Etude de Marché: la Belgique
Analyse sectorielle : Etude de Marché: la Belgique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar zeheef • 18 Mars 2015 • Analyse sectorielle • 9 523 Mots (39 Pages) • 728 Vues
Sommaire
* Présentation de l’entreprise p2
* Etude pays, la Belgique p3-6 * Etude sectorielle p7-13
* L’offre p7-10
* La demande p10-13
* Conclusion générale p13
* Annexes p14-40 * Annexes Etude Pays :
-N°1, La crise politique en Belgique
-N°2, Données économiques sur la Belgique
-N°3, Les langues parlées en Belgique -N°4, Le retard technologique * Annexes Etude Sectorielle :
-N°5, Arrêté royal relatif à la prévention des substances dangereuses dans les équipements électriques et électroniques
-N°6, Espérance de vie des LEDs
-N°7, Importations
-N°8, Les avantages réels des LEDs
-N°9, Les importations et exportations de la Belgique en LEDs
-N°10, Distributeur Delhaize
-N°11A, Réalisation SDMH
-N°11B, Article sur la diversité des LEDs
-N°12, Prospects potentiels
-N°13, Business Etiquette and Protocol in Belgium
* Sitographie p41-42
* Cahier des charges p43
* Méthodologie p44
Belgique
La Belgique est un pays important en ce qui concerne l’Europe et l’Union Européenne, c’est pourquoi nous allons étudier les caractéristiques du pays en différents points afin de savoir si ce dernier pourrait être un marché porteur pour une entreprise française. LaBelgique, un pays important qui a une forte présence politique en Europe.
La Belgique est une monarchie constitutionnelle et parlementaire dont le roi est Albert II depuis 1993. Son rôle est essentiellement symbolique et représentatif. Le pouvoir exécutif est exercé par le Conseil des Ministres. Le premier ministre est président du conseil.
Bruxelles s'impose comme une des principales villes d'affaires et de décisions d'Europe. Sa position géographique au centre des régions les plus dynamiques d'Europe (Benelux et Banane bleue), son statut de grand centre urbain et ses fonctions de capitale multiple de la Belgique, de l'Europe et de l' O.T.A.N. (organisation du traité de l'Atlantique Nord), font de la ville un centre politique d'importance nationale et internationale, ce qui en fait un réservoir d'emplois très qualifiés dominés par les activités tertiaires de pointes et, notamment, un dense réseau bancaire multinational.
On note toutefois l’apparition d’importante tension politique entre les francophones et néerlandophones. Ainsi, à l’heure actuelle, la Belgique n’a plus de gouvernement. Voir annexe n°1.
Une économie fortement touchée par la crise.
Les principaux secteurs d’activités sont pour une part infime l’agriculture, puis pour une plus grande part, le secteur industriel qui représente pratiquement un quart du PIB du pays. Actuellement, l'économie de la Belgique est plus orientée vers les services. Le secteur tertiaire représente en effet près des trois quarts de la richesse nationale. Bruxelles, qui accueille lesgrandes institutions européennes, de nombreuses représentations diplomatiques et différents groupes d'intérêt, a fondé son économie essentiellement sur les services.
La croissance annuelle du PIB est estimée à 1,7% en 2012 et le stock d’IDE pour 2009 était de 830 101 millions USD. Voir annexe n°2.
Durant le second semestre 2008, après quatre années de croissance vigoureuse, l’économie a été touchée de plein fouet par la crise internationale. La situation de l'emploi devrait se dégrader et l'utilisation de la main-d’œuvre demeurer relativement basse. Après une année 2009 très dure au niveau économique, la Belgique n'aspire pas à un renouveau avant 2012. L'investissement direct étranger devrait ralentir, à cause du resserrement des crédits, de la perte de confiance des consommateurs et des entreprises. Quant à l'inflation elle devrait suivre une tendance baissière. En ce qui concerne le commerce extérieur, le déficit commercial de la Belgique se détériore progressivement. Le commerce international belge se fait très majoritairement au sein de l'Union européenne (près de 80% des importations et des exportations). Plus de la moitié du PNB de la Belgique dérive des ventes à l'étranger, ce qui est l'un des pourcentages les plus élevés parmi les nations industrialisées.
L’économie belge est très ouverte et est l’une des premières destinations mondiales pour les investissements étrangers.
Les trois premiers fournisseurs de la Belgique en 2002 ont été l’Allemagne, la France et les Pays-
Bas. La France se situe donc comme un bon paysimportateur aux vues de la Belgique, comme nous pouvons le voir avec le tableau suivant :
Rang | Pays | Millions | Total (%) |
1 | Allemagne | 61.816,2 | 19,7 |
2 | France | 52.476,8 | 16,7 |
3 | Pays-Bas | 37.552,9 | 12 |
Les échanges commerciaux franco-belges sont denses et équilibrés. La France est un partenaire privilégié mais concurrencé.
Au niveau mondial, la Belgique occupe la vingtième place sur
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