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ADM1013 TN1

Étude de cas : ADM1013 TN1. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  20 Juillet 2021  •  Étude de cas  •  3 629 Mots (15 Pages)  •  548 Vues

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ADM 1013

Travail Noté 1 « Des frontières à franchir »

Comportement organisationnel

[pic 1]

SIGLE DU COURS

Titre du cours

Série A, B, C ou D, etc., s’il y a lieu

TRAVAIL NOTÉ

Titre du travail (Pondération)

        Remplissez soigneusement cette feuille d’identité.

        Rédigez votre travail, en commençant à la page suivante.

        Sauvegardez votre travail de cette façon : SIGLEDUCOURS_TN1_VOTRENOM.

■        Utilisez le Dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre professeur ou son délégué. http://www.teluq.ca/mateluq/

Feuille d’identité

Nom        Arbour                Prénom        Mélissa        

Numéro d’étudiant        21292277                Trimestre        Été 2021        

Adresse        169 52e avenue Pointe-Calumet        

                     Code postal        J0N1G0        

Téléphone        Domicile        (514) 647-9991                Travail                     

        Cellulaire                     

Courriel        arbour.melissa.2@univ.teluq.ca        

Nom du professeur ou son délégué   Céline Bélanger        

Réservé à l’usage du professeur ou son délégué

Date de réception                             Date de retour                     

Note                     

Date d’envoi                     [pic 2]


#1 Résumé des faits

Le cas « Des frontières à franchir » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010) met en lumière madame Angelica Garza, une Américaine d’origine mexicaine qui travaille en ressources humaines depuis une dizaine d’années pour une multinationale, USMed, fabriquant des produits médicaux. Angelica s’occupait des ressources humaines pour une maquiladora à Tijuana, soit une usine située sur les limites de la frontière américaine, sur le territoire mexicain ainsi qu’un bureau administratif, à Chula Vista, sur le territoire américain. Au total, on comptait « 34 Américains (12 du côté mexicain et 22 du côté américain) et près de 1 100 mexicains » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010, pp. C39-C41).

Bien que d’origine mexicaine elle-même son intégration dans ses fonctions ne s’est pas faite sans heurts ! Les dirigeants croyaient qu’elle était la personne idéale, due à ses origines, pour établir le lien et comprendre les enjeux des employés mexicains dus à ses origines, mais « rien dans son expérience américaine ne l’avait préparée à ce qui l’attendait au sud de la frontière » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010, pp. C39-C41).

Bien que d’origine similaire, les différences sociodémographiques creusaient un fossé entre les travailleurs mexicains et madame Garza. De plus, des valeurs différentes et des stéréotypes envers autant les Américains que les femmes sont venues ajouter au problème de     compréhension entre les deux cultures.

Dès le départ madame Garza a connu de la méfiance envers elle autant du côté Mexicain, qu’Américain. Des deux côtés de la frontière les sentiments envers elle étaient teintés de négativisme, par le rejet des ses idées, par de l’incompréhension, de la méfiance ou en ne lui offrant pas le support d’ont elle avait besoin.

De plus, elle ne se sentait pas appuyée par ses collègues des deux côtés de la frontière, certains allaient jusqu’à la critiquer ouvertement. Elle était désemparée et « l’organisation américaine ne lui offrait guère de soutien » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010).

#2 Identification du problème

Au sein de ce cas, le problème principal vient des lacunes au niveau de la gestion globale de l’entreprise. « Le rôle des gestionnaires est d’aider le personnel afin que chacun parvienne à des résultats dans les délais prescrits, conformément à des normes élevées de qualité et d’une façon qui soit personnellement satisfaisante » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010, p. 16). Tel qu’expliqué dans le cas « USMed n’avait aucune politique générale en matière de gestion des ressources humaines, et encore moins en matière de gestion de la diversité. » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010).

#3 Identification des causes du problème

Afin de déterminer les causes du problème, il faut premièrement se rappeler que pour une gestion efficace il y a « quatre fonctions qui constituent un cadre des tâches et des responsabilités » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010, p. 17).

La première fonction est la planification, soit « fixer des objectifs et déterminer les actions à entreprendre pour les atteindre » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010, p. 17). Dans le cas présent « un grand nombre de changements, dont des attentes nouvelles et des styles différents de la part des cadres » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010) occasionnait des différends. Principalement car les méthodes étaient américaines et ne correspondaient pas à la diversité culturelle d’une entreprise établie en sol mexicain. Angelica se retrouvait alors « dans un contexte d’affrontement entre les deux cultures » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010). USMed a cru bon d’envoyer une employée-cadre connaissant la langue espagnole, « je suppose que tout le monde estimait que, venant d’une famille chicano, j’allais être automatiquement savoir comment me fondre dans cette culture complètement différente de la mienne » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010). Cela ne prenait pas en compte le concept de culture, soit « le bagage commun de valeurs et de façons de faire d’un groupe, d’une collectivité, d’une société » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010, p. 39). Car bien que madame Garza est d’origine mexicaine, cette dernière était américaine, elle ne possédait pas le même bagage culturel. Cela laisse supposer que « les dirigeants américains [étaient] inconscients des nombreuses différences sur le plan culturel entre Angelica et le personnel mexicain » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010). « Nous ne naissons pas avec une culture ; nous naissons au sein d’une société qui nous enseigne sa culture » (Schermerhorn, R., Hunt, Osborn, & De Billy, 2010, p. 39).

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