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Économie: le commerce extérieur

Analyse sectorielle : Économie: le commerce extérieur. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  26 Janvier 2015  •  Analyse sectorielle  •  481 Mots (2 Pages)  •  685 Vues

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DM d’économie numéro 1

Le commerce extérieur

I. Entre 1945 et 1982, les gouvernements utilisent régulièrement la dévaluation du franc comme un moyen commercial afin de renforcer l’atout prix des produits français à l’export. Cette action permet de concurrencer les pays voisins comme, l’Allemagne, l’Italie voir les pays émergents afin de rivaliser avec eux au niveau du cout de revient des produits à la vente. Dans un premier temps, cette mesure fût bénéfique pour le commerce extérieur Français mais très négative lors du passage à la monnaie unique soit l’Euro dans les années 90. En effet, lors de la conversion du franc à l’euro, la masse monétaire française retrouva une valeur moindre par rapport au pays émergents (dévaluation de la monnaie). Le gouvernement ne pouvant plus utiliser comme arme commerciale la dévaluation de la monnaie, la France n’est plus compétitive sur le marché de l’export. Nous pouvons constater cette affirmation sur la part des exportations françaises manufacturés dans celles de la zone euro de 1995 à 2014 – voir graphique annexe 2.

II. La diminution de la devise soit l’euro représente un élément négatif alors que la diminution du coût du pétrole représente un élément positif. Comme les deux viennent ce compensé cela rend « le changement » nul. Ainsi la perte de la valeur de l’euro n’as aucuns incident sur la quantité du coût de pétrole exporter car celui-ci est en baisse. Donc on exporte autant que avant mais à plus faible coût, ce qui en vue de la baisse du coût du pétrole rend l’opération quasi invisible.

III. La légère réduction du déficit commercial s’explique principalement par la baisse des cours du pétrole qui engendre un tassement du prix des importations. Notre consommation reste identique aux années précédentes mais le coût d’achat est moindre à savoir baisse du PIB.

IV. L’effondrement des échanges internationaux au début de l’année 2009 constitue une conséquence directe de la crise financière et bancaire provoquant un fort ralentissement de la consommation des ménages, de la production et des investissements des entreprises. En effet sur le graphique « Transactions courantes de la France, solde des principales rubriques », nous pouvons constater que la courbe des revenus primaires se situe au dessus des autres soit au alentour des quatre milliards d’euros mais que se n’est pas pour autant que les ménages consommes d’où la courbe des services aux alentours des deux milliards d’euros. On observe aussi que les ménages jouent la précaution en vue de la situation économique car la courbe des transactions courantes se trouve dans l’axe négatif et ainsi que la courbe de l’achat des biens. En outre, en 2009 la crise bancaire et financière laisse place à un comportement de précaution via l’épargne et non à la consommation, d’où le solde de transaction courant en négatif.

Aussi l’incertitude sur la fiabilité des partenaires commerciaux et la fragilité apparente du système financier ont incité les entreprises à se reployer sur le marché intérieur.

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