Management des entreprises ; Etude de cas, Tolerie Muller-Schuster
Étude de cas : Management des entreprises ; Etude de cas, Tolerie Muller-Schuster. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar wdumas • 5 Avril 2016 • Étude de cas • 502 Mots (3 Pages) • 2 542 Vues
Management des entreprises ;
Etude de cas, Tolerie Muller-Schuster
Analyse de la situation de l’entreprise :
Question 1 :
L’entreprise Muller-Schuster a inséré au fil des années certains dispositifs liés à la responsabilité sociétale de l’entreprise.
Ces dispositifs passent notamment par l’intégration de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et a leurs relations avec les parties prenantes de l’entreprise comme nous l’explique la commission européenne.
La RSE passe notamment par la priviligisation du développement durable que nous retrouvons dans l’attitude de l’entreprise étudié qui gagne « des actions visant a obtenir l’attestation de certification dans le domaine de la qualité et dans celui du développement durable ». De plus l’entreprise a prévu en cinq ans une diminution de 20% de l’émission de CO2. Cela montre bien leur implication dans le développement durable.
La RSE est aussi passé par du mécénat, en effet l’entreprise soutient financièrement une équipe sportive locale ce qui a des effets positifs sur l’image de la société à l’extérieur notamment avec les collectivités.
En outre, l’entreprise pratique une politique sociale avancé sur celle de ses concurrents et ainsi les salaires moyens au sein de l’entreprise sont supérieurs que chez leurs concurrents. Le climat social au sein de l’entreprise est très satisfaisant, Tony Schutler a décidé de maintenir les emplois en France et a amélioré les conditions de ses employés, ainsi il a décidé d’installer une crèche au sein de l’entreprise pour accueillir les enfants de ses employés.
L’Enterprise a ainsi amélioré ses dimensions sociétales (mécénat), sociales (conditions amélioré de ses employés) et écologique (entré dans le développement durable) ce qui sont les principales préoccupations pour la responsabilité sociétale de l’entreprise.
Question 2 :
Lors de la création de l’entreprise, elle entretenait véritablement une logique entrepreneuriale qui passe notamment par une saisi des opportunités, comme l’as pratiqué Richard Schuster en 1955. Au vue de la disparition du métier de forgeron, il saisi l’opportunités de la monté de l’activité de la tôlerie et décide de spécialiser l’entreprise dans cette activité. Cette décision fut notamment une prise de risque qui est véritablement une caractéristique de la logique entrepreneuriale.
Il prend une autre prise de risque en investissant dans une novelles méthode de production plus industriel et décide de racheter deux entreprise concurrentes qui inclus de nombreux risques sociales et financiers.
Avant 2010, la logique de l’entreprise était véritablement entrepreneuriale dans la prise de risque et dans la saisi d’opportunité mais dès 2010, la logique de l’entreprise a changé, et est passé par une logique managériale.
En effet, la logique managériale consiste a définir les objectifs et a les communiquer en interne ce qu’à pratiqué le nouveau dirigeant qui a communiqué a l’ensemble des salariés les objectifs de l’année suivante.
L’une
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