Les échanges commerciaux et culturels de la Chine au Brésil
Étude de cas : Les échanges commerciaux et culturels de la Chine au Brésil. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar CherryDramacher • 27 Novembre 2015 • Étude de cas • 5 652 Mots (23 Pages) • 1 009 Vues
Casse-tête chinois dans les échanges commerciaux et culturels de la Chine au Brésil
Introduction
BRICS, depuis son invention en 2001, cette abréviation économique est connu au monde. La première fois que le concept du BRICS, a été crée ce fut par l'économiste Amérique Jim O'Well. Le Brésil et la Chine, deux membres des BRICS (le Brésil, la Russe, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud), qui représentent les deux pays les plus grands puissants et influent économiquement parlant depuis dix ans. Ils replacent les 'groupe des sept' (États-Unis, Japon, Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie, Canada). Les pays de BRICS, envisagent de se regrouper pour former une alliance économique et à la fois politique pour influencer ses pouvoirs face au monde. Le Brésil et la Chine se développent rapidement dans l'échange commercial ces dix dernières années. En 2009, les BRICS se groupent pour la première réunion en Russie et en juillet 2014, le sixième conférence avoir lieu à Brasília et à Fortaleza au brésil. Le brésil et la chine sont des amis au sein de l'alliance des BRICS, mais aussi entre eux, il existe une compétition économique.
En 2014, le PIB au brésil est 3 012,9 milliard de dollar, le septième pays au monde économiquement parlant , par rapport à la chine, 16 149,1 en premier de ce même classement. Selon l'économiste, Christopher Dembik, à la Banque de Saxo, ' La Chine est un ami encombrant du brésil'. De 2003 jusqu’à 2009, les échanges commerciaux sont multipliés par six entre eux. La chine s'avance le première partenaire derrière les États-Unis et l'Argentine.
Cependant, il existe les conflits commerciaux entre les deux géants, notamment à cause de la similarité de la nature de l’industrie, incitant à la compétition et la friction commerciale ou les différends commerciaux. En plus, les échanges commerciaux se grimpent assez rapidement; cependant, l'échange culturelle est bien derrière et elle est en attente de se renforcer: il existe un manque de la connaissance culturelle et la barrière des langues est un obstacle, ce qui provoque des enjeux de taille et entraîne un réel casse-tête chinois pour les entreprises chinoises et Brésiliennes.
Cette étude consiste à analyser les enjeux commerciaux entre les divers partenaires, dans la perspective macro-économique et culturelle. Aussi le thème étant assez vaste cette analyse se focalisera sur le commerce et l'investissement de la Chine au Brésil.
Ainsi, ce dossier vise à chercher les réponses pour toutes les interrogations vu précédemment : Premièrement, nous allons analyserons les domaines d'investissements du Brésil en terme de puissance et de fréquence. Tout d'abord, quelles sont les caractéristiques d'importation-exportation entre la Chine et le Brésil et quels produits impliquent-ils ? Après la présentation de l’etat des lieux du commerce et des investissement, nous allons introduire les flux commerciaux. Nous verrons également les origines des déficits commerciaux. Par la suite nous aborderons nous la politique économique via les taxes d'importation et le protectionnisme de l'anti-dumping. Dans la troisième partie, nous allons essayer d'étudier en quoi les différences culturelles des deux puissances pourraient nuire au commerce bilatéral. Pour terminer, nous allons explorer les prospectives et les éventuelles solutions aux problèmes poses.
PARTIE I: Échange Économique et commerciale
Les relations diplomatiques entre la Chine et le Brésil ont débarré en 1974, ce sera en 1984, 10 ans après, un consulat chinois ouvrira à Sao Paulo et un consulat brésilien. Le premier président Brésilien qui a rendu une visite en Chine fut Jose Sarney, après la fin de la dictature militaire, en 1988. Cependant, le premier événement économique significatif date de 2004,lors d'une visite officielle par le président Luiz Inacio de Silva, accompagne de 450 entreprises Brésiliennes. Ceci ouvrirait marqua une nouvelle page pour l'échange commercial.
Il faudra mentionner l'année 2009, une année où l'échange bilatéral progresse. La Chine est devenue le premier partenaire commerciale du Brésil, ayant détrôné les États-Unis, avec 68, 5 billard des dollars dans 60 projets coopératifs annoncés.
En 2013, le commerce bilatéral des pays a abordé les 83,3 millions de dollars, une hausse 10, 4 % d'augmentation par rapport à 2012, avec une croissance de 13 fois supérieur par rapport au commerce bilatéral de 2003 de 6,7 milliards de dollars. La Chine a réalisée de 18% de ses exportations avec le Brésil tandis que les exportations de ce dernier avec la Chine représentent 16% de ses exportations.
Nous allons commencer à étudie l'environnement économique du Brésil en nous focalisant plus particulièrement sur les investissements et les importations chinois.
Tout d'abord, pour comprendre l'investissement chinois au Brésil, nous allons citer la statistique de la CBBC (China-Brazil relationship China-Brazil Business Council) . Notamment nous allons examiner que 3 éléments:
1 les types des entreprises chinoises qui investissent au Brésil
2 la mode d'entrée
3 le secteur d'investissement
1 les types des entreprises chinoises qui investissent au Brésil[pic 1]
Selon le rapport de la CBBC, 93% des investissements des entreprises chinoises sont issus des entreprises d’État ('Central SOE' dans la graphique). Ces types d’entreprises sont possédés par le gouvernement chinois, et elles sont responsables de l'investissement des capitaux gouvernementaux au Brésil. Le cadre du management et le statut financier sont directement choisi par ces derniers. Les capitaux investis sont nationaux. Parmi eux, 23 entreprises les plus influentes de Chine se consacrent à l'investissement au Brésil en 2009: COFCO10 et CNOOC11 (la pétrolière nationale off-shore) , Dongfeng Motors (l'automobile), State Grid (L’électricité), Construction de chemin de fer chinoise, Baosteel (l'acier), Sinopec and Sinochem(la pétrole). Ces entreprises d’états sont listées dans le classement de 'Fortune Global 500' en 2014, un classement publié par le magazine economique américain, selon l importance de leur chiffre d'affaire. Nous avons sorti le classement des entreprises chinoises dans le le tableau ci-dessous:
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