Les théories économiques

Chapitre 1-Les grandes théories économiques

L’étude des grandes théories nous montre que l’économie n’est pas une science dure, certaines contredises se contredisent.

Cela permet de replacer ces théorie des .  On s’aperçoit que les

La pensée économique devient une science sociale à partir du XIX. Elle étudiera les mécanismes économiques. A partir du XXème les économistes se détachent des mécanismes économiques et vas s’intéresser à d’autre sujet (criminalité, divorce…) avec un œil économique pour expliquer le mécanisme économique.  

I -Les théories préclassiques

1. Les mercantilistes

La première pensée économique arrive au cœur d’une pensée philosophique chez Aristote notamment.

Il faut attendre le XVIème siècle pour avoir une vraie pensée économique avec les mercantilistes. Les plus connu sont William Petty, John Law et en France Jean Bodin et Colbert.

La pensée fondamentale des mercantilistes est la question de valeur et de la richesse.

Qu’elle est la principale source de richesse et comment l’augmenter ? et qu’elle est la valeur d’un bien ?

Pour la richesse est créée par le secteur manufacturé et par les marchands. Par la VA du secteur manufacturé et des bénéfices engendrés par les marchés.

Pour eux la valeur d’un bien est = à la valeur or

Comment augmenter la richesse ?

Accroitre le secteur manufacturé et marchand. Ce qui vas permettre d’accroitre le stock d’or. Si le stock d’or est fixe il faut que la balance commerciale soit excédentaire car exportant plus que vous importez le stock d’or vas augmenter.

Déjà pour les mercantilistes donnent un rôle très important à l’état pour augmenter les richesses, en effet dès le XVIème l’état met en place des taxes douanières.

L’état baisse impôts sur les manufactures pour favoriser la production.

Les premiers monopoles publics.

Politique protectionniste subvention des exportations et taxations des importations mis en place par les mercantilismes.

En France Colbert met en place cette idée on parle de Colbertisme.

Il met en place des monopoles d’état

Monopole des glaces : miroirs

Monopole des gobelins : tapisseries

Le but est d’avoir une balance commerciale excédentaire.

A l’époque les Pays-Bas et le Royaume-Unis dominent le domaine marchand. En France l’état va créer des compagnies maritimes pour concurrencer les Hollandais.

B-Les physiocrates

François Quesnay- Tableau économique -1758

Nés vers la moitié du XVIII siècle

Beaucoup de bases sont apportés par les physiocrates puis reprise par la suite.

Même question que les mercantilistes.

Mais pour eux toutes création de richesse supplémentaire vient du travail de la terre. Quand un grain est planté un épi est créé.

Cette idée est possible dans une civilisation rurale et une économie agricole.

Pour les physiocrates toutes les autres activités sont stériles. Les autres activités sont seulement de la transformation des produits agricoles.

Pour eux la seule classe productive est la classe agricole les autres sont stériles.

Pour les physiocrates la richesse se calcule par l’ensemble des biens que crée une économie.

L’objectif n’est plus d’augmenter le stock d’or mais de répondre aux besoins de la population et d’accroitre les rendements de la terre.

François Quesnay représente pour la première une vision sous la forme d’un circuit entre l’offre et la demande. Où l’offre permet la création de richesse et lance le circuit. On est dans une logique d’offre.

[pic 1]

Pour lancer ce circuit il faut un capital de départ. Donc pour augmenter la richesse il faut augmenter le capital de départ. L’économie vas croitre lorsqu’il y a accumulation de capital.

Pour cela il faut investir sur fond propre et pour investir il faut des bénéfices des capitalistes.

Lois de rendements décroissants de Turgot

Plus on va mettre de terres en exploitations plus les rendements vont être faible.

Pour augmenter les rendements on va acheter plus de terres. Mais cette nouvelle terre sera de moins bonne qualité.

Toute augmentations d’un facteur de production vas entrainer une augmentation moindre de votre productivité à moins que l’augmentation de tous les facteurs soient égaux.  

Le circuit est parfait et naturel

Tout interventions extérieures est nuisible et va cassée le circuit.

L’état ne doit pas rentrer dans le circuit.

Les Physiocrates sont complétement opposés au protectionnisme.

Vincent de Gournay a dit : « laisser faire les hommes, laisser passer les marchandises »

II- L’école classique et néoclassique

1. L’école classique

1-La pensée fondatrice de Smith

L’école classique née à la fin du XVIIIème siècle et pose la base de toutes les théories économiques jusqu’à aujourd’hui.

Le père fondateur de cette école est l’écossais Adam Smith. Il écrit ; Recherche sur la cause et la nature de la richesse des nations – 1776

Il distingue valeur d’utilité et valeur d’échange (contre quoi je peux échanger un bien).

Il conserve seulement la valeur d’échange en effet certaines choses très utiles non très peu voir aucune valeur d’échange (ex : l’air et l’eau)

La valeur de tout bien sera donné par la quantité de travail nécessaire pour produire ce bien (métaphore du daim et du castor s’il faut mettre deux fois plus de temps pour tuer un daim qu’un castor le daim coutent deux fois plus cher).

Riccardo précise que la valeur d’une heure de travaille d’un orfèvre n’est pas égale à une heure d’un boulanger. Il faut donc créer une échelle pondérée.

A cela il faut ajouter la valeur de l’ensembles de biens de consommation en plus.

Pour Smith l’or et l’argent ont eux aussi une valeur travail.

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