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Marketing des réseaux sociaux

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Par   •  24 Novembre 2015  •  Cours  •  2 579 Mots (11 Pages)  •  746 Vues

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Séance 1                                                                        24/09/2015

Marketing des réseaux sociaux

Livre : Mercator 13eme édition

Evaluation en travail de groupe, 15 jours après le dernier cours

1.Satisfaction de besoin et émergences tribale des consommateurs

  1. Désir et besoin

Les pulsions narcissiques sont dangereuses, car ces pulsions n’ont aucune limite a la satisfaction du jeu.

Le besoin c’est la traduction du désir, la socialisation du désir.

Le passage du désir au besoin est un besoin du désir partager socialement.

La demande c’est la solvabilité du besoin.

Dans le désir Il n’y a pas de règle social.

La pyramide maslow :

[pic 1]

Quelques auteurs :

-Guillaume (américain): le besoin c’est l’acquis du désir, ce qui veut dire que le désir soumet à sa volonté. L’inassouvissement du désir pousse le besoin vers une soif inextinguible à vouloir, qui ne peut pas étancher sa soif.

Dans la société on consomme pour laisser une trace.

-Robert (américain) : le besoin relève d’une exigence sociale, c’est à dire que le besoin dite au désir doit rentrer dans la norme sociale.

-Abott (américain) : le besoin dérivé est une conséquence de l’individuation du besoin général, sa veut dire qu’on doit s’adapter au monde qui change et évolue.

-Rosa (français) : le facteur déterminant désir/besoin réside dans l’autonomie d’action et de décision, ce qui signifie que on va être dépendent des normes sociales.

  1. Les nouvelles approches de la demande au marketing

La demande est liée à la satisfaction et au besoin de la satisfaire.

Tout d’abord :

- Les influences socioculturelles qui sont importante a la demande

-Les facteurs sociologiques

-La capacité de veille informationnel  

-Les possibilité de traitement de l’information

-Les influences psychologiques

Il est évident que le niveau de réponse peut être dans 3 ordres :

-Conatif, c’est le comportement

-Affectif, coup de cœur

-Cognitif, connaissance

Jamais on s’objectivise car on a un parcours derrière nous.

« Génération des enfants rois »

Nuttin pense que nous sommes soumis a des tentations diverses et multiples et que les objet buts a atteindre relève d’une approche caléidoscopique compensatoire.

On cherche a maximiser son utilité, arbitrer au mieux de nos intérêts.

Nous sommes pourtant excités par l’envie d’acquérir des choses, on serait un peu collectionneur, on s’entoure d’un tas de choses pour se rassurer.

Duffy : l’explication de la demande repose sur la notion… on cherche le confort et cela en choisissant de réduire les risques négatifs, on va chercher à trouver la demande qui présente le moins de fatigue

Berlyne : c’est la nouveauté qui commande la demande, on est influencé par des approches collatives. « dit moi ce que tu consomme et je te dirais qui tu est ».

Attention, l’éveil se déduirait de notre ouverture au plaisir, d’ou le problème de la loi du contraste hédonique. Trop de plaisir tue le plaisir.

  1. L’émergence du tribalisme

C.1 les repères historiques

Seth Godin : « Une tribu c’est un groupe de personnes partageant les mêmes valeurs décisionnelles et que le web a permis de multiplier à l’infini »

Il faut distinguer tribu de communauté, la communauté c’est la même chose que la tribu appart qu’il y a des valeurs éthiques et morales.

Ce phénomène tribal apparaît dans son exception marketing au milieu des années 90 a partir des travaux d’ethnographes, Mc alexander et Schoulte qui ont vécu 1 an avec une tribu de bikers, ils ont constater qu’il adherents tous au meme comportement.

Bernard Cobaet et Olivier Badot a la fin des années 90 transforment la notion de tribu en communauté parce qu’on est dans une société post moderne, il y a une érection de valeur humaniste.

La tradition : loi non contestable

Modernité : il y a peut-être une capacité à mettre en doute la tradition.

En 2000 Kozinets a travailler sur les communautés de fans de star wars et star trek et constate que la passion envahi la vie.

C.2 Les communautés de consommateurs comme espace transitionnel.

Le point de départ c’est l’adhésion et donc la reconnaissance.

Donc l’adhésion se fait a travers d’une consécration connective (ex : on va au mêmes endroit, on a les mêmes habitudes)

Ce n’est plus le choix de la marque qui importe mais le Nous fondateur du groupe qui donne l’impulsion relationnel.

C’est donc pour le marketeur une obligation de comprendre comment la tribu ré enchante le monde.

Dans la tribu dès lors tout les membres y trouvent leurs places en fonction de leur engagement et crée des liens social fondé sur l’appartenance.

Le Nous décisionnel agit comme un espace relationnel qui affluent sur les comportements physiques du group et sur les stimulations d’échange virtuel.

Il faut questionner les membres sur leurs appartenances, les bénéfices réels, symbolique et psychologique.

C’est une expérience totale au sens de Marx Weber, parce qu’elle transforme notre perception de la marque et notre comportement au monde et que nous cherchons en permanence a enrichir la communauté, ne pas confondre tribu et clan (le clan est une tribu nostalgique, c’est a dire elle se replie sur elle même), au contraire, Winnicott défend la notion d’espace potentiel ou des objets transitionnel jouerais les rôles de médiateur influencer par des facteur socio-anthropologique

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