Plans structurés Marketing Management

MANAGEMENT

QU’EST-CE QU’UNE ENTREPRISE ?

1. La divergence de vue entre économistes et gestionnaires

1. La firme néoclassique et ses limites
2. L’entreprise économise les coûts de transaction

1. L’entreprise est une convention d’efforts

1. Théorie des conventions et entreprise
2. Analyse conventionnelle de l’entreprise et de son fonctionnement

DANS QUELLE MESURE LES CONCEPTIONS DE LA FIRME DANS LE COURANT CLASSIQUE

PEUVENT-ELLES ÊTRE REMISES EN CAUSE ?

1. Conception de la firme selon le modèle classique rationnel

Taylor : OST = division horizontale et verticale du travail

Fayol : principes = hiérarchie stricte et structure autoritaire, unité de commandement, exception, surface de contrôle, d’où prévoir etplanifier, organiser, commander, coordonner, contrôler

Max Weber : organisations charismatiques, traditionnelles, bureaucratiques

1. Remise en cause des modèles classiques de la firme

1. La prise en compte de sa dimension psycho sociale

Mayo : école des relations humaines : effet hawthorne, importance de la vie de groupe, relation au contremaître

Moreno : liens affectifs à l’intérieur de petits groupes, d’où dynamique de groupe

Lewin : supériorité du leadership démocratique par rapport au leadership autoritaire et au laisser faire

Fielder : conditions = bons rapports leaders-groupe, tâches non structurées, pouvoir du leader faible

Coach et French : facteur norme de groupe supérieur au facteur revenu

Maslow : besoins physiologique, sécurité, appartenance,estime, réalisation = motivations de l’homme au travail

MacGregor : Théorie X : aversion pour le travail, théorie Y : le travail est aussi naturel que jeu et repos

Hertzberg : facteurs de motivations intrinsèques et d’ambiance extrinsèques

Wassenor : liens entre maslow et herzberg = si les besoins intrinsèques sont motivants, c’est qu’ils ne sont pas satisfaits

Argyris : efficacité = succès psycho. des membres, partagé et valorisé, d’où modèle d’organisation efficace

1. L’analyse stratégique des acteurs

Crozier et Friedzberg : liberté relative des acteurs = zones d’incertitude, et jeux de pouvoir

Cyert et March : objectifs propres à chacun, d’où buts de l’organisation négociés  et améliorés avec slack

March et Simon : rationalité limitée des stratégies (contraintes et satisficing) = infos, capacités et valeurs

Sainsaulieu : identités collectives de l’homme au travail, modèle de fusion, négociation, affinité, retrait

FACTEUR HUMAIN ET PERFORMANCE DE L’ENTREPRISE

1. La prise en compte du facteur humain dans la recherche de la performance

1. Les efforts pour réduire la place du facteur humain se heurtent à des limites
2. L’importance croissante du facteur humain pour la performance de l’entreprise

1. Difficultés à surmonter pour optimiser l’apport du facteur humain à la performance

1. La mobilisation des ressources humaines, condition d’efficacité
2. La gestion des connaissances et des compétences, base de la stratégie

PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE ET EMPLOI

1. Les effets de la productivité sur l’emploi

1. Les gains de productivité facteurs de chômage
2. Les gains de productivité facteurs de croissance et d’emploi

1. Les effets de la recherche de productivité sur la nature du travail

1. La course à la productivité facteur de détérioration des conditions de travail
2. La course à la productivité facteur de progrès pour les conditions de travail

LE TAYLORISME EST-IL TOUJOURS D’ACTUALITE ?

1. Aujourd’hui, le Taylorisme ne répond plus parfaitement aux besoins des entreprises et des salariés

1. L’évolution réciproque des attentes des salariés et des modes de production
2. Le Taylorisme est remis en cause du fait de l’évolution de l’environnement

1. L’efficacité du Taylorisme justifie son utilisation dans les entreprises

1. Taylorisme, productivité et qualité
2. Le nouveau visage du Taylorisme

LES NOUVELLES THÉORIES EN ORGANISATION : L’APPROCHE INSTITUTIONNELLE

1. Les théories des droits de propriété et de l’agence

1. La théorie d’Alchian et Demsetz : production en équipe et rémunération efficace des inputs

Droits de propriété, d’où pas d’autonomie mais rapport contractuel

1. Les travaux de Jensen et Meckling : la théorie de l’agence

Le principal (actionnaire) délègue à l’agent (pdg) un certain pouvoir décisionnel

1. La théorie des coûts de transaction

1. Coase : l’émergence de la firme par les coûts de transaction

Coûts de transaction nécessaires au fonctionnement du marché (info, négociation et conclusion de contrats)

1. Williamson et l’économie des coûts de transaction

Les coûts de transaction proviennent de la rationalité limitée et de l’opportunisme des individus, pas du marché

ETHIQUE ET ENTREPRISE

1. L’éthique, fondement d’une nouvelle organisation de l’entreprise

1. L’éthique, facteur de cohésion interne
2. L’éthique, facteur de crédibilité externe

1. La mise en œuvre de l’éthique dans l’entreprise

1. L’existence de conflits entre éthique et culture d’entreprise
2. L’instrumentalisation de l’éthique dans l’entreprise

L’ENTREPRISE CITOYENNE

1. Les manifestations de la citoyenneté

1. L’amélioration de l’intégration dans l’environnement
2. La façon de traiter le personnel
3. Le soutien d’actions culturelles, sportives ou sociales

1. Une citoyenneté qui s’impose à l’entreprise
2. Une citoyenneté voulue, intégrée à la stratégie

CULTURE D’ENTREPRISE ET PERFORMANCE

Peters, Waterman, Ouchi : culture = facteur d’excellence des firmes

Mintzberg : contingence cuture/variable culturelle externe, fit efficacité/cohérence entre variables

1. La culture, facteur de performance

1. Culture et intégration interne
2. Culture et adaptation au changement

1. Une culture congruente aux conditions de performance

1. La congruence culture - variables culturelles externes
2. L’adéquation culture d’entreprise – stratégie d’entreprise

CREATION DE VALEUR ET STATEGIE

1. La création de valeur pour l’actionnaire

1. Justification d’une telle stratégie
2. La mise en œuvre de la valeur ajoutée économique (EVA)

1. Le management de la valeur

1. Un modèle de gestion global de la valeur
2. La dynamique de la création de valeur pour les parties prenantes

LES ENTREPRISES ET LEUR COMPTABILITE

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