Les effets des NTIC sur le RH
Rapport de stage : Les effets des NTIC sur le RH. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar yassine gharbi • 2 Mai 2016 • Rapport de stage • 7 165 Mots (29 Pages) • 1 070 Vues
[pic 1] | REPUBLIQUE TUNISIENNE ***** MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE la TECHNOGIE ***** INSTITUT SUPERIEURE DES ETUDES TECHNOLOGIQUES DE CHARGUIA ***** Mastère professionnel management intégré qualité, sécurité et environnement | [pic 2] |
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Sommaire
Introduction
Chapitre 1 : Qu’est ce que les NTIC et que recouvre-t-il ?
Chapitre 2 : Qu’est ce que l’e-RH et que recouvre-t-il ?
1. Définition :
2. Les différentes fonctionnalités de L’e-RH :
2.1 Des Intranets RH aux fonctionnalités plurielles :
3. L’informatisation des missions de GRH :
3.1 L’e-administration, une opportunité peu exploitée par des DRH :
3.2 L’e-mobilité :
3.3 L’e-recrutement :
3.4 L’e-formation ou e-learning :
3.5 L’e-évaluation :
Conclusion sur l’e-RH
Chapitre 3 : L’effet des NTIC sur les RH
Conclusion
Bibliographie
Webographie
Introduction
La fonction ressources humaines, depuis son émergence jusqu’à présent connaît de profondes transformations. Au même titre que les fonctions opérationnelles de la production ou du commerce, elle a évolué tant dans son organisation que dans ses missions ; la fonction ressources humaines est devenue une fonction clé dans l’entreprise. Aujourd’hui, les entreprises se doivent d’être de plus en plus flexibles dans un marché mondialisé où le maître mot est « compétitivité ». Cela nécessite une adaptation accrue de la part de toutes les fonctions de l’entreprise ; la fonction Ressources Humaines n’échappe pas à cette règle.
Parallèlement, les NTIC ont une influence certaine sur le mode de fonctionnement et de structuration des entreprises dans la mesure où elles autorisent un meilleur partage, une meilleure diffusion et une meilleure transmission de l’information. Les technologies du Web, Internet en tête, bouleversent les pratiques de gestion des entreprises. En effet, apparaissant comme le quatrième facteur de production, les NTIC apparaissent aux yeux de certains une véritable révolution au même titre que la vapeur lors de la révolution industrielle. Incontestablement, le XXIe siècle est le siècle des NTIC. En effet, on assiste aujourd’hui à une réelle révolution des concepts, portée par les NTIC, qui change la signification de l’information. L’entreprise doit disposer d’informations de base fournies par les systèmes de comptabilité, les systèmes de contrôle de gestion, d’informations sur les compétences fournies par les ressources humaines et d’informations sur l’allocation des ressources ainsi que des informations sur son environnement. C’est dans ce contexte que l’on assiste à une évolution de l’informatique ressources humaines. Cette dernière a pris son essor avec l’ouverture des réseaux locaux et surtout l’explosion des progiciels de paie et d’administration, de gestion du temps et des activités, de gestion de la formation, de gestion du recrutement et de gestion de l’emploi et des compétences.
Les NTIC, et surtout les technologies du web, ont une influence en particulier sur la communication. Elles permettent alors d’accroître la performance des simples progiciels et de dépasser leurs limites. Afin de mieux appréhender ce champ des effets induits par l’intégration des NTIC dans la gestion des ressources humaines, il paraît nécessaire de développer dans un premier temps les NTIC avant de se focaliser sur l’e-RH tout en s’interrogeant sur leur degré de contribution à améliorer la GRH et on termine par les effets des NTIC sur le RH.
Chapitre 1 : Qu’est ce que les NTIC et que recouvre-t-il ?
- Définition:
Les NTIC ! Ces quatre lettres sont les premières de quatre mots devenus fort importants dans notre monde actuel: Derrière ces mots, il y a l'avènement formidable d'une nouvelle manière de communiquer entre nous qui est en train de révolutionner notre monde, rien de moins. Ce terme est parfois contesté, car ambigu, aussi bien dans la littérature que dans les pratiques des entreprises. Les oppositions rencontrées sur la signification pourraient l’être sur l’ensemble des lettres de l’abréviation, mais, il semble que les désaccords sont plus flagrants sur les deux premières lettres.
- Tout d’abord le « N » qui signifie « Nouvelles » sous-entend que ces technologies sont récentes. Or ce n’est pas forcément le cas, puisque la majeure partie des technologies a été implantée dans les entreprises depuis au moins 10, voire 15 ans. C’est pourquoi, de nombreux auteurs se contentent d’utiliser l’abréviation TIC;
- Ensuite le « T » provoque débats et controverses surtout en systèmes d’information et de communication car il peut désigner à la fois « Techniques » et « Technologies ». La technique est un procédé particulier que l’on utilise pour mener à bien une opération concrète, pour fabriquer un objet matériel ou l’adapter à sa fonction. Alors que la technologie constitue l’ensemble des techniques d’un domaine particulier, ici, le domaine de l’information et de la communication ;
- Le « I » pour « Information ». L’information est une donnée vitale pour l’entreprise, autant lors de prise de décisions que pour le fonctionnement général de l’entreprise. La transmission, le partage, la diffusion de l’information sont essentiels pour l’entreprise. De plus en plus, le vecteur véhiculant cette information est matérialisé par les technologies interactives qui en permettent une gestion efficace ;
- Enfin, le « C » pour « Communication ». La fonction communication est au cœur des transformations actuelles des entreprises. Il y a deux enjeux apparents auxquels doit répondre la fonction communication dans l’entreprise : d’une part, adapter son positionnement et les modalités de son déploiement afin de répondre aux besoins actuels de l’entreprise, d’autre part, contribuer directement à la réussite des projets de changement.
- Critères d'appartenance portant sur une aide à la détermination des NTIC :
Les définitions proposées sont générales et/ou partielles. L'élaboration d'une définition suffisamment globale semble assez difficile à formuler. Afin de disposer d'un mode de discernement opérationnel des NTIC, il s'agit plutôt ici d'avoir recours à une liste de critères dont seule la prise en compte intégrale caractérise l'appartenance ou le rejet des applications. Il faut insister sur l'idée de prise en compte exhaustive de ces critères sans laquelle les NTIC ne constituent pas des outils distincts d'outils technologiquement avancés. La liste des critères n'est pas hiérarchisée même si certains des critères (les premiers de la liste) sont spontanément cités alors que d'autres (en fin de liste) pourraient être perçus comme conséquences plutôt que comme identifiant.
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