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La situation économique de l’Egypte actuellement

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Par   •  9 Avril 2018  •  Étude de cas  •  3 018 Mots (13 Pages)  •  682 Vues

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La situation économique de l’Egypte actuellement

De manière générale, l’économie égyptienne est caractérisée par une balance commerciale déficitaire à cause de la problématique agricole  du a un problème de choix tactique, stratégique de na pas investir dans le domaine agricole (attitude typique des pays arabes à cette époque la → attitude productiviste (produire des produits au détriment de l’agriculture c.à.d. le secteur/économie primaire). Comme le système agricole n’est pas bien investi donc on a n’a pas les moyens de nourrir sa propre population.

Agriculture

Les envois monétaires financiers des immigrés égyptiens et les droits de passage  sur le Canal de Suez, ces  points positifs n’arrivent pas à combler le déficit.

  • Economie générale de l’Egypte :

Mais l’agriculture en Egypte n’est pas à un degré 0, n’est pas nul. L’Egypte a une agriculture mais qui est primaire et non pas industrielle c’est-à-dire qui n’a pas eu des mesures de modernisations des appareils agricoles et ce qui crée le problème d’alimentation a cause l’augmentation démographique. L’Egypte a agriculture primaire rendu possible par l’irrigation du Nile qui a rendu possible le développement de culture commerciales comme la canne à sucre et le Cotton a cote des cultures traditionnelles (céréaliens, de céréales) comme le riz le blé et le mais pas assez suffisant pour pouvoir nourrir l’ensemble de la population. Donc il ne faut pas dire que l’Egypte n’a pas d’agriculture, elle possède une agriculture substantielle dans le cadre d’une économie primaire (et non pas dans le cadre d’une agriculture industrialisée dans une économie développée). Concernant l’industrie, l’Egypte dispose d’un appareil industriel, système de production industriel crée a l’époque de Nasser cependant que les difficultés économiques internes ont fait qu’il n’y a pas eu de développement continu de cette industrie. Si bien que cette industrie est peu développée et ceci est malgré l’existence du pétrole et du gaz dans le sou sol égyptien.

Conclusion de l’économie générale de l’Egypte :

  • Par rapport à l’agriculture et l’industrie : par rapport à la structure ternaire de l’économie nationale, comme l’agriculture et l’industrie sont peu développées l’économie égyptienne est portée par le secteur tertiaire, repose sur les services dont fait partie le tourisme.
  • Il faut noter qu’à la lumière (du cours de la semaine dernière) l’ouverture économique de l’Egypte et la libéralisation de son économie, l’Egypte a parcouru depuis le début du 21eme siècle d’une manière générale et depuis l’an 2004 un chemin considérable de modernisation de sa structure économique. En plus d’une ouverture aux échanges commerciaux internationaux et aux IDE. A partir de :
  1. Elle a tiré profit de son poids démographique :

A partir de sa marche égyptienne d’environ 90millions d’habitants et de projection économique d’environ 100millions d’habitants d’ici à 2020. C’est ce qu’on appelle un marché porteur (= un ensemble de population qui si ils disposent d’une classe moyenne qui peuvent devenir des consommateurs ce qui peut intéresser les entreprises mondiales.

  1. Positionnement géostratégique de l’Egypte :
  • L’Egypte se situe au carrefour des 3 continents (Europe- Afrique- Asie), ce qui intéressant en terme d’échanges commerciaux rapides.
  • L’Egypte se situe aussi au carrefour des 2 mers (Méditerranée et Rouge) et elle dispose du Canal de Suez, un des plus grands canal du monde avec le Canal de Panama.
  1. Son influence sociale, culturelle au sein du monde Arabe :

L’Egypte constitue la voie du Monde Arabe à la fin du 20eme siècle, c’est toujours le cas, mais c’est un rapport de proximité culturelle entre l’Egypte et le Monde Arabe à travers la production artistique et culturelle de l’Egypte.

  • Au niveau politique des reformes ont été appliquées concernant cette ouverture économiques:
  • La refonte de la fiscalité des sociétés: la refonte qui permet à l’état égyptien de faire baisser le prélèvement obligatoire : impôts, charges et taxes sur les sociétés commerciales afin de pouvoir favoriser les IDE et les porteurs de projets internationaux à venir en Egypte. C’est une des premières mesures que fait un Etat pour attirer des investisseurs à l’Etrangers (baisser le taux de charges).
  • Restructuration et consolidation du secteur bancaire

L’Egypte a su développer ses relations économiques avec l’Europe qui est le 1er partenaire commerciale en Egypte, l’Europe en tant qu’agrégat économique (les pays européens), l’Europe est fausser le 1er investisseur en l’Egypte c’est le partenaire économique privilégie de l’Egypte. L’Egypte à développer ses relations également a l’international avec les USA et les voisins du Moyen Orient et du Proche Orient surtout les pays du Golf le Qatar et les KSA. Ouverture au niveau occidentale et orientale. (Premiers bailleurs de fonds à l’Egypte, surtout sous le régime d’El Sissi). L’ouverture de l’économie Egyptienne est au niveau occidental aussi bien qu’orientale, et un rapprochement vers le Sud. En effet, l’Egypte aimera bien nouer, tisser des liens avec les pays africains dans le sens d’un développement économique partage mais ça reste dans le cadre de projet.

Cette politique de réforme et d’ouverture économique de l’Egypte lui a permis d’atteindre des taux de recorde de croissance économique entre les années 2000-2010. L’Egypte a atteint un taux de croissance économique de +7% par an entre 2006-2008, c’est un maximum au début du 21eme siècle (il n’est pas encore près de se voir reteindre). Et donc conséquence positive de la libéralisation économique de l’interne et de l’ouverture de l’économie de l’Egypte externe. Cependant cette conséquence positive, cette croissance économique de l’Egypte n’a pas eu de conséquences sociales positives. Parce qu’il n’y a pas de véritables programmes politiques de redistribution des richesses en Egypte. Il n’y a pas d’institutions de redistribution des richesses en Egypte comme la sécurité sociale en France. Cette absence institutionnelle d’institutions sociale explique la non redistribution de la richesse et le fait que cette croissance économique exceptionnelle n’a bénéficié que pour la classe au pouvoir, à l’Elite politique et militaire au pouvoir, a l’oligarchie égyptienne. Il faut savoir que 25% de la population égyptienne vit sous le seuil de pauvreté (selon ONU) malgré la croissance économique ; ce qui le rend un des pays les plus pauvres du monde Arabe.

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