Analyse de la situation de l’entreprise : Style de direction selon Rensis Likert .
Étude de cas : Analyse de la situation de l’entreprise : Style de direction selon Rensis Likert .. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Léa Verdonck Morel • 13 Janvier 2022 • Étude de cas • 979 Mots (4 Pages) • 379 Vues
Devoir 2 :
Analyse de la situation de l’entreprise :
Question 1)
Identifiez les styles de direction de Marie-Louise puis de Jean-Charles (depuis la création de Numériperf) en vous référant à la typologie de Likert puis celle de Blake et Mouton.
Les dirigeants exercent leur pouvoir avec un certain style qui résulte d’une combinaison de leur personnalité, leurs orientations et des facteurs organisationnels.
Le style de direction dépend également de la taille de l’organisation, les sources de pouvoirs et l’environnement économique.
Rensis Likert a défini quatre types de styles de direction :
- Le style autoritaire : il y a une forte centralisation du pouvoir ; le dirigeant prend les décisions seul. C’est un management basé sur la peur des sanctions.
- Le style paternaliste : Le dirigeant utilise un système de sanctions/récompenses envers ses subordonnés. Il prend les décisions seul mais entretient de bonnes relations avec ses collaborateurs.
- Le style consultatif : Le dirigeant délègue certaines taches et consulte ses collaborateurs avant la prise de décision.
- Le style participatif : Le dirigeant va permettre aux salariés de participer à la gestion de l’entreprise. Il y a une forte décentralisation du pouvoir. C’est un management par l’autonomie et la créativité.
R. Blake et J. Mouton ont caractérisé les styles de direction selon l’intérêt porté par le dirigeant à la production et aux relations humaines.
En se référant à la typologie de Likert, Marie-Louise exerce un style de direction autoritaire. Elle impose sa volonté et ne reconnaît pas ses erreurs.
Par rapport à la typologie de R. Blake et J. Mouton, Marie-Louise a un style 9/1, un style « taylorien » ; elle recherche l’efficacité de la production sans tenir compte des salariés.
En effet, elle impose de lourdes contraintes à ses salariés en exigeant des heures supplémentaires le soir et même les week-ends.
En ce qui concerne Jean-Charles, il exerce un pouvoir consultatif selon la typologie de R. Likert. Et un style 9/9, selon la typologie de R. Blake et J. Mouton. En effet, il consulte ses salariés, prend en compte leur épanouissement au travail tout en leur imposant un cahier des charges strict.
2)
Un domaine d’activité stratégique est un ensemble d’activités qui partagent les mêmes ressources, affronte les mêmes concurrents et peuvent faire l’objet d’une stratégie spécifique. (Définition trouvé sur marketing-étudiant.fr)
Les DAS de l’entreprise Numériperf sont :
- Création de logiciels pour aider toutes sortes d’organisation.
- La formation informatique de salariés
3) Une partie prenante est une personne ou un groupe de personnes pouvant affecter ou être affecté par les décisions organisationnelles d’une organisation.
Les différentes parties prenantes peuvent agir sur l’entreprise de plusieurs manières. Bien souvent, leur objectif est de limiter le pouvoir des dirigeants et de défendre leurs intérêts personnels.
Au cours de ces 10 premières années de son existence, les choix de Marie-Louise et Jean-Charles prenaient en compte les attentes de leurs principales parties prenantes.
En effet, Marie-Louise prenait en compte les intérêts des investisseurs en leur accordant 1/3 des profits affecté aux dividendes.
Marie-Louise prenait en compte également les intérêts des salariés en affectant 1/3 des profits à la hausse de leurs salaires. Elle a aussi instauré un système d’horaires modulables afin de permettre à ses salariés de mieux concilié leur vie professionnelle et leur vie personnelle.
Le dernier tier des profits étant affecté à l’auto-financement et permettant d’assurer la pérennité et la croissance de leur entreprise et donc des dividendes des investisseurs.
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