Sujet : Montrez que dans un soir au club de GAILLY, la musique jazz est enivrante
Cours : Sujet : Montrez que dans un soir au club de GAILLY, la musique jazz est enivrante. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Willy Konlack • 11 Mars 2021 • Cours • 818 Mots (4 Pages) • 534 Vues
Sujet : Montrez que dans un soir au club de GAILLY, la musique jazz est enivrante.
Un soir au club est le onzième roman de Christian GAILLY, roman français publié en octobre 2004 par les Éditions de minuit. Ce roman révèle la force qu’a la musique jazz sur Simon Nardis le personnage principal. Nous montrerons que la musique jazz est enivrante, qu’elle monte à la tête. Dans notre travail, nous nous attarderons en premier lieu de l’ivresse qu’a provoqué la musique jazz chez Simon et ensuite que son l’exaltation des sentiments de Simon.
Dans un soir au club de Christian GAILLY, nous constatons que la musique jazz est enivrante. D’entrée de jeu, parce que cela a provoqué chez Simon l’ivresse. À la redécouverte du jazz, Simon n’était plus dans son état normal. L’utilisation de l’hyperbole dans la phrase suivante : « Simon brûlait de toucher au piano pour faire entendre ce qu’un style a d’inimitable. » (Page 38), révèle cette envie folle qu’a Simon de montrer de quoi il est capable. Cette retrouvaille avec cette musique a réveillé en lui des anciens souvenirs, des souvenirs d’y il y a 10 ans qui ont fait de lui une personne célèbre comme cette musique a fait de lui une personne égarée. En plus, l’auteur utilise un rythme lent pour montrer l’inquiétude de l’ingénieur qui était avec Simon. Nous le constatons par : « Simon n’était plus là. Il le chercha. Le vit là-bas. Il montait sur l’estrade. Mais qu’est-ce qu’il fait? Se demande l’ingénieur. Simon s’asseyait devant le piano. Il est soûl ou quoi? Il a vu l’heure? » (Page 40). L’utilisation de ces phrases courtes montre la panique de l’ingénieur. Il veut éviter que Simon ne les produise en spectacles. Également, l’on peut remarquer dans ce roman était transporté, ému par la musique. En effet, l’usage de la négociation dans la phrase suivante : « La regardant, il ne pouvait pas ne pas voir ce visage. Et à la longue, ne pouvait manquer d’être frappé […] » (Page 54), révèle qu’il y a n’avait que les yeux pour cette dame de nom de Debbie qu’il a rencontré dans ce club, il ne voulait plus s’en défaire. En plus, l’on remarque plis loin que Simon souhaite même la mort des a femme pour ne plus l’avoir dans ses roues : « Le plus terrible dans cette histoire c’est d’avoir souhaité la mort de sa femme. » (Page 151). En une phrase, Simon n’agissait plus de lui-même, il était comme hypnotisé.
Ensuite, la musique jazz est enivrante parce qu’elle a provoqué l’exaltation des sens, des sentiments chez Simon. En effet, un sentiment très intense avait envahi Simon. L’utilisation de l’allégorie dans la phrase suivante : « Quelque chose comme un saturation de plaisir qui vous coupe le souffle, vous fait pleurer de rire. » (Page 73), pour montrer l’émotion que Simon ressent à ce moment précis. On aurait dit un adolescent qui a un coudre de foudre pour la première fois. Et rencontre Debbie lui a fait revivre un amour de jeunesse extraordinaire : « […] S’agissant d’un homme et d’une femme vieillissants, qui sans doute ne connaitront plus jamais une émotion de cette qualité, aussi intense, aussi belle dans sa fulgurance. » (Page 106). De surcroît, cette musique jazz a éveillé en lui le désir de l’amour. Cela s’explique par l’utilisation de la synecdoque
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