avec quelqu'un en dépression cela devient encore plus le cas.
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