Cas transport de demain
Étude de cas : Cas transport de demain. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Corentin Mtr • 7 Mars 2019 • Étude de cas • 638 Mots (3 Pages) • 621 Vues
STAGIAIRE
M.ABOUBAKAR
A Lyon, le 18/02
Objet : Note d'information concernant le transport et le développement durable
Vous m'avez demandé de vous aider à préparer une synthèse concernant les transports et le développement durable. Tout d’abord, définissons le terme de développement durable. C’est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins. Premièrement, nous analyserons les effets néfastes du transport selon les axes du développement durable, ensuite nous préciserons les outils politiques destinés à promouvoir le développement durable enfin nous repérerons les changements émergents dans le domaine du transport.
Tout d'abord, nous aborderons les effets néfastes du transport selon les axes du développement durable. En effet, les différents transports ont des effets néfastes comme par exemple la croissance du trafic augmente la pollution atmosphérique , les nuisances sonores et les accidents. Le transport urbain émet 40% des gaz à effets de serre dans l'atmosphère. Ces gaz à effet de serre engendre le changement climatique et des dangers pour la santé. Cette pollution augmente de 2% chaque année. En 2010, 50 gigatonnes de CO2 ont été émis, en 2015, 55 gigatonnes sont prévus. Par rapport à 1970, cette pollution a doublé. Pour la survie de la planète et de tout ce qui la peuple, il faut diviser Par deux les rejets de gaz à effets de serre avant 2050 et les éliminer en 2100.
Ensuite, nous présenterons les outils politiques destinés à promouvoir le développement durable. Tout d’abord, l'ONU a voté en septembre 2015 dix-sept objectifs de développement durable qui visent à supprimer l’extrême pauvreté d'ici à 2030. Ces objectifs intègrent la question environnementale et la question de durabilité. Nous sommes actuellement face au défi du changement climatique et du problème des ressources limités. De plus, le 22 juillet 2015, la loi sur la transition énergétique a été définitivement adoptée qui vise à taxer les consommations de CO2. En 2015, la tonne de CO2 coûte 22 euros, en 2020 elle coûtera 56 euros enfin en 2030 elle coûtera 100 euros. Ensuite, en 2020, on espère que la part des énergies renouvelables sera de 32% environ en 2030. De plus, l'union européenne et une quinzaine d’États utilisent un système de tarification du CO2 à l’échelle locale ou nationale. Mais le prix du CO2 est encore trop faible sauf en Suède. Enfin, lors de la COP21, les pays ont signé la Convention Climat des Nations Unies qui oblige les pays à diminuer leurs émissions de gaz à effets de serre et à limiter la hausse de la température.
Enfin, nous aborderons les changements émergents dans le domaine du transport. En France, le transport est un des premiers postes de dépenses des Français. La croissance est aussi la plus forte. D'ici à 2020, les différentes modalités de la mobilité vont évoluer et vont se tourner vers le partage. Il y a tout d’abord l'autopartage qui est la location de voitures, la gestion de flotte, et la location de voitures entre différentes personnes, ensuite le covoiturage qui correspond aux taxis ou que des particuliers utilisent une même voiture pour faire les trajets, ensuite le partage de vélo enfin le partage de stationnement qui est le partage d’une place de parking entre particuliers en fonction de sa disponibilité. On vise donc à limiter l’utilisation de la voiture ou de l’utiliser intelligemment pour limiter la pollution.
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