Analyse le travail des femmes
TD : Analyse le travail des femmes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Tikah Bbg • 11 Décembre 2017 • TD • 1 753 Mots (8 Pages) • 848 Vues
Table des matières
INTRODUCTION 1
1) L’impact de l’intégration du travail des femmes sur le plan économique 2
a) Les avantages que cela engendre sur l’économie 2
b) Les répercussions sur le plan économique 3
2) L’impact de l’intégration du travail des femmes sur le plan socio-culturel 4
c) Statut: 4
d) L’ouverture sociale 4
e) Diversité au niveau du monde du travail 5
f) Discriminations à l’embauche 5
g) Pressions traditionnelles 6
CONCLUSION 7
BIBLIOGRAPHIES 8
INTRODUCTION
La place des femmes dans la société a nettement évolué au fil du temps. Les femmes ont rencontré beaucoup de difficultés en ce qui concerne le droit de travailler.
Un peu d’histoire pour commencer :
De nombreuses lois ont été votées afin qu’elles puissent s’intégrer dans le monde du travail.
En effet, c’est en 1874 que la première loi votée protégeait les femmes en leur interdisant de travailler dans les mines, et le dimanche notamment.
Ces lois ont été votées afin de protéger les femmes, leur apporter une possibilité d’accès au poste mais aussi des droits et un statut propre en tant qu’individu à part entière dans la société.
Cependant, de nos jours, les inégalités entre les hommes et les femmes perdurent encore…
Ainsi nous allons nous intéresser à la question suivante :
« En quoi l’intégration du travail des femmes a-t-elle un impact dans la société française ? »
Dans un premier temps nous étudierons l’impact de l’intégration du travail des femmes sur le plan économique, puis nous nous intéresserons à l’impact qu’elle engendre sur le plan socio-culturel.
L’impact de l’intégration du travail des femmes sur le plan économique
a) Les avantages que cela engendre sur l’économie
On constate une augmentation de l’évolution professionnelle de la femme ; en effet, les valeurs traditionnelles de notre société ont bien changé.
Les femmes ont réussi à s’imposer dans le domaine du travail ce qui leur ont permis de bénéficier d’une autonomie financière, de disposer de leur propre patrimoine et donc de devenir indépendante.
Bien que certaines inégalités hommes /femmes perdurent dans le temps, elles ont su s’imposer sur le marché du travail et trouver leur place.
Selon l’INSEE (l’institut national de la statistique et des études économiques) ; en 2011, plus de la moitié des femmes ont un diplôme de l’enseignement supérieur (réf : annexe 1).
En 1999, elles étaient 13,1% à bénéficier d’un diplôme universitaire de 2ème cycle ou supérieur contre 21,1 % en 2011 (il s’agit d’une augmentation de 8%).
De plus, la population des femmes en tant que cadre et profession intellectuelle augmente de 120% pour les femmes et seulement de 42% pour les hommes entre 1990 et 2011.
Cela nous prouve donc que les femmes ont un accès sur le marché du travail et qu’avec l’évolution de la société elles s’y intègrent également.
Par ailleurs, d’après la FMI (Fonds Monétaire International) l’intégration des femmes sur le plan professionnel a permis la création d’emploi et de ce fait, la croissance économique (variation positive de la production de biens et services dans une économie sur une période donné) a connu une augmentation et donc une certaine stabilité. Cependant, le vieillissement démographique de la population a diminué puisque les femmes renforcent donc la population active.
De plus, dans les années 1960, les femmes représentaient seulement le tiers de la population active, aujourd’hui la population active est composée de la moitié des femmes selon le site « Alternative économique ».
Néanmoins, nous remarquons que depuis que les femmes ont un accès sur le terrain professionnel le PIB (produit intérieur brut) ne cesse d’augmenter et est donc bénéfique pour la croissance économique. (Le Figaro)
b) Les répercussions sur le plan économique
Dans le secteur privé,
Depuis 1995, les écarts de salaires ont légèrement diminué entre hommes et femmes, surtout depuis que la part des femmes exerçant en tant que cadre progresse. Il reste qu’elles occupent encore plus de 70% des postes d’employés, auxquels s’associent les niveaux de salaire les plus bas. La répartition entre hommes et femmes reste très différenciée selon les secteurs d’activité. Dans le commerce de détail et dans de nombreuses activités de services, les emplois sont surtout occupés par des femmes. Les salaires horaires et le nombre d’heures travaillées y sont souvent les plus faibles, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Dans les secteurs de l’industrie et de la construction, les écarts de salaires entre hommes et femmes sont moins marqués, mais le revenu salarial moyen des femmes reste inférieur de 18,8 % à celui des hommes.
En 2010, les femmes ont un revenu salarial inférieur de 28% à celui des hommes. Les femmes salariées du secteur privé perçoivent en moyenne un salaire net annuel de 15600 euros, soit 28% de moins que les hommes.
Dans le secteur public,
En 2010, l’écart de revenu salarial entre hommes et femmes est de 18%, soit 10% de moins que dans le secteur privé. On a tout de même pu observer la stabilité de cet écart durant ces dix dernières années. Cet écart est justifié par le fait que le niveau de salaire horaire moyen est inférieur de 18% à celui des hommes et qu’elle effectue également en moyenne moins d’heures chaque année. Cet écart est d’autant plus creusé, si l’on tient compte des périodes de chômage, d’inactivité ou simplement du nombre de postes à temps partiel.
Sinon, lorsqu’elles sont à temps complet, leur durée hebdomadaire
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