Devoir 1 management des entreprises- BTS AM
Étude de cas : Devoir 1 management des entreprises- BTS AM. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar thierry-du-04 • 10 Janvier 2017 • Étude de cas • 1 193 Mots (5 Pages) • 1 134 Vues
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Ensuite, la finalité purement économique de l'entreprise est celle d'exercer une vente, une pression croissante sur le marché du livre. Il faut s'imposer parmi les trois autres grandes librairies présentes sur Paris. Enfin, nous pourrons attribuer une finalité à dimension socio-culturelle a cette entreprise. En effet, il nous est cité l'association « Prim Livre » qui distribue des livres d'occasion aux petites bibliothèques de petits budgets, désireuses de promouvoir l'activité de lecture dans des secteurs ou elle n'est pas favorisée. Ajoutons à cela que par ailleurs, l'association sert de tremplin aux jeunes auteurs ne disposant pas de maison d'édition pour cause de jugement de non rentabilité de leurs œuvres par ces-dernières.
Premièrement, il est bon de souligner le climat tendu à l’intérieur de l'entreprise : entre les salariés et les « patrons ». Si les anciens connaissent quand à eux l'evolution de l'entreprise et y sont attachés, les plus jeunes recrutés ont quant à eux beaucoup plus de recul. Il ne se sentent pas « salariés de la famille» et posent donc des regards bien plus durs sur la gérance et le management de « La Soulterie ». C'est ainsi que nous arrivons à une faiblesse sociale majeure pour l'entreprise qui devra faire face à une grève pour l'augmentation des salaires : les jeunes employés se questionnant au sujet des directions prises par l'argent issu des bénéfices et les explications d'une utilisation majeure de ceux-ci dans le financement d'investissements par les « patrons » ne semblent pas leur suffire. De plus, nombre de problèmes internes tirent l'entreprise par le fond : perte ou retard dans la remise de dossiers de marchés publics (les rendant irrecevables), retards de livraisons et promesses faites aux clients non-tenues ce qui amène ces-dernier à aller vers la concurrence voire même de changer de fournisseurs, des coûts salariaux qui mettent à bas l'entreprise car augmentant plus que ceux de l'activité elle même et des décisions plus que bancale voire mauvaises prises et appliquées au sujet de la location des locaux (certains locaux sont loués l'année mais restent vides).
-Une mauvais organisation du travail. En effet, divers objectifs et tâches non accomplis en témoignent. Si le travail était réparti correctement il n'y aurai pas ce genre de problèmes (retard de livraison, perte de dossier, retard dans remise de dossier, etc). -Ajoutons que le problème évoqué plus tôt en induit un autre. En effet, cette mauvaise organisation du travail a un impact significatif sur la gestion des fonds et des ressources humaines de l'entreprise. Absence de communication, de contrôle du travail réalisé, de structuration des tâches planifiée et claire sont autant d'erreurs managériale pouvant amener à la crise de l'entreprise. Preuve en est qu'aujourd'hui « La Soulterie » doit faire crédit à la banque pour financer son activité, ses salariés.
Ainsi, nous pouvons d'ores et déjà affirmer que La Soulterie devra s'orienter très fortement vers une réorganisation du travail et de la gestion des ressources humaines. ---Il faudra donc revoir la locations des locaux : ceux qui ne sont pas utilisés ne doivent pas être loué: c'est une perte énorme pour l'entreprise. ---Dans le cadre managérial, le recrutement d'un assistant-manager ou une revue des temps et de la répartition de travail semble être nécessaire puisque l'un des deux managers semble débordé. Il faudra à l'avenir penser à le soulager de cette surcharge de travail. ---Pour remédier aux problèmes liés aux jeunes employés, il faudrait que lors d'une réunion collective, il soit exprimé par l'un des supérieurs hiérarchique et un employé choisit au préalable les objectifs que se donne l'entreprise et comment la gestion financière est aujourd'hui faite. Il faudrait par ailleurs leurs demander leurs avis plus régulièrement pour pallier cette impression de ne pas se sentir de « la famille », ce qui peut-être fait lors de cette réunion afin de tenter de trouver un commun accord entre le patronat et le salarié quant leur demande d'augmentation de rémunération. Une campagne devrait-être d’ailleurs menée a l’intérieur de l'entreprise avec un système de fiche d'étonnement. Les jeunes salariés y noteraient ce qui les à étonné en bien ou en mal au sein de l'entreprise et disposeraient de deux mois environ pour y répondre. A l'issue de ce laps de temps des entretiens seront donnés pour répondre aux questions de chacun ---Des groupes de travail pourraient être organisés, ceux-ci mêleraient des anciens et des jeunes salariés. La combinaison des savoirs et savoirs-faire ainsi que leur mélange pourraient être une solution pour l'apaisement des tensions relationnelles internes à l'entreprise. Cela faciliterai leurs rapports et favoriserai le travail coopératif et sérieux, dans le but d'une meilleure productivité. | Commentaires du correcteur : |
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