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Auteurs De Violences Conjugales: En Quoi Leur Prise En Charge Contribue-t-elle à La Protection Des Femmes Et Des Enfants ?

Compte Rendu : Auteurs De Violences Conjugales: En Quoi Leur Prise En Charge Contribue-t-elle à La Protection Des Femmes Et Des Enfants ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  23 Juillet 2013  •  1 006 Mots (5 Pages)  •  2 274 Vues

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COMPTE RENDU

CONFERENCE:

Auteurs de violences conjugales: en quoi leur prise en charge contribue-t-elle à la protection des femmes et des enfants ?

Dr LEGRAND Alain, psychologue

Définition de violence conjugale:

La violence au sein du couple est un processus évolutif au cours duquel un partenaire exerce, dans le cadre d’une relation privilégiée, une domination qui s’exprime par des agressions physiques, psychiques ou sexuelles.

1 femme sur 10 est victime de violences

36 000 femmes seraient victimes de violences dans le Département du Val de Marne.

En France, une femme meurt tous les 3 jours.

L’association de lutte contre les violences a été créé en 2009 avec comme objectif de sensibiliser les professionnels et le public.

La violence est un moyen de communication dans certaines familles.

Les violences de la société viennent généralement des violences issues des familles, car les enfants reproduisent ces violences, qu’ils ont peu assimilées comme moyen de communication, envers les autres. Cette violence peut entraîner des conduites à risques dut aux violences reçues ou observées.

Il y a un risque plus important pour ces personnes de maladies, telles que le diabète ou les cancers, fractures des os…

Il faut agir contre ces violences en sanctionnant les auteurs. Auparavant, ces violences étaient autorisées par la loi. Il y a un renversement de la société qui fait qu’aujourd’hui, elles sont sanctionnées. Ces violences peuvent être considérées comme des circonstances aggravantes.

Il y a une différence entre vivre avec quelqu’un que l’on considère comme un objet et vivre avec quelqu’un par amour.

On pose la question du vivre ensemble ? Ainsi que, la question de la domination ?

Qui n’est pas seulement dut au genre, une étude à montrer que chez les personnes homosexuels, ont retrouvaient sensiblement les mêmes chiffres que ceux des couples hétérosexuels.

Les violences conjugales sont faites par des hommes dits pervers narcissique. C’est-à-dire, une personne qui agirait comme un prédateur en substituant le besoin d'être obéi au désir d'être aimé, et qui, pour l'obtenir, pourrait aller jusqu'à détruire l'identité de sa proie par la manipulation mentale ou le harcèlement moral.

1er Etape:

L’application de la loi n’est pas toujours respectée par les professionnels impliqués. Les professionnels eux-mêmes peuvent être violents avec les auteurs = légitimisation de la violence.

Pour eux, c’est la faute de leurs femmes car personne ne leur a expliqué que c’est le juge qui condamne et non leur femme.

C’est hommes n’ont pas conscience de la peur qu’il engendre chez leurs victimes.

Cette violence peut être dut à une forme de psychose qui leur fait perdre conscience de la réalité. Ou a une forme d’  « amour » car il ne peut pas vivre sans l’autre, donc il ne veut pas qu’elle parte. C’est à ce moment là qu’il l’empêche de partir, il a peur qu’elle l’abandonne.

L’autre n’est pas seulement un objet de désir mais aussi un objet de besoin, il se sent perdu sans elle.

Il y a beaucoup d’éléments psychopathogènes.

La sanction ne suffit pas, voire elle engendre d’avantage de violences. L’auteur peut alors arrêter uniquement parce qu’il a peur d’aller en prison, alors il peut utiliser des violences psychologiques qui peuvent être plus destructrices que les violences physiques.

Il faut distinguer les hommes violents et les hommes auteurs de violences.

Chez les hommes violents, ce sont des comportements structurels, naturels. Il répond souvent par la violence, elle peut être variée.

Chez les hommes auteurs de violences, celle-ci est contextuelle. C’est la catégorie de personnes le plus reçut. Elles sont considérées comme « moins grave ». L’homme pense contrôler ses gestes mais ne contrôle pas ceux de l’autre.

Ex: Un homme gifle une femme, elle évite cette gifle = traumatisme crânien.

2ème

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