Management
Étude de cas : Management. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar olga mensicova • 4 Décembre 2018 • Étude de cas • 2 088 Mots (9 Pages) • 516 Vues
Pour que cette entreprise commence à mieux se porter, il faudrait y apporter de nombreux changement et restructurations majeurs. Tout d’abord, le processus de gestion doit complètement changer et prendre une nouvelle tournure. Pour y parvenir, le directeur actuel devrait plus faire confiance à Steve, et plus se fier à ses conseils. La gestion de M.Waltz a bien sûr ses points positifs, car il mise vraiment beaucoup sur le travail de ses anciens employés fidèles et protégés, mais il ne laisse malheureusement pas beaucoup de place aux nouvelles idées modernes. Sa façon se classifierait dans la catégorie de gestion ‘’laissez-faire’’. Pour que la compagnie reprenne sur elle, l’idéal serait de choisir un nouveau leader qui saura bien gérer et structurer l’organisation. Le leader intégrateur serait celui qui est le mieux qualifié pour effectuer des changements efficaces. Le leader intégrateur est celui qui est un mélange parfait selon la grille de Blake et mouton, car c’est celui qui s’ajuste aux intérêts relationnels, mais également à l’intérêt des taches. Les employés de cette entreprise ont toujours eu le droit à beaucoup de liberté et laisser-aller, mais dorénavant ca prendrait une autorité fonctionnelle avec centralisation du pouvoir, donc M.Waltz devrait déléguer son pouvoir en passant l’autorité et la prise de certaines décisions à son subordonné Steve, tout en restant imputable.
Étant donné que l’entreprise commence de plus en plus à s’aventurer sans le commerce international, ça demanderait une structure divisionnelle, c’est-à-dire un découpage de l’entreprise selon le marché, le produit et les activités pour qu’en suite les secteurs soient divisés selon d’autres méthodes afin qu’il y aille une décentralisation de pouvoir dans les divisions
[pic 1]
[pic 2][pic 3][pic 4][pic 5]
[pic 6][pic 7][pic 8][pic 9]
[pic 10][pic 11][pic 12][pic 13][pic 14]
[pic 15][pic 16][pic 17][pic 18]
[pic 19][pic 20][pic 21][pic 22][pic 23][pic 24][pic 25][pic 26]
[pic 27][pic 28][pic 29]
Les étapes pour construire un bon organigramme seraient selon moi en premier lieu de déterminer les activités et de prévoir le temps nécessaire pour les accomplir, ensuite de regrouper les activités par catégories. Par la suite, il faudra créer des départements, des postes et bien déterminer la description les taches de chacun de ces postes. Il faudra ensuite mettre en marche le nouvel organigramme préliminaire pour vérifier sa fonctionnalité et l’efficacité, pour ensuite l’ajuster à l’entreprise et le perfectionner. De telle manière il sera plus simple de s’occuper de la gestion de toutes les divisions différentes, et la répartition des taches des responsables. L’organigramme si dessus est juste un exemple de ce qui pourrait démêler plusieurs situations problématiques. Tout en haut, se retrouvera Sam Waltz, qui autre la lourde tache de prendre les décisions les plus sérieuses qui auront des conséquences sur les prochaines futures années de la compagnie. Il n’y réfléchira par contres pas seul, mais à l’aide de son bras droit, le Vice-Président. Le vice-président qui aura comme seul supérieur le directeur général et comme droit bras droit le superviseur des ressources humaines, il qui aura les qualifications nécessaires pour diriger ceux qui se trouvent en dessous de lui, c’est-à-dire l’équipe de finances, de la production, du design, et des ventes. Il leurs donnera des listes spécifiques de taches à accomplir, et des objectifs à atteindre. Finalement, pour démêler la situation de gestion des logistiques entre les continents, nous avons séparés les pays en différentes sous divisions de l’entreprise, pour qu’il soit moins compliquer de gérer toutes les procédures internationales. Afin de vérifier l’efficacité de cette nouvelle structure, il faudra premièrement choisir des critères de rendement qualitatif ou quantitatifs, ensuite il faudra fixer des normes de rendement en se fiant aux années précédentes ou aux chiffres de la concurrence. Il faudra ensuite choisir une personne qualifiée, pour faire un suivi hebdomadaire en collectant les résultats, pour voir la courbe du changement, s’il y en a un, au bout d’un exercice terminé. Il faudra enfin comparer ces résultats pour évaluer les écarts entre les objectifs et ce qu’il en est réellement, pour ensuite entamer des normes correctives au besoin.
Pour remarquer une différence, il est important de ne jamais oublier de faire un suivi régulier, pour toujours savoir quelles sont les faiblesses du processus, afin de les corriger. Par exemple, évoluer la variation des ventes, le nombre de cliques sur le site internet ou encore le nombre de visites en succursale, et toujours garder un contrôle préventif afin de limiter les dégâts et les erreurs de démarche.
