Cas farley.

Dimension symbolique :

Du point de vu symbolique l’entreprise est un espace de rencontre des valeurs, des symboles et des différentes visions de ses membres. L’idéal étant de les concilier, cela peut être a la source de différents problèmes, surtout dans le cas de la fusion de deux entreprises comme Gohier Brunelle et Miller Wilder Sutherland.

Les problèmes observes a la suite de cette fusion sont divers, en effet on a relevé un soucis de communication entres les équipes et la direction et un problème d’adaptation de certain employés suit au changement de méthode de travail. Ces problèmes apparus a la suite de la fusion sont le résultat d’un choc culturelle intervenu entre les individus des deux cabinets.

On a d’un cote Gohier Brunelle, un cabinet établît uniquement au Québec avec un effectif de 80 employés tous francophone. Son identité professionnelle est basée sur l’expertise de ses comptable et sur sa bonne réputation auprès des ses fideles clients. Sa clientèle est majoritairement composée de PME avec qui ils entretiennent de bonnes relations. Chez Gohier Brunelle on valorise le client et son avis est primordial. La direction de Gohier Brunelle pratique un management essentiellement participatif et est constamment en contact avec le reste des employés. Ils entretiennent entre eux des relations amicales. Les informations circulent donc très facilement. Les dirigeants y jouent un rôle de guide, toujours à la disposition des équipes, prêt a répondre aux interrogations des stagiaires et a les former. Cette organisation parvient à rassembler et à guider l’ensemble des employés.

De l’autre cote on a Miller Wilder Sutherland, une entreprise déjà issue de la fusion de trois cabinets tous établit en dehors du Québec, du cote anglophone du Canada. Le volume du cabinet est beaucoup plus important que chez Gohier Brunelle (230 employés tous anglophones). La direction de Miller Wilder Sutherland est beaucoup plus formelle et axée sur la technique et l’expertise de ses comptables qui sont supposés être les meilleurs du Canada. L’identité de l’entreprise a des aspects marchands et les critères de recrutement y sont le professionnalisme, la productivité et l’efficacité. Le cabinet est très organise a l’aide d’une bureaucratie et d’une hiérarchie clairement établies. Miller Wilder Sutherland se veut le meilleur cabinet comptable du Canada, offrant un service d’excellence.

Ces nombreuses divergences entre les deux organisations expliquent le choc des cultures ressentis au sein de Gohier Brunelle-Miller Wilder Sutherland (CBWMS).

En effet les problèmes de communication soulevés plut tôt sont le résultat de ces divergences organisationnelles, culturelles et linguistique.

Ces problèmes peuvent avoir des conséquences très néfastes pour CBWMS, notamment du point de vu professionnel par une perte d’efficacité due a la mauvaise circulation de l’information et du point de vu personnel des employés qui auront du mal a trouver leur place, a se mobiliser et a se rassembler au sein de cette nouvelle entité

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