BPI france
Étude de cas : BPI france. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Beely Lodier • 21 Février 2019 • Étude de cas • 333 Mots (2 Pages) • 485 Vues
Compte-Rendu
Intervention de Alex Gareiss, co-gérant de Bouga Cacao, une chocolaterie artisanale et équitable ayant élu domicile à Foix. Alex a fondu l’entreprise avec son ex épouse Ulrike Bongartz, qu’il avait rencontré en équateur, zone connue pour ses producteurs de cacao renommé, ils décidèrent de de se lancer dans cette aventure qu’est le commerce équitable. Eux qui au départ était dans la lancée d’une carrière d’ingénieur. Il fut conseiller dans la coopération internationale en équateur de 2004 à 2006. La coopération Allemande GT16 elle travaille en équateur également et tisse des liens avec Bouga Cacao.
Son entreprise possède un processus de production bien définies, qui commence en équateur chez les 8 (12 aujourd’hui) familles, « Tesoro Escondido » productrices de cacao, chez qui il se procure la matière première. Vient ensuite le transport routier, la transformation du cacao, sa couverture (salinas), par la suite la marchandise est acheminée par transport maritime puis terrestre pour se retrouver dans les ateliers Bouga Cacao où elles seront transformées (la marchandises) pour devenir des tablettes de chocolat et emballés toujours dans le respect de l’environnement et dans l’objectif de créer toujours plus de valeur ajoutée à redistribuer. Le produit fini termine son périple dans les magasins associés tel que biocoop ou Elgater.
Alex partage sa définition du commerce équitable, comme étant une idéologie de vie, un projet de société qui vise l’équité économique dans le monde, en restaurant comme elles se doivent les relations humaines et commerciales.
C’est ainsi qu’avec son SARL (Société à responsabilité limitée), tout dans le respect de la production artisanale et du commerce équitable, a pu réaliser des chiffres très satisfaisants de ventes, comme en 2017, où celle-ci à réaliser 18k € de bénéfice pour une moyenne entre 150k et 250k de chiffres d’affaires annuelles. Pour conclure, le commerce équitable se vit, et Alex le dit bien, il n’est pas la pour l’argent mais pour vivre cette aventure pleinement, rencontrés des gens des quatres coins du monde, voyager et bien sûr contribuer à l’équité du commerce mondiale.
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