Cas Renault Nissan

Management

Étude de cas : L'alliance Renault-Nissan et la voiture de demain.

        1) La finalité caractérise la mission de l'entreprise, elle s'appuie sur 3 piliers : le besoin, le produit et la satisfaction du clients. L'entreprise doit aussi être pérenne, elle doit donc pour cela, dégager un profit, elle a pas une finalité, mais plusieurs. Elle doit à la fois dégager du profit pour garantir son développement et satisfaire ses clients, pour garantir sa pérennité.

Une entreprise a aussi d'autre finalités : la responsabilité sociale et environnementale (RSE). La         RSE correspond enfaîte aux nouvelles exigences, au niveau écologique, humain et au niveau de la société.

La finalité de Renault-Nissan est tourné vers le produit, car en effet, cette alliance Renault-Nissan avait pour ambition de constituer un groupe automobile puissant en mettant en œuvre une         stratégie de croissance rentable et c'est aujourd'hui un véritable succès.

Mais cette alliance a une autre finalité, La RSE, au niveau environnementale car ils souhaitent         réduire l'empreinte de l'automobile sur l'environnement, et contribuer à inscrire la mobilité dans le         respect des hommes.

        2) La mobilité durable est une notion récente, apparue après les crises de l'énergie et de la biodiversité, dans le sillon des questions de développement durable,

Le 10 février 2011, Carlos Ghosn a présenté le nouveau plan stratégique du groupe : Renault 2016 – Drive the change. Celui-ci repose sur une ambition majeure : rendre la mobilité durable accessible à tous. Réduire l'empreinte de l'automobile sur l'environnement, et contribuer à inscrire la mobilité dans le respect des hommes. sont les deux challenges clés de la mobilité durable pour tous. Ce choix, Renault le fait en étant actif non seulement sur le cycle de vie du produit mais aussi sur les opportunités sociétales afin d'associer la voiture au bien-être des hommes d’aujourd’hui et de demain.

        3) En début 2008, Carlos Ghosn se dit « persuadé  que la voiture électrique, la seul à offrir zéro émission polluante, prendra avec le temps l'avantage sur toutes les autres énergies alternatives : les biocarburants, les motrices hybrides essence ou diesel », il y croyait fortement car pour lui tout était favorable à son développement : le prix élevé de l'essence et les questions d'environnement qui préoccupaient le grand public, les batteries avaient également fait énormément de progrès.

        4) Le fait de commercialiser des voitures 100% électriques s’avéraient être une erreur de la part de Carlos Ghosn, puisque un an après sa mise sur le marché les ventes de voitures électriques ne décollaient pas, Carlos Ghosn prévoyait en effet, que un million et demi de voitures électriques auraient été vendues par Renault-Nissan d'ici 2016, cette anticipation fut une grosse erreur, c'est alors toute la stratégie de la marque Renault s'est retrouver remise en question par cette réalité. Cette anticipation était finalement facile à anticiper puisque tous les constructeurs et tous les observateurs à l'exception de Carlos Ghosn avaient prévue.

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