Cas BNP Paribas
Étude de cas : Cas BNP Paribas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar chacfrn • 26 Novembre 2020 • Étude de cas • 753 Mots (4 Pages) • 518 Vues
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FERMIN Charlotte GEA1 groupe B
TD 3 : La gestion des parties prenantes chez BNP Paribas :
- Tout d'abord la théorie des parties prenantes selon ED Freeman : « Les parties sont des personnes ou des organisations, qui dépendent de l'entreprise pour atteindre leur propre objectif et dont l'entreprise dépend également. » Les parties prenantes peuvent être classées en 3 familles en fonction de leurs objectifs, c'est-à-dire des objectifs économiques, socio-politiques et liés à la technologie. Ainsi les parties prenantes chez BNP Paribas sont les clients par exemple les particuliers, les professionnels, les PME, les associations, les institutions officielles, ou encore les différents États. On trouve également différentes sources de médias comme les réseaux sociaux, la presse, ou encore les prescripteurs d’opinion. Les différents salariés au sein de l’entreprise, et enfin les actionnaires et les investisseurs qu’ils soient individuels ou institutionnels.
- Tout d'abord pour les actionnaires et les investisseurs on peut relever : « Nous avions des plans particuliers pour certaines géographie où certains métiers, par exemple en Asie, en Allemagne ou en Amérique, où nous avons atteint nos objectifs. Personal finance, Arval, Leasing Solutions et Cardif ont connu un bon développement et sont des moteurs de croissance pour le Groupe. » Ensuite du côté des clients on constate : « Nous avions certains challenges à relever comme préparer les évolutions des réseaux de nos banques de détail. D'une part nous avons amorcé leur transformation pour nous adapter à la façon dont les clients utilisent des agences aujourd'hui. » mais aussi : « Concernant Corporate & Institutional Banking, nous avons gagné́ des parts de marché en développant la banque de transaction et renforcé nos positions sur les entreprises et les clients institutionnels. » Puis, du côté des médias « Nous avons mis en place les bases d'un Groupe plus digital. Les applications BuyMyHome en France et Home on the Spot en Belgique permettent aux clients de souscrire un crédit habitation en ligne. En France, nous lançons Wa ! une application de paiement mobile : nous allons proposer une solution unifiée en 2017 grâce à son rapprochement avec Fivory. Hello bank !, notre banque mobile européenne créée en 2013, poursuit une bonne dynamique. » ou aussi, « Nos banques de détail hors zone euro ont fortement développé́ les services bancaires en ligne sur le web ou sur mobile. » Enfin, pour les salariés : « Dans tous les métiers d’International Financial Services, il y a eu de nombreuses initiatives sur l'amélioration des parcours clients. Nous avons par exemple imaginé de nouvelles applications pour la banque privée. »
- Tout d'abord pour BNP Paribas vis-à-vis de ses parties prenantes un tel document est très utile car pour commencer au niveau international pour les actionnaires et les investisseurs cela permet de savoir ce que l'entreprise à améliorer d’un point de vu échange avec le monde. D'un autre côté pour les clients cela fait de la pub à l'entreprise pour savoir les nouveautés, ce que l’entreprise à modifier et améliorer. Du côté des salariés cela nous explique ce qu'ils ont accompli et nous montre un peu la façon de procéder et de travailler. Enfin, du côté des médias cela permet de faire de la pub.
- Tout d'abord, un positionnement éthique est une disposition individuelle à agir selon les vertus afin de rechercher la bonne décision dans une situation donnée. De manière générale une entreprise recherche un positionnement éthique car c'est une façon d'améliorer le côté social et le côté économique de l'entreprise. En effet, l'intérêt est de renforcer la proximité avec les clients mais aussi d’un côté international s’ouvrir à de nouveaux clients à l’étranger, améliorer le travail d'équipe grâce à différents outils c'est-à-dire simplifié l'organisation du travail. De plus, on peut constater aussi une amélioration de l'image de l'entreprise et une participation à la création de valeur et à la pérennité de l'entreprise. Enfin, l'amélioration de l'efficacité opérationnelle c'est-à-dire la stratégie opérationnelle qui correspond à toutes les décisions prises par la hiérarchie dans un but d'optimiser à moyen ou long terme les ressources et les objectifs d'une entreprise.
- Les parties prenantes ne peuvent pas se contenter de ces informations, elles peuvent s'en procurer aussi à travers les lois. En effet, par exemple avec la mise en place de la loi sapin 2 qui contraint désormais les entreprises de plus de 500 salariés et réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 100 millions euros à mettre en place des mesures de prévention du risque comme les codes de bonne conduite où un dispositif de contrôle interne.
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