Ecriture personnelle sur la vitesse

Écriture Personnelle

III) La vitesse un dépassement de soi ?

        Tout va plus vite, tout s’accélère, y compris notre rythme de vie. On court après le temps, mais parfois, il faut laisser les chôses aller à leur vitesse, sans se soucier des obligations et de notre entourage.                                      

Problèmatique : La vitesse est-elle synonyme de performance ?

Tout d’abord, nous allons aborder 2 grandes parties contenant 2 sous-parties chacunes, puis dernièrement une conclusion personnelle.

Partie 1 : Le burn-out dans la vie professionnelle et personnelle (familialle) :

• Exemple 1 : Article sur l’absentéisme chez les professeurs, le stress en cause passé 50 ans
• Exemple 2 : Article sur le Burn-out familial, le stress à domicile

Deuxièmement, la 2nd partie portera sur la vitesse et le sport :

• Exemple 1 : Article publié e 8 mai 2019, sur l’athlète Jim Walmsley
• Exemple 2 : Article publié le 11 octobre 2019 sur le monde, sur Kénya Eliud

Tout d’abord il est vrai qu’entendre le mot « vitesse » nous fait penser à aller plus vite, plus loin en étant plus performant. Mais la vitesse n’est pas toujours syonyme de performance.

En fin de compte, nous rencontrons une dizaines de personnes chaque jours qui se situent hyérarchiquement dans un statut correct au travail. Mais nous ne savons pas, ou du moins, nous ne portons pas assez d’attentions à ceux qu’ils ont vécus, les chemins difficiles qu’ils ont traversés, les difficultées qu’ils ont rencontrées... La plupart du temps nous nous focalisons à une seule chôse, leur statut. En revanche, les parents ou tout membre d’une famille sont dans des situations exemplaires. Par exemple l’article nommé « Absentéisme chez les professeurs, le stress en cause passé 50 ans » publié le 16/01/2017 sur le journal le vif nous montre des exemples concrèts.                L’article cite « à cause des problèmes psychologiques comme le stess, le burn-out, les professeurs de moins de 30 ans représentent un taux d’absentéisme de 3.15% qui sont même près de deux fois moins absents que leurs contemporains. Les professeurs dépassants la cinquantaine sont représentés avec un taux de 8.16%, ce qui est plus élevé que celui des travailleurs ». En général les professeurs exercant leur métier avec amour se préocupe de beaucoup de tâches qui les fatigues. Ils ont tendance à travailler 2x plus qu’un salarié normal, car ils tiennent beaucoup aux réussites de leurs élèves, dont cela abouti à un surcharge de travail.

En outre, l’article publié dans le même journal à la date du 24/06/2016 nommé « Le burn-out familial, le stress à domicile » dit que «  un burn-out familial se traduit lorsqu’une famille est soumise à un stress répété et à un excès de sollicitations physiques, émotionnelles et cognitives, au point d’être épuisée tant physiquement que psychologiquement. Il y a une notion de débordement, comme une casserole sous pression prête à exploser. » Certains parents on du mal à conjuger vie privée et professionnelle, au point parfois de ne pas être assez présents pour leur enfant.

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