LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

ADM 3011 tn2

Étude de cas : ADM 3011 tn2. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  19 Janvier 2021  •  Étude de cas  •  1 452 Mots (6 Pages)  •  1 814 Vues

Page 1 sur 6

ADM 3011

TN2

        Pour ce travail, j’ai décidé de répondre à la première question, s’agissant de la notion des parties prenantes et de son évolution à travers les organisations. Mon deuxième choix s’agira de la deuxième question faisant référence au plan sociétal, la PSE, et ses bénéfices dans une organisation.

        

QUESTION 1 : Les parties prenantes

        Tout d’abord, nous allons définir ce que sont les parties prenantes. Ce fut en 1984 que l’ouvrage de monsieur Freeman à popularisé la théorie en définissant celle-ci comme « les individus ou groupes d’individus qui peuvent affecter ou être affectés par la réalisation des objectifs organisationnels. » 1. Les acteurs possibles de ses parties prenantes se retrouvent à l’intérieur de l’entreprise soit le personnel, les dirigeants ou représentants, mais également à l’extérieur de celle-ci tels que la communauté locale, des organisations professionnelles, des fournisseurs, des groupes de pression, des gouvernements, de la clientèle ou des investisseurs. Le dirigeant est au centre d’un réseau contractuel composé de ces Stakeholders. La théorie des parties prenantes a progressivement déniché sa place à partir des années 1980 comme cadre de référence complémentaire. Le but de ce cadre est de préciser les groupes actuels ou potentiels d’une entreprise qui exerce ses responsabilités sociales. « L’intérêt principal de la théorie des parties prenantes est de mettre en évidence une vision pluraliste de l’organisation, entité ouverte sur son environnement et de fonder une vision partenariale des organisations, associant les dirigeants à l’ensemble des parties prenantes. » 2. Ce faisant, cette approche permet la conception de l’environnement d’entreprise qui inclut l’analyse stratégique des groupes d’acteurs tels que les organisations non gouvernementales, les groupes activistes, les groupes politiques et plusieurs autres. « La perspective normative de la théorie des parties prenantes vise à clarifier les raisons pour lesquelles les demandes de groupes qui ne sont pas nécessairement en relation contractuelle explicite avec les entreprises peuvent être légitimes et doivent donc être prises en compte. » 3.

        Comme gestionnaire d’entreprise, il est dans son obligation ou presque de ne pas négliger ses parties prenantes influentes au risque de nuire à son entreprise. Celle-ci doit justifier l’utilité de son activité à la société, en plus des conséquences qui en découleront par la suite. « La réactivité est la réponse d’une organisation aux problématiques posées par les parties prenantes qui affectent ses performances en matière de développement durable… » 4. De ce fait même, le gestionnaire doit être en mesure d’entretenir de bonne communication avec les parties prenantes afin de répondre adéquatement aux intérêts de celles-ci. La capacité des dirigeants à appréhender et à aligner leurs priorités et actions de leur entreprise selon les besoins et droits des stakeholders a tendance à se démontrer comme un facteur critique de la performance organisationnelle. L’inclusion des parties prenantes dans l’organisation et dans la gouvernance permet d’espérer de résultat positif nettement plus élevé. En ce sens, l’évolution de ces parties peut être très bénéfique pour l’organisation si les deux camps s’assurent de s’entendre sur le même objectif à atteindre. Sachant que les parties prenantes ont transformé les relations entre les gestionnaires et leur environnement, comme quoi elle s’assure que l’environnement externe soit satisfait, le gestionnaire aura donc beaucoup plus avantage à aller dans la même direction. Donc, comme mentionné précédemment, il est important pour le gestionnaire de mettre l’emphase sur la communication avec les différentes parties afin d’élargir ses connaissances face au marché, aux occasions d’affaires et selon le point de vue des autres acteurs influents de l’entreprise. Par la suite, avec la collecte de ces données, il sera alors possible d’ajuster la méthode de gestion de l’organisation et de recentrer les objectifs dans le but de satisfaire les besoins demandés. Le dirigeant devra mettre en œuvre et faire face aux différents principes de gestion des Stakeholders. Il devra reconnaître et surveiller activement les attentes de toutes les parties prenantes légitimes ainsi que de prioriser l’écoute et la communication concernant leurs attentes. Adopter des comportements qui sont sensibles aux préoccupations et compétences des parties; reconnaître l’interdépendance des efforts et récompenses parmi les Stakeholders. Le dirigeant doit éviter toute activité pouvant mettre en danger les droits humains et reconnaître les conflits d’intérêts potentiels entre les parties prenantes et leurs responsabilités légales puis éthiques envers les intérêts de tous. De ce fait même, l’éthique vise à s’assurer que les intérêts des parties prenantes sont retenus et leurs droits respectés selon l’approche partenariale. Pour ces raisons, il sera important pour mon employeur d’apporter une attention particulière aux parties prenantes en tenant compte des principes énumérés ci-haut pour le bien de l’organisation.

...

Télécharger au format  txt (9.8 Kb)   pdf (67.1 Kb)   docx (15.1 Kb)  
Voir 5 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com