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La promotion et la protection des droits de la femme

Fiche : La promotion et la protection des droits de la femme. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  12 Juin 2016  •  Fiche  •  1 393 Mots (6 Pages)  •  2 392 Vues

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Thème : la promotion et la protection des droits de la femme

Plan :

Introduction

  1. La promotion des droits de la femme
  1. Garantir l’égalité et la non-discrimination
  1. Protection des droits de la femme
  1. Protection contre les abus de la partie au conflit au pouvoir de laquelle se trouve
  1. Respect du traitement préférentiel de a femme
  2. Femme enceinte ou en couches
  1. Statut des prisonnières de guerre

Conclusion

Exposantes: Aissata Sow, Hawa Sy, Tacko Thiam, Farmata Thiam, Faty Touré

 Source: Internet, Wikipédia

Introduction

Les conventions et les protocoles protègent la femme d’une part en tant que membre de la population civile ne participant pas aux hostilités et en d’autre part en tant que combattante tombée au pouvoir de l’ennemi. Dans les paragraphes qui suivent nous allons examiner les différents aspects de cette protection en mettant plus particulièrement en évidence le traitement différencié, plus favorable dont bénéficie la femme à la lumière des principes suivants.

  1. La promotion des droits de la femme

La quatrième conférence mondiale sur les femmes tenue a Beijing en 1995 a réaffirmé que l’exercice plein et égal des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour les femmes et les filles est une priorité pour les gouvernements qui doivent non seulement s’abstenir de la violation des droits fondamentaux des femmes mais aussi s’employer activement à promouvoir et a protéger ses droits. Selon le programme d’action tenu à Beijing, le non-respect des droits fondamentaux des femmes constitue l’un des 12 domaines critiques qui requièrent des actions spécifiques des gouvernements et de la communauté internationale. Le programme d’action a appelé à l’application intégrale de tous les instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme particulièrement la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes. Il a également insisté sur la nécessité d’assurer l’égalité des non-discriminations, dans le droit et dans les faits et de veiller à ce que les femmes connaissent leurs droits.

Au cours de sa quarante deuxième session, la commission des nations unie de la condition de la femme a proposée qu’une action plus large en faveur de la promotion des droits fondamentaux des femmes y compris l’intégration d’une dimension sexo spécifique dans toutes les politiques et les programmes appropriés , soit menée par les gouvernements et la communauté internationale. Les conclusions concertées adoptées aux cours de la session ont proposées des mesures en vue d’encourager et d’appuyer la tenue des dialogues sur une large base nationale et dans les communautés sur la signification des droits de l’homme et sur la discrimination et les violations liées aux sexes. Les conclusions ont également mis l’accent sur la nécessité de garantir l’existence de cadres légaux et règlementaire nationaux qui assurent le respect total de tous les droits fondamentaux des femmes et des filles.

  1. Garantir l’égalité et la non-discrimination

Le cadre juridique de l’égalité entre les sexes a été renforcé un peu partout dans le monde et il se rapproche des exigences de la convention. Les mécanismes de sanction contre les atteintes aux droits des femmes se sont améliorées et les tribunaux d’un nombre croissant de pays se montent plus enclin à garantir le respect de la législation sur le droit des femmes. Les gouvernements ont également reconnu la nécessité d’assortir leur législation de dispositions complémentaire, y compris de réforme sociales, pour assurer la réalisation des droits des femmes dans les faits.

Plusieurs pays d’Afrique, notamment le Ghana et le Sénégal ont déposé des projets de lois pénalisant les pratique coutumières préjudiciable aux femmes, telle que les mutilations génitales féminines (MGF).

La république islamique d’Iran et le Népal ont progressé dans l’établissement des tribunaux charges des affaires familiales et la création de service chargé des questions féminines au sein des organes judiciaires.

  1. La protection des droits de la femme

Comme toute personne civile, la femme est protégée d’une part contre l’abus de la partie au conflit au pouvoir de laquelle elle se trouve et d’autre part contre les effets des hostilités. « Est considérée comme civile toute personne n’appartenant pas aux forces armées »

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