Economie industrielle
Cours : Economie industrielle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Kader boudaoud Kader • 4 Mai 2018 • Cours • 16 418 Mots (66 Pages) • 673 Vues
Economie Industriel
Examen = Question de cours + 1 ou 2 exercice d’application durée 2h.
3 partie dans ce cours :
- Chapitre introductif centrée sur deux axe le premier sera centrée sur le modèle SCP, et le deuxième point sera basé sur les différentes structure de marché.
- Partie 1 : Marché et interaction stratégique (deux sous partie une sur l’entreprise en concurrence imparfaite, l’autre portera sur les oligopole coopératifs et non coopératifs)
-Partie 2 : Portera sur les comportements stratégiques et les pratiques industriel composé en deux sous partie, l’une qui concernera l’engagement stratégique et les pratique de discrimination, et une deuxième sous partie qui parlera des stratégies structurelles et des avantages concurrentiels.
-Partie 3 : L’incertitude et les décisions en économie industriels, avec la aussi deux sous partie, première sous partie intitulé la décision stratégique, deuxième sous partie la symétrie d’information et la décision.
CHAPITRE INTRODUCTIF :
L’économie industriel est un champ spécifique de l’économie général qui est principalement centré sur la compréhension de la structure d’un marché, c’est-à-dire qu’il s’agit ici de comprendre comment s’articule différentes variables de prix, de quantités …. Qui permette à une entreprise de positionnée un bien ou un service sur le marché. En économie industriel on traite principalement des stratégies, des comportements d’entreprise, en termes de prix de quantités, de qualité, de discrimination, d’innovation, de financement etc. Dans cette esprit-là, l’économie industriel ce situe dans un cadre dit d’équilibre général des marchés, tout en insistant sur ce qu’on appelle les équilibres partiels. L’économie industriel est fondée sur 3 principe :
- Le 1er principe : Le principe de positionnement sur un marché (comment elle se positionne)
- Le 2nd principe : Le principe de spécificité des marchés (Tout les marchés ne sont pas identique)
- Le 3 principe : Le principe d’anticipation
L’économie industriel s’attache particulièrement à l’analyse de l’entreprise. Historiquement il y’a 2 tradition de l’économie industriel qui s’oppose un peut, la première tradition est ce qu’on appelle la tradition d’Harvard, qui est essentiellement entérique et qui a donné lieu au modèle de référence S C P, qui veut dire en soit que la structure d’un marché définit les procédés et détermine la performance, l’efficacité, l’efficience et le profit. Cette école de pensé est principalement fondé sur de l’observation statistique et l’expression d’une relation de profit qui est fonction du taux de concentration et des barrières à l’entrées [= f (Cr ; Be)]. Dans ce modèle de Harvard, il y’a un vrai nécessité de mesure qui pose souvent d’ailleurs des problèmes de corrélation et des problèmes de causalité.
La deuxième école de pensé est celle qu’on appelle l’école de Chicago, qui est une théorie beaucoup plus récente que celle d’Harvard, elle s’appuie plutôt sur une vision théorique des liens de causalité propre à l’économie industriel. Elle s’appuie sur l’idée que les marchés ne sont pas la simple résultante du jeu de l’offre et de la demande mais bien l’objet de corrélation multiple, de comportement d’agent pour un ensemble de bien substituable ou complémentaire et selon cette école de pensée le marché est vue selon plusieurs critère, d’abord ils le considère comme une chaîne de biens substituable, ensuite le prix d’un biens est ici un indicateur de la compétitions sur le marché, même s’il existe des formes de tarification non compétitives. Enfin pour cette école de pensé les marchés sont très souvent incomplet et imparfait du fait d’asymétrie d’information, de barrières, de comportement atypique. Qui suscite alors des fonctions de profitabilité aléatoire et souvent très particulière.
I/- Le modèle Structure Comportement Performance (SCP)
Les base du modèle SCP ont était posé par un auteur qui s’appelle Mason dans les 60’s, il est parti d’un certain nombre de monographie industriel, dans l’objectif de construire une sorte de classification des activités économiques et de règle de construction de marché, il est le chef de file d’une approche qu’on appelle positive de l’économie industriel. Ce modèle de Mason à était repris par Bale qui va poursuivre l’analyse de Mason et va poser ce modèle SCP, qu’on appelle une approche plutôt structuraliste, qui consiste donc à faire un lien entre les structure de marché et les comportements d’entreprise, ce lien selon Bane est un liens de nature structurel, c’est-à-dire qu’il est fondé sur des corrélations d’organisation qui induise les niveau de profitabilité d’entreprise. Dans les 80’s Scherrer est arrivé et à donner une forme plus moderne au modèle SCP, qui à définis ce qu’on appelle aujourd’hui les schémas de base du modèle SCP.
Schéma SCP :
-Degrés de concentration vendeurs
-degrés de concentration acheteur
-Type de produit
-Barrières à l’entrée
Comportements
-politique de prix
-Mode de coordination
- Politique de production
Performance
-Volume des profits
-Efficience des productions
-Efficacité
-Capacité d’innovation
Le Schéma SCP détermine ce qu’on appelle une logique structuraliste de la performance qui est complété par 2 paramètre important, le 1er qui est liée à ce qu’on appelle les conditions de base , et le second paramètre et liées au politiques publique qui influe sur la nature de ce modèle.
Dans les conditions de base il y’a celle relative à la demande (ex : élasticité prix de la demande, taux de substitution des produit ) et celle relative à l’offre qui structure le marché ( ex : la technologie , le circuit d’approvisionnement, le capital humain )
Du coté des politiques publics elle influe sur les marchés par exemple par la fiscalité, les barrières, par l’incitation, par les politiques de régulation macro-économique.
Le modèle SCP nous donne une vision très entérique sur les mécanismes de positionnement des entreprises sur les marchés et sur l’interaction de ces marchés avec un certain nombre de variable endogènes ou exogènes.
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