Disneyland Paris : DANS LES COULISSES D’UNE USINE A REVE
TD : Disneyland Paris : DANS LES COULISSES D’UNE USINE A REVE. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ngọc Linh Bùi • 2 Mars 2017 • TD • 685 Mots (3 Pages) • 1 258 Vues
DISNEYLAND PARIS : DANS LES COULISSES D’UNE USINE A REVE
Entendu parler de Disneyland Paris, nous avons retenu souvent le succès de ce parc. Mais peu de gens savent que derrière ce succès est la contribution importante du management dans le groupe Disneyland Paris. Grâce au document « Disneyland Paris: dans les coulisses d'une usine à rêves » et quelque informations sur Internet, nous allons analyser les points forts et points faibles du management de cette entreprise pour pouvoir comprendre mieux de son succès.
Nous allons commencer par le premier point fort, c’est le recrutement. Disneyland Paris est le plus grand parc d’attractions d’Europe. Il y a plus que 14.000 salariés en total. Ici il embauche chaque année 3 000 employés pour pourvoir ses besoins en hôtellerie-restauration. Donc, c’est un grand marché de travail pour tout, surtout pour des jeunes et pour des travailleurs saisonniers.
Pour élargir le marché à la recherche de candidats, la RH de cette entreprise mobilise tous les mode classique de recrutement : source interne ( le journal « Backstage ») , sources externes ( les agences locales de Pôle emploi, la presse régionale et nationale, les magazines et les sites étudiants…) et aussi creér le buzz ( dans le TGV Paris-Nice et Paris-Hendaye en 2009, le bus aux couleurs de Disney qui a traversé l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie). Celles-ci permettant d’attirer non seulement les candidats français mais aussi beaucoup des candidats étrangères ( Espagnol, Portugal,…).
Après la recherche, la RH de Disneyland Paris va sélectionner les candidats par un entretien d’embauche de trente minutes et ils doivent avoir aussi certaines qualités exigées (le sens du contact, la capacité de travailler en équipe, savoir parler le français et une bonne connaissance de l’anglais).
Ensuite, le deuxième point fort est la formation et la promotion des personnelles. Chez Disneyland, le programme HAT (hôte d'accueil touristique) de l’université Disney propose aux candidats sans diplôme ou souhaitant se reconvertir un parcours d'alternance sous contrat de professionnalisation. Après 9 mois d’ancienneté, le candidat peut changer de poste. Soit par candidature spontanée, soit en répondant aux annonces sur l’Intranet ou « Backstage ».
Troisièmement, c’est la rémunération et la motivation. Disneyland Paris est payé le Smic plus 1%. Il est aussi offre un treizième mois et met à la disposition des saisonniers non franciliens plus de 2000 logements à loyer réduit (290 euros/mois, qu’il faut partager à deux, quatre ou six). Il propose des primes pour motiver les candidats (une Opel Zafira ou toucher des bonus entre 10 et 30% de leur salaire annuel). Les salariés peuvent profiter de 50 % réduction sur les hôtels et 25 % sur les boutiques et restaurants du parc.
Le dernier, c’est la condition de travail. Disneyland Paris est aussi équipé 11 cantines, plus de 3000 tenues de scène et les terrains de basket pour le salarié . Tout les salariés travaillent dans la condition de sécurité et une ambiance agréable entre eux, ils s’appellent par leurs prénoms et ils se tutoie.
Cependant, même avec beaucoup de points forts au dessus, Disneyland Paris reste encore des points faibles dans son management. Le succès est incontestable, mais le rêve a un coût. En effet, tout les investissements de la formation personnelle, d’élargir la recherche de candidats, des primes financières,… ils sont des coûts pour l’entreprise (150 millions d’euros de financer). En plus, à cause de le système de surveillance généralisée, les salariés se sentent très étouffantes. Elle met en avant un taux de turnover de 12,5%.
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