Faut-il d'avantage de flexibilité du travail en France?
TD : Faut-il d'avantage de flexibilité du travail en France?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Emilie Mauron • 23 Janvier 2018 • TD • 1 031 Mots (5 Pages) • 929 Vues
Faut-il d’avantage de flexibilité du travail en France ?
INTRODUCTION :
En France le système économique n’étant pas très fluctuant, causés des charges supprimés du salaire minimum qui deviennent finalement trop coûteuse pour les entreprises, le marché du travail en France pense donc à s’inspirer du système économique des danois c'est-à-dire la flexibilité du travail
La flexibilité est une politique de gestion de la main d'œuvre mise en place dans les entreprises pour adapter la production et l'emploi correspondant aux fluctuations rapides de la demande. Mais il existe plusieurs sortes de flexibilité, la flexibilité quantitative externe ou interne, la flexibilité qualitative externe ou interne-Problème :
Les modèles du marché du travail varient entre les différents pays du monde, mais nous allons parler des plus pertinents car ils touchent une situation économique peu commune, la crise, c'est-à-dire les Etats-Unis, la France te le Danemark.
DEVELOPPEMENT :
I : Le modèle Américain :
Depuis le début des années 70, les Etats-Unis se distinguent des autres pays de l’OCDE par le fait que le taux de chômage est pour l’essentiel stationnaire (il fluctue autour d’une moyenne constante: cette fluctuation est forte aux Etats-Unis).
Les Etats-Unis se trouvent être deux cas opposés, tant dans la configuration de l’emploi que dans l’adaptation cyclique. La configuration de l’emploi est assez stable depuis trente ans, le pays n’ayant pas décidé de réformer le fonctionnement de son marché du travail. L’emploi est peu protégé aux Etats-Unis, quel que soit le statut (marié, célibataire, couple avec ou sans enfants etc.) En matière de comportement cyclique, les EU se caractérisent par une rigidité des salaires, ce qui provoque une plus grande variabilité de la quantité de travail par rapport au cycle, loin donc de la présentation néoclassique des marchés.
L’analyse des chiffres du sous-emploi confirme donc le diagnostic initial sur les meilleures performances américaines. Derrière l’apparence simples (des meilleures performances en terme de chômage en comparaison des autres pays de l’OCDE), il y a une réalité plus complexe. Aux Etats-Unis, il faudra revenir sur l’évolution de la précarité et sur sa généralisation.
Le fait est qu’en apparence, l’évolution des données statutaires expliquent difficilement cette thèse. Le premier constat incontournable est le fort degré de présence du salariat.
Les Etats-Unis sont l’économie de l’OCDE où ce statut est le plus généralisé. La part des travailleurs familiaux est pratiquement inexistante, tandis que près de 92 % de la population est salariée (chiffres de 1996). Celle des travailleurs indépendants s’est stabilisée depuis le début des années soixante-dix.
Au sein de la population des indépendants à dominante masculine, près de 30 % des emplois sont à temps partiel (45 % chez les femmes).
II: Le modèle Français :
Il faut que les patrons n’est plus peur d’embaucher du personnel. En France, des accords de maintien de l’emploi permettent de baisser les salaires (Le marché du travail frappe les populations les plus fragiles, baisse du coût du travail et les conditions des salariés sont tirés vers le bas) et d’augmenter le temps de travail en échange de licenciement, mais ces accords n’ont pas marchés. Pour élargir ce dispositif sans remettre en cause les 35h, d’après la loi MACRON il faut prévoir de nouveaux contrats de travail fait sur mesure afin de simplifier la vie des entreprises. La France a besoin de réformes du marché du travail, un contrat unique à durée indéterminé qui remplacerait le CDD et le CDI (car trop de chômage).
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