Sociologie-Bernard Cathelat

Rasplus Antoine        Initiation à la sociologie

Iseg1                                                                              Madame Errate

RÉSUMÉ

1. Bernard Cathelat

        Bernard Cathelat est un psychosociologue spécialisé principalement dans l’étude des tendances de style de vie (autrement dit, socio-style de vie), ainsi il fut un des cofondateurs de l’institut CCA, travaillant sur cette même étude, et co développeur des études de prospectives et socio-styles de vie après son 3ème  cycle à l’université de Paris-Sorbonne en tant que docteur en psychologie social. Jusqu’en 2011, Cathelat était donc le directeur de recherches au CCA ; il donne aussi des conseils en socio-marketing ; et depuis 2008, il est sociologue chez Netexplo Observatory, un institut de veille et d’analyse mondiales des innovations numériques et de leur application.

(Sources : wikipedia ; bibliotheque Clermontmetropole.eu)

        En tant que docteur en psychologie social et adepte des études de socio-styles de vie, Bernard Cathelat fût auteur de nombreux ouvrages. Notamment des œuvres sur le rapport entre sociologie et communication dans la publicité avec « Publicité et Société » publié en 1987, une de ses œuvres les plus importantes qui explique comment la publicité est devenue un phénomène culturel avec son adaptation de plus en plus créative et artistique au fil des années, de ses commencements à son apogée actuelle tout en rappelant que cette publicité influencée par la société et elle-même une influence pour la société. Il publie aussi deux tomes sur « Les Styles de Vie des Français, 1978-1998 » en 1977 qui voit « au-delà du miroir » pour décrypter la France et ses flux expressifs de communications. En 2012, il s’associe avec sa famille puisqu’il écrit avec Sandrine Cathelat, directrice des Etudes de l’Observatoire Netexplo, « 2012 – 2017, ce que veulent les Français », un ouvrage qui portera sur différentes questions que peuvent se poser les français dans ces années, dans différents pôles : le pôle de l’intimité avec le corps, l’alimentation, les usages de médicaments ou drogues, nous face à une société de transparence ; le pôle de la famille, car on se demande finalement ce qu’est de nos jours une « vrai famille française »  et aussi comment l’éducation doit être faite ; le pôle du travail ; le pôle de la société, « qui est français en 2011 ? » , « qui vas m’aider ? » ; et bien sûr le pôle de gouvernance avec la question présidentiel. Le livre s’appuie sur les travaux de la CCA et plus précisément sur son dossier baromètre de tendances 2011 où Cathelat a beaucoup travaillé. (Sources : Herault-tribune.com)

Le psychosociologue écrivit donc plusieurs ouvrages portant toujours sur la sociologie, principalement sur les styles de vie, et aussi sur la communication et le langage dans la pub puisque son impact est sociétal. Pour encore en citer : il publie « L’impératif moral » en 1997 ; « De l’homo sapiens à l’homme interactif » en 1988 avec le psychologue écrivain Michel Brossard ; mais encore « L’alternative des valeurs féminines : une recherche et un débat » en 1998. 

1. Résumé de la préface

                La préface écrite par Bernard Brochand, président d’EUROCOM, de l’ouvrage « Publicité et société », écrit par le psychosociologue Bernard Cathelat, retranscris l’évolution de la communication de la publicité et son rapport à la société.

En premier temps, Brochand explique que la publicité est devenue un art qui attire l’œil des médias et des journaux, de la même façon qu’on le ferait pour des œuvres littéraire ou cinématographique. Il raconte que cette évolution s’est faite sur l’espace de quinze ans, il parle « d’années de la Reconstruction », dans les années 60, où la soif de consommer ne pouvait que laisser place aux nouveaux marketing et publicitaire. Seulement on ne faisait qu’étudier chez les consommateurs des préférences quantitatives, aucune approche qualitative, il n’était pas encore question de « vendre du rêve » mais de comparaisons objectives, ce qui suffisait pour vendre un produit, puisque, comme Brochand le dit « la crise n’était pas encore là ».

On parle ensuite d’un « apport scientifique » à la publicité, prête à accueillir une nouvelle     génération de publicitaire et donc une nouvelle publicité. Il fallait attendre Mai 1968, cette    révolution de la communication a remis en cause la société de consommation, puis la crise pétrolière de 1973 confirme cet effondrement qui laisse place à la nouvelle publicité, toutes les techniques publicitaires devaient être retravailler en fonction de la crise, on prend              donc en compte les questions environnemental, social, de durabilité…

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