ADM 1002 TN1
Dissertation : ADM 1002 TN1. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Charizard09 • 9 Avril 2020 • Dissertation • 2 713 Mots (11 Pages) • 1 023 Vues
Question 1
La division du travail se décompose en deux dimensions : horizontale et verticale. La division du travail sur un axe horizontal signifie que le processus de production d’un bien est décomposé en une suite de tâches simples confiés à des employés spécialisés pour obtenir un résultat final (le bien). Bref, chacun a sa tâche spécialisée. La division du travail sur un axe vertical est plutôt de nature hiérarchique. La séparation entre la conception et l’exécution est bien tranchée.[1] Prenons exemple sur l’organigramme de la division médicale, à la figure 1 de la mise en situation Les Assurances Sécuriplus, on remarque que le directeur de la division médicale est au sommet, donc il est responsable des directeurs du rang plus bas que lui (directeur des services administratifs, directeur des ventes, directeur du service des réclamations des médicaments, directeur du service des réclamations des soins dentaires). Ces quatre directeurs, susmentionné sont responsable chacun une équipe différente, qui eux, ont leurs tâches spécialisées et exécute le travail demandé. Un second exemple de division du travail dans l’entreprise Sécuriplus pourrait être le suivant : l’entreprise comporte trois divisions : la division vie, la division industrielle et la division médicale. Selon l’extrait suivant, on remarque que chaque division comporte une seconde division, selon Taylor, c’est une double division du travail : « Chacune de ses divisions fonctionnait dans un environnement administratif et dans un contexte de marketing bien différent de sorte qu’elles étaient gérées comme des entités virtuellement indépendantes. Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau »[2].
Question 2
Les 14 principes généraux d’organisation selon Henri Fayol.
La division du travail : Il importe que les travailleurs soient spécialisés; de cette façon, ils deviennent sans cesse plus expérimentés et plus productifs. La division du travail permet de produire davantage, avec des efforts comparables.[3] Le passage suivant nous montre un flagrant exemple de division du travail : « La division médicale comptait 66 employés répartis comme suit : sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l’administration »[4]. Tout le monde n’effectue pas le même travail pour pouvoir augmenter la productivité.
L’autorité et la responsabilité : Ce principe correspond au droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter.[5] Le directeur de la division médicale, par exemple, est responsable des directeurs plus bas hiérarchiquement et ceux-ci font respectés les ordres en les imposant aux employés. On peut voir à la figure 1 (Organigramme de la division médicale Les Assurances Sécuriplus – Division médicale) la structure organisationnelle de l’entreprise.
La discipline : Les membres doivent se plier aux conventions explicites ou tacites établies dans l’entreprise en matière d’obéissance, d’assiduité, d’activité et de marques extérieures de respect.[6] Un exemple de discipline est marqué dans ce passage : « Dans le secteur des assurances-médicaments, le service se définissait essentiellement par le respect des échéanciers prévus au contrat en matière de remboursement des réclamations. Les employés doivent donc faire preuve de discipline afin de respecter les échéanciers des réclamations, selon les conventions établies de la division médicale»[7].
L’unité de commandement : Chaque personne ne doit dépendre que d’un seul chef.[8] Le fait que les membres doivent dépendre de plusieurs dirigeants explique de nombreux conflits. Par exemple, dans l‘organigramme à la figure 1 de l’histoire de cas Les Assurances Sécuriplus, on remarque que l’équipe de vente dépend seulement du directeur des ventes.
L’unité de direction : Les personnes qui travaillent dans un même but doivent relever d’un seul patron, mais aussi d’un seul programme. Par exemple dans l’organigramme à la figure 1 de l’histoire de cas Les Assurances Sécuriplus, on remarque que les quatre directeurs de la division médicale (directeur des services administratifs, directeur des ventes, directeur du service des réclamations des médicaments et le directeur du service des réclamations des soins dentaires) relèvent d’un seul patron : le directeur de la division médicale et d’un seul programme (la division médicale).
La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général : Les buts de l’entreprise doivent primer les intérêts individuels.[9] « J’entend bien changer les choses et améliorer la performance autour d’ici et tant mis s’il faut congédier chacun des commis du service pour y arriver!»[10]. Ce passage nous montre que M. Blanchette est prêt à changer les choses et à améliorer la performance relié à son service et il est prêt à prendre les moyens nécessaires pour y arriver. Il prime l’intérêt de l’entreprise avant son intérêt personnel.
Le degré de centralisation : Tout ce qui augmente l’importance du rôle des subordonnés est de la décentralisation; tout ce qui diminue l’importance de ce rôle est la centralisation.[11] Le degré de centralisation est plutôt faible car la prise de décision est prise dans les palliers hiérarchiques supérieurs de l’orgsanisation. Par exemple, les commis de bureau n’ont aucune décisions à prendre contrairement à M. Blanchette, directeur du service des réclamations/médicaments.
La hiérarchie : La hiérarchie est un mécanisme nécessaire au bon fonctionnement de l’entreprise en vertu du besoin de transmission nécessaire de l’information et du principe d’unité de commandement.[12] La hiérarchie est démontrée à la figure 1 de l’histoire de cas. On voit en haut de l’organigramme de la division médicale que le directeur est responsable de quatre autres directeur (la rangée du dessous) et que ceux-ci sont responsable de leur propre équipe.
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