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Analyse du marché alimentaire

Dissertation : Analyse du marché alimentaire. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  4 Janvier 2023  •  Dissertation  •  1 499 Mots (6 Pages)  •  274 Vues

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1. Analyse de marché

Le marché dans lequel s’inscrit notre application est le marché alimentaire.

Nous allons effectuer une étude de marché sur le marché de l’alimentation, ce qui signifie l’étude de l’offre, de la demande puis pour finir l’environnement.

1.1. Etude l’offre

Lors de l’analyse du marché, il faut qu’on analyse l’offre qui va nous permettre de connaitre les produits et segments présents sur le marché ainsi que les concurrents et les distributeurs.

On a commencé à analyser les différents types de produits et segments présent dans le marché de l’alimentation.

Il y a tout d’abord les fruits et légumes ensuite les produits céréaliers et légumineuses, les produits laitiers, viande, poisson et fruits de mer, matières grasses et pour finir les produits sucrés.

Il y a dans le marché de l’alimentation énormément d’application téléchargeable sur toutes les plateformes proposant des listes de course, des recettes et des conseils nutritionnelles.

Au niveau des concurrents de l’application est principalement Frigo Magic et par rapport à la concurrence indirecte, il y a Drive Carrefour ; Leclerc Drive ; Auchan Drive.

Pour la distribution, à l’échelle internationale, les principaux distributeurs alimentaires sont

En France, il y a quelques distributeurs. Il y a 6 entreprises qui se partagent 90% du marché de l’alimentaire : Auchan / System U / Carrefour / Casino / Leclerc et Intermarché.

1.2. Etude de la demande

(1) Analyse quantitative :

Au niveau de la mal nutrition, plusieurs études ont été effectué.

L’union nationale des mutuelles étudiantes régionales a interrogé plus de 12 000 étudiants sur leur santé et quelques chiffres ressortis mettent en évidence un déséquilibre alimentaire.

- + 1/3 des 18-25 ans vivant seuls ont une alimentation caractérisée par une forte consommation de produits transformés, prêts à consommer au détriment des aliments bruts.

- 37 % des 18-24 ans sautent au moins un repas (déjeuner ou diner) par semaine alors que cela ne représente que 4 % chez les + de 65 ans.

- 18 % ne prennent que deux repas par jour. Parmi eux 12 % ne font pas de repas supplémentaire pour des raisons économiques.

- Près d’un étudiant sur 2 déclare être préoccupé par son poids.

- Les « snackeurs » sont à 63 % des jeunes de 15-24 ans.

- 56 % des 15-24 ans estiment avoir une bonne alimentation.

- 14 % des étudiants déclarent ne consommer ni fruits ni légumes par jour.

- 95 % des étudiants grignotent au cours de la journée.

Aujourd’hui on a plus de choix et de diversité et le secteur évolue dans un contexte de défiance du consommateur, une étude révèle la perception des Français sur l'évolution de leur alimentation. Avec quelques surprises à la clé. Aussi, pour eux, ce qui s'est le plus amélioré, c'est à 46 % la diversité et le choix des produits alimentaires, à 45 % la traçabilité et à 34 % la facilité à se procurer les produits alimentaires. A l'inverse, ils estiment, à une très grande majorité (74 %) que les prix se sont dégradés, tout comme la juste rémunération des producteurs, la qualité gustative des produits, les conditions de production et les effets des produits alimentaires sur la santé. Pas très glorieux donc comme constat. De quoi en tous cas conforter les stratégies des industriels vers le mieux manger.

Si la confiance fait globalement défaut, elle varie selon les produits alimentaires. Sans surprise, les petits producteurs ont la cote, tout comme les labels de qualité, les produits d'origine France, les ingrédients d'origine naturelle et enfin mais finalement à seulement 51 % les produits bio. Le sentiment de qualité gustative des aliments varie aussi selon les types de commerce. Les marchés ressortent comme le lieu privilégié pour cela à 74 % puis juste derrière les ventes directes aux producteurs et enfin à seulement 51 % la grande distribution.

Dans ce contexte, le désir d'informations se fait toujours plus fort. 86 % souhaitent obtenir plus d'informations dont 28 % toutes informations possibles. A ce jour, 65 % jugent les informations actuelles des marques comme "peu complètes", 62 % "peu claires", 58 % "peu compréhensibles et 57 % "peu fiables". Ce qui les intéressent le plus, dans l'ordre, le prix, la provenance et l'origine géographique et la composition des produits (liste d'ingrédients).

En conclusion, l'étude a demandé aux Français quelles sont selon eux les solutions pour améliorer la qualité gustative des produits alimentaires. Ainsi, ils sont 60 % à souhaiter une agriculture plus raisonnée et plus vertueuse, 45 % pour des contrôles sanitaires plus systématiques et rigoureux, 41 % pour une vérification plus organisée et précise des produits auxquels on attribue des labels, 37 % pour un étiquetage plus compréhensible sur les produits alimentaires et 20 % des audits plus réguliers et approfondis des lieux de distribution.

(2) Analyse qualitative :

• Tendance du marché :

Le comportement des consommateurs français change, ils veulent consommer plus sainement avec une mise en avant des produits locaux, bios

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