Jimini’s, la start-up qui fait manger des insectes à l’apéro
TD : Jimini’s, la start-up qui fait manger des insectes à l’apéro. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Alison Gln • 7 Novembre 2017 • TD • 606 Mots (3 Pages) • 2 021 Vues
Jimini’s, la start-up qui fait manger des insectes à l’apéro.
- Les dirigeants de Jimini’s sont des entrepreneur car, tout d’abord commercialisée des insectes à l’apéritif est une prise de risque et une innovation en France. Le marché des insectes est assez peu répandu en France et en Europe. De plus les deux créateurs ont une vision à long terme du marché car la science nous dit que d’ici 2050, nous manquerons de protéines animales et que les insectes seront l’alternative à l’apport de protéine. Ainsi, les deux créateurs répondent aux critères de Schumpeter sur ce qui fait d’un dirigeant d’entreprise un entrepreneur ; c’est-à-dire, être innovant, prendre des risques et avoir une vision à long terme du produit.
- La finalité de l’entreprise est de faire du profit car les deux créateurs sortent tous les deux de leurs formations. Et il est difficilement envisageable qu’ils veuillent révolutionner l’alimentation. De plus entre la création de leurs entreprises en 2012, du lancement de la première marque en 2013 et le fait qu’ils vont exporter en Angleterre et en Espagne nous pouvons déduire que leur finalité est le profit.
- La difficulté majeure de l’entreprise sera de garder une clientèle. Les consommateurs intrigués achèteront la première fois par curiosité, pour essayer mais après il faut que ces mêmes consommateurs réitèrent leur achat.
- Il y a 4 éléments de mesures de la performance qui permettent d’affirmer la réussite du projet.
La première mesure est l’exportation du produit. Ici Jimini’s va exporter en Angleterre et en Espagne.
La deuxième est d’avoir une clientèle intéressée. La population est intriguée par ce genre de produit, il y a de plus en plus de publicité. On peut noter que la société Jimini’s a pu ouvrir grâce au crowfounding. En deux mois ils ont récolté 10 000 euros de la part du public.
La troisième est d’’avoir choisis des points de vente de haut de gamme. Jimini’s a choisi les Galerie Lafayette ; Marais ou encore dans des épiceries fines.
Enfin la quatrième est le chiffre d’affaire. En cinq moi de commercialisation, Jimini’s a réaliser un chiffre d’affaire de 100 000 euros.
- L’indicateur « mesure de la fidélité des clients » est essentielle afin d’assurer la prospérité du projet. Elle l’est à la fois sur le court terme car il faut attirer de nouveaux segments de clientèles, les séduire et les faire racheter mais à la fois aussi sur le long terme car si l’on fidélise les clients, l’entreprise arrivera à sa finalité première c’est-à-dire faire du profit. Ainsi donc elle pourra innover et séduire, conquérir de nouveaux clients pour le produit. La marque se poursuivra dans le temps et ainsi pourra peut-être répondre à de nouveaux besoins des consommateurs, c’est-à-dire une alternative aux protéines animales.
- Je pense qu’il faut savoir manager la performance et qu’il faut aussi savoir manager par la performance.
Tout d’abord, si l’on manager la performance en fixant des objectifs à chaque indicateur de la performance. Il faut bien sûr qu’il soit réalisable, que la barre ne soit pas placer trop haut. Il faudra lui donner de nouvel objectif afin que la performance ne chute pas.
Puis si ‘l’on manage la performance et que les objectifs sont atteints, la performance va progresser et ainsi l’on va aussi manager l’entreprise par cette performance. Cela va pousser l’employer à tout donner, cela va l’encourager et encourager la société à progresser.
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