Une Frontière à Franchir
Compte Rendu : Une Frontière à Franchir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ririro • 19 Août 2013 • 7 176 Mots (29 Pages) • 1 757 Vues
L’analyse de cas « Des frontières à franchir »
Étape 1 :
Le cas « Des frontières à franchir » sera analysé au cours des prochaines pages avec l'approche problème. Il va sans dire qu’Angelica Garza vit un probleme au sein d’USMed. Il semble d’abord se créer une bataille évidente entre deux cultures. Dans le cas étudiée ci-dessous : américaine et mexicaine. Ces cultures engendrent une communication quasi inexistante entre Mme Garza et ses collègues mexicains. Il est évident de constater, suite à plusieurs situations à laquelle Angelica a faites face, qu'il y a un atmosphere tendu durant ses quarts de travail à Tijuana. L’analyse de cas qui sera fait au cours de ce travail suggère des solutions pour supprimer cette énorme tension au travail en amenant des solutions qui conviennent aux deux parties.
Le présent paragraphe servira à résumer les faits du cas étudié afin de pouvoir retenir les points essentiels. Angelica Garza est une Américaine d'origine mexicaine ayant travaillé durant une décennie dans le département des ressources humaines d’USMed. Cette multinationale fabrique des produits médicaux dans l'une de ces installations. Mme Garza travaille dans une usine mexicaine à capital étranger installée dans les zones limitrophes des États-Unis. L’emplacement de cette maquiladora sert à tirer profit des lois favorables et d'une main-d’œuvre à bon marché. USMed est située dans la grande ville de Tijuana au Mexique. Sur les limites de la frontière, dans une petite unité administrative à Chula Vista aux États-Unis, travaille Angelica Garza aux ressources humaines. Elle ne semble pas avoir de relations de qualité avec les cadres d’USMed aux États-Unis et au Mexique. Tout d’abord, il ne semble pas y avoir de personnel bilingue et le fait qu’elle ne puisse pas interagir comme elle le souhaiterait avec ses collègues mexicains donne place à une impossibilité de pratiquer son métier comme il faut. Les collègues anglo-saxons ne veulent pas de liens directs avec leur homologues mexicains, ce qui vient empirer les tensions déjà présents entre les parties américaines et mexicaines. Durant ses années d’emploi au sein de la compagnie, Angelica Garza a du subir et faire face à plusieurs situations où la tension était présente de manière constante. Cela ne faisait que créer un fossé encore plus creux entre elle et ses collègues de travail. Par exemple, la présence de deux de ses collègues mexicaines qui lui en voulait personnellement de leur avoir enlevé un peu de leur travail en comptabilité amenait un stress additionnel à Mme Garza. Un affrontement s’est par la suite installé entre la culture mexicaine et américaine depuis l'expansion des maquiladoras. Le fait qu’Angelica parle l’espagnol vu son origine n’allait pas venir régler tout malentendu dans l’entreprise, contrairement à ce qu’aurait cru les employeurs d’USMed au moment de l’envoyer travailler à cet endroit. Le fait qu’il y ait de l’incompréhenison entre les gestionnaires mexicains et américains lors des médiations engendre un climat colérique et empêche Angelica Garza de pouvoir les aider. Dans la compagnie, selon les américains elle est perçue comme une héroÏne qui viendra alimenter les liens inexistants entre eux et les Mexicains. Quant au côté mexicain, on la voit comme une ennemie. Par exemple, des préjugés font surface à son égard dès qu’elle fait affaire avec ses collègues masculins. Elle est prise dans son sang mêlé. En d’autres mots, ayant apprit les choses d’une certaine manière aux États-Unis, elle se rend compte que les mȇme choses se font autrement au Mexique, se heurtant à de l’incompréhension et à de l’hostilité dans son milieu de travail. Le fait qu’il n’y ait pas de politique générale en matière de gestion des ressources humaine ou de la diversité bloque tout amélioration pour l’USMed. Malheureusement, Angelica, malgré son bagage professionnelle et personnelle, n’a pas amené de lien renforçant les liens dans la compagnie. Les préjugés ont demeuré et la communication n’a pas été établie. Au cours des prochaines pages, le contexte dans lequel Mme Garza a travaillé sera analysé et plusieurs solutions seront envisagées pour ne choisir qu’une seule. L’approche utilisée sera l’approche problème et sera étalée sur les six différentes étapes qu’elle comporte.
Étape 2 :
Une identification du problème que vit Mme. Garza sera soumis dans ce paragraphe. Une difficulté se crée lors de l’application des tȃches d’Angelica au sein de la maquiladora. Cela s’explique par le fait que la culture mexicaine et la culture américaine se heurtent. Comme l’auteur du texte « Des frontières à franchir » le mentionne dans son texte, les collègues américains n’aidaient aucunement la situation en se désinteressant de ce qui se passait à Tijuana et n’avaient aucune intention de s’en associer. En d’autres mots, il n’y avait aucune correspondance ou échange entre le siège situé aux États-Unis et celui du Mexique empêchant une communion. Ceci engendre alors une situation voilée où Angelica ne sait plus s’il faut avoir recours à ses connaissances sur les Mexicains ou sur son vécu avec les Américains pour gérer la situation. Son intégration ne sait pas fait de tout repos malgré son sang mêlé. Perdre leur emploi, devient la principale préocupation des mexicains et L’USMed ne semble pas cacher l’instabilité de leur emploi en cas d’erreur, ce qui vient alimenter les tensions déjà présentes. On donnait entre autres à Angelica la responsabilité d’implanter les styles d’encadrements et la structuration à l’allure américaine. Quant aux employeurs de la multinationale, ils ne jouent pas leur rôles d’assistance essentiels aux nouvelles réalités du marché et s’en remmette à Mme. Garza pour gérer les crises et inquiètudes à Tijuana. Le fait qu’elle maîtrise l’espagnol ne semble pas l’avantager quand il s’agit de malentendus avec ses consoeurs de la comptabilité ou meme de ses confrères. Quant a ses gestionnaires, ceux-ci ne devraient pas négliger la nature mexicaine en assistant Angelica plutôt que d’être critiqué pour ses démarches apprises aux États-Unis et de rejeter ses points de vue et concepts lorsqu’une discussion s’installe entre ses administrateurs américains et mexicains. Quelles autres ressources devrait-on mettre à la disposition d’Angelica pour lui permettre de jouer son rôle au Mexique tout en évitant le scepticisme des mexicains envers elle et son environnement américains?
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