Management: planification générale et stratégique et aléas du niveau traditionnel de formulation
Analyse sectorielle : Management: planification générale et stratégique et aléas du niveau traditionnel de formulation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Elena Soave • 16 Octobre 2017 • Analyse sectorielle • 716 Mots (3 Pages) • 726 Vues
Je vais vous parler de la planification générale et stratégique ainsi que des aléas du niveau traditionnel de formulation.
La planification est un processus de réflexion collective et de négociation entre dirigeant et managers. Elle permet une coordination collective en formalisant les actions, les échéances et les résultats attendus. Elle constitue un instrument de prise de décision, mais aussi de mise en œuvre de la stratégie (plan marketing, plan financier, plan de production…).
Bien sur sa définition peut varier d’une source à l’autre, d’un entrepreneur à l’autre ou encore d’une époque à l’autre.
Plusieurs verbes lui son associés comme par exemple, Prévoir, Exercer ,Préparer, Etablir ou encore Tracer.
Il est également possible de la catégoriser en 3 niveaux : stratégique, structurel et opérationnel. Je vais vous parler essentiellement du niveau stratégique, je laisserai Emile vous en dire plus sur les deux autres.
La planification stratégique permet de se projeter dans l’avenir de l’entreprise. Elle montre ou on veut amener l’entreprise afin que tous les employés travaillent à partir de la meme formation.
Elle permet de définir précisément l’objectif de l’entreprise selon Nadeau : « cest quelque chose qui doit coller à la mission de l’entreprise ».
Toutefois, comme je l’ai dit, sa définition a longuement fait debat depuis le milieu du 20e siècle. En 1947 ’ neuman et Morgenstern voit cettte planification comme une suite d’actions entreprises par une compagnie et décidées en fonction de circonstances particulières. Tandis qu’Ansolf en 1971, a une autre vision : pour lui c’est une règle de décision élaborée à partir de la combinaison produits-marchés de la ligne de croissance et de la competence distinctive. Et, quelques années plus tard, Mintsberg lui voit la planification stratégique comme une force de médiation entre l’entreprisse et son milieu.
Ce dernier distinguait 3 types de stratégie : le mode entrepreneurial basé sur le risque, le mode adaptatif, et le mode planifié qui prévoit le futur.
Porter a aussi fortement contribué à définir cette planification en montrant que la stratégie doit aussi englober létude des clients, des fournisseurs et des produits substitus.
D’autres économistes ont également proposés par la suites, d’autres analyse comme Allaire, Hafsi ou encore Firsirotu.
C’est grace a eux que le vocabulaire de la planification stratégique a peu à peu à pu etre etablit et s’implanter dans celui des managers.
On lui associe des mots comme « mission », « haute direction », « environnement », « ressources », « contrainte », « politique », »procédure », »objectif », »critère », »budget ». On peut remarquer un champ lexical se rapprochant de celui d’un militaire. Cela montre bien que la plannification stratégique doit etre quelquechose de particulierment clair et précis.
On distingue dailleurs 3 poles traditionnels du plan stratégique : Haute direction, Ressources et Environnement. Les objectifs fixés par l’entreprise doivent toujoours se plés, s’adapter à ces trois poles. Ces trois poles ne sont evidemment pas indépendants, ils sont complémentaires.
...