Synthèse de documents avec écriture personnelle ( thème : à toute vitesse)

CULTURE GÉNÉRALE ET EXPRESSION

Synthèse de documents

Le phénomène de l'accélération du temps et de la suprématie de la vitesse n'est pas nouveau. Le capitalisme a de la vitesse, et la raison est simple, c'est-à-dire que le capital doit tourner et être rapide

Le corpus est composé de 4 documents de nature varié s’échelonnant de 1907 à 2019, les différents extraits de textes proviennent de : l’appel à la contribution Calenda (Accélération et vitesse)2019, Déborah Corrèges (La tyrannie de la vitesse)2012, Octave Mirbeau (La 628-E8)1907 et La tribune (Savons-nous encore prendre notre temps)2017.

Suite à cela une problématique se pose : La vitesse permet-elle vraiment à faire gagner du temps ?

Pour répondre à cette problématique, un plan détaillé en deux parties est proposé. D’abord les points positifs individuelle puis collectif pour ensuite étudier les points négatifs individuelle puis collectif.

  Tout d’abord la vitesse permet de réaliser beaucoup plus de choses, l’extrait de texte de Débhorah Corgreges et de l’appel à contribution et celui d’Octave Mirbeau évoquent les mêmes idées. Grace à la vitesse, de nombreuses opportunités est apparu comme le voyage, l’extrait : Appel à la contribution évoque ce point. Déborah Corrèges rejoint cette idée en affirmant qu’il y a plusieurs années cela était impossible et a présent voyager rapidement n’est plus impossible.

De plus tous deux disent que tout a évolué très vite afin comme la communication, l’accès aux informations afin de répondre aux besoins de chacun. Octave mirbeau parle lui d’extase, la vitesse procure du bien être grâce aux courses automobile. Au point de vue individuelle tout cela permet de gagner du temps, de divertir et au niveau de la société cela permet d’être plus performent, la technologie permet aussi d’effectuer plusieurs taches en même temps. Cela permet donc d’être plus productif.

  La vitesse possède néanmoins des inconvénients qui font qu’elle n’est pas si bénéfique que certains ne le croient. Déborah corrèges parle de paradoxe car en effet, la vitesse permet de gagner du temps mais qu’au final tout le monde est débordé. L’extrait de la tribune (Savons-nous encore prendre notre temps) rejoint cette idée en disant que l’homme est absorbé par ses appareils électronique. Ce qui fait qu’il ne profite plus de ce qu’il l’entoure, sa famille, ses proches, amis… L’homme cherche constamment à être occupé afin d’être bien vu aux yeux de la société car personne n’aime qu’on le traite de lent. Pour résumé personne ne profite de sont temps gagné car chacun cherche à être utile à la société mais à un certain moment certains effets secondaires se font ressentir comme la fatigue ou des choses plus grave comme le brun out. Au niveau individuel c’est une privation générale et au fil du temps une accumulation de fatigue et de blessures interne. Au niveau collectif cela peut être une baisse de production.

Pour conclure il y a autant d’avantage que d’inconvénient cité par les auteurs, tout de même il faut savoir se remettre en question et savoir profiter du temps qui nous est offert.

CULTURE GÉNÉRALE ET EXPRESSION

Écriture personnelle :

  L'hyperactivité règne sur notre société. De la politique au monde de l'entreprise, en passant par notre vie privée, l'urgence domine.

Suite à cela une question se pose : La vitesse est-elle synonyme de progrès ?

Pour répondre à cette question un plan en 2 parties est proposé, dans un premier temps l’étude des avantages de la vitesse dans la société pour ensuite se pencher sur les inconvénients.

  Tout d’abord la vitesse est devenue une valeur centrale de nos comportements. On vie dans l’instantanéité, presque plus personne n’aime attendre. Chacun veut gagner du temps pour n’importe quelle circonstance. De nos jours les avancés technique permette de répondre à nos attentes et donc d’aller beaucoup plus vite. Grace aux avancée technique désormais la vitesse permet de se déplacer rapidement. En avion, il faut en moyenne 7h47 pour relier Paris à New-York, le trajet Paris-Marseille en TGV dure généralement 3h20. Il est donc possible de voyager absolument partout plus rapidement.

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