Une fois que l’entreprise sera restructurée, il sera beaucoup plus de travailler en équipe et d’accomplir plus de taches, et de manière plus efficace. Mais la restructuration n’est néanmoins toujours pas achevée, car i y a encore du chemin à faire pour exceller les résultats. Il faudra repasser au complet tout le processus des logistiques commerciales, car c’est un point qui pose actuellement problème. Il est donc important de toujours tout planifier, et organiser étapes par étapes, afin de pouvoir suivre le plan, mesurant les résultats. Pour élaborer un bon plan, il faut tout d’abord déterminer quelle est la mission de l’entreprise, c’est-à-dire son but ultime d’exister. Dans le cas présent, c’est de recycler les anciennes fourrures pour en sortir des produits actualisés et à la mode, tout en gardant la fierté d’être une entreprise locale Montréalaise. Nous avons ici deux points qui tiennent beaucoup à notre peuple, c’est-à-dire la fierté québécoise et également l’écologie et le recyclage. En bien démontrant aux acheteurs que tel est le but ultime, n’importe quel acheteur montréalais, ou même canadien, sera intéressé par le produit, car cela touchera personnellement les valeurs et les coutumes de chacun, de vouloir enrichir le capital de son propre pays, sans aller chercher auprès des concurrents internationaux. Il faut donc pousser sur la promotion de ces deux faits, tout en fixant des budgets plafond à ne pas franchir.
Pour bien planifier la logistique, il faut bien évoluer les environnements internes, tels que les consommateurs, les concurrents et les produits substituts, les environnements intermédiaires tels que les fournisseurs, et l’environnement externe c’est-à-dire le politico juridique, économique, social et démographique, technologique, éthique et écologique. Il faut toujours avoir une vision globale et intégré, c’est-à-dire de notifier les petites choses qui pourraient faire du grand changement à long terme. Une bonne planification entame des avantages tels que la connaissance de sa position sur le marché versus celle des concurrents, la connaissance des ressource financières, le potentiel du marché, les différentes lois ou règlements pouvant affecter les activités, ou plusieurs autre facteurs important dans le même genre. Il faudra faire une analyse sur le marché ainsi que l’offre de la concurrence afin de repérer un créneau intéressant à exploiter, et d’autre part, la compagnie doit déterminer si elle possède les ressources nécessaires pour exploiter plus efficacement que ses concurrents le segment du marché. Si ces deux conditions sont remplies, il y aura possibilité de marché rentable. Afin de se laisser le plus de chances possibles, il faudrait penser à cibler un plus grand segment du marché, c’est-à-dire d’essayer de toucher au plus de styles d’acheteurs possibles. Par exemple, le style écologique, ceux qui aiment la mode, ceux qui luttent contre l’utilisation de la fourrure animale, les dames qui utilisent des sacs à mains, les plus jeunes qui usent de sac à dos, les hommes d’affaires qui désirent avoir un joli sac pour l’ordinateur portable. Il est même possible de cibler des acheteurs d’un point de vue ‘’politique’’ qui vont opter pour DECXX mode, non par intérêt envers le produit, mais pour la raison que l’entreprise est locale, alors au besoin d’un produit offert par l’entreprise, ils opteront de L’acheter à eux et non à un concourant chinois ou autre. Nous venons juste ici, cibler tous les sexes, et les catégories d’âges, en plus de pouvoir les prendre par les sentiments et les attirer vers DECXX mode car la vision de l’entreprise concorde avec leurs valeurs personnelles. Ce que nous venons de résumer plus haut, se nomme enfaite la segmentation du marché, ce qui consiste à regrouper par catégories les caractéristiques, les attentes, et les comportements d’achat des consommateurs. La meilleure façon d’attirer le plus de segments possibles, est de tenir compte des quatre composantes du marketing mix qui sont d’offrir un produit et service diversifié (un grand assortiment de produits), offrir un bon circuit de distribution, c’est-à-dire le plus accessible possible par sa localisation, la facilité d’accès, des places de stationnement, les heures d’ouvertures etc., qui faciliteraient la vie des acheteurs lorsqu’ils veulent passer dans un point de service. Il faut également bien organiser l’aspect promotion, c’est-à-dire de rentre intéressant les façades des magasins, s’appliquer sur les vitrines et l’enseigne afin qu’ils soient intéressants, l’aménagement des boutiques, une bonne publicité et sans oublier qu’il est très important de faire des promotions de fin de saison. Le quatrième et dernier aspect du marketing mix, est le prix. Il faut être certain que le rapport qualité prix valle la peine de choisir DECXX mode et non la concurrence, mais en plus, afin de rendre le produit plus accessible, de mettre un système de conditions de paiements ou disponibilité de crédit, par exemple laisser payer le manteau à 900$ en deux ou 3 payements, tout en donnant un escompte de 10% à celui qui paye toute la somme avant le délai. Ce sont toutes des petites composantes qui peuvent paraitre insignifiantes, mais à coup sûr, les clients apprécieraient ces accommodements envers eux.
...