La révolution fiscale en France
Thèse : La révolution fiscale en France. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 20 Octobre 2013 • Thèse • 1 096 Mots (5 Pages) • 695 Vues
La révolution fiscale en France
Le système fiscale
Il existe 2 sortes d’impot
- impôt directes (contribution) : payer nominativement (relié à la personne, voir tranche d’Impôt) et taxant sur le capital ou le revenue.
- impôts indirectes : impôts qui sont indépendant de la personne taxe d’habitation pas selon mon revenue, ou qn habite – n’importe le salaire on paye la même taxe (selon la surface, lieu)
- assiete fiscale : la base d’imposition, sur le revenue net
- forfait : comparable avec la TVA = pareil pour tout le monde, CSG
TVA : taxte la consommation, ce qu’on achète. 10% sur les livres, restaurant etc.
L’impot est une taxe qui n’est pas affécté à und chose précise. L#impôt taxe le revenue, le patrimoine (ISF = Impôt salidarité sur le fortune), les sociétés (IS = impôt sur les sociétés), charges sociales et patronales (CSG, ce que coûte un employé de plus de son salaire : maladie etc, en France ce coût est très élevée par rapport à d’autres pays)
Quand on paye le IR (impôr sur le revenue)
Cotisations sociales
1ère partie CSG (cotisation sociales généralisée) 8,2% et ceci sert à financer la sécurité sociale, paye chomage, remoursements des medicaments. La CSG est une contribution, une axe sur le capital, les placements et elle taxe aussi les salaires. Impôt à la source.
2ème partie CRDS (cotisation pour le remboursement de la dette sociale), dette du pays
= sont prix directement sur les salaires, et sont de 15,5% ensemble. Payé par l’employeur par rapport au brut. On touche le net.
Sur des placements comme une assurence de vie où un plan d’epargne logement, actions (part d’entreprise par la bourse, cotisation) , obligations (titre de créance d’une entreprise ou d’un Etat ; on achète une dette – on recoit des interêts ; plus un pays est jugé risque par des agences de notation : Moodies, plus il va devoir donner un taux d’interêt important pour pouvoir prêter de l’argent ; seul risque d’une obligation = que l’Etat ou l’entreprise fasse faillite) sur tout ce qu’on gagne des d’interêt on paye une partie pour les prélèvement sociaux, 15,5% (CSG, CRDS) et
2000 € d’interêts par an
2 options
- un prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) 24% + 15,5% prélèvements sociaux. = 39,5% (on ajouté pas au salaire à la fin de l’année, l’imôt est payé directement et ne prend pas compte des revenues)
- Impôt sur le revenue : Pas de prélèvement sociaux MAIS on le ajoute à la fin de l’année au revenue.
Si le taux d’imposition (montant d’impôt qu’on paye) est < à 39,5% il vaut mieux choisir l’impôt sur le revenue ; > 39,5% il faut mieux chosire le PFL.
Comment fonctionne l’impôt sur le revenue
On paye par tranche :
Tranche de revenue PAR ANNÉE, quotient familiale (du salaire net)
Taux d’imposition (Taux en % qu’il faut payer sur la tranche de revenue)
<6.000
0%
6.000-12.000
5,5%
12.000-26.000
14%
26.000-70.000
30%
70.000 +
41%
>1.000.000
75%
EXEMPLE : Si on touche 50.000€, célibataire
- 6.000 sans impôts=0
- 6.000 5,5% =330
- 14.000 14% =1960
- 24.000 30% = 7200 => 9.000€ d’impôts0 (6.000
